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Par giova35 le 11 Juin 2013 à 08:49
Périodiquement, de mystérieuses rumeurs circulent à propos des recherches qu'auraient effectuées la science nazie dans des domaines aussi inattendus que l'occultisme et le paranormal. Sont-elles aussi dénuées de fondement qu'on le prétend ? Ce n'est pas sûr. On est encore bien loin, malgré les milliers d'ouvrages qui ont été publiés sur le IIIè Reich , d'en avoir percé certains secret...
Quels furent exactement les objectifs de l'occultisme nazi ? Amener un médium du nom d'Adolf Hitler au pouvoir afin de galvaniser les foules germaniques à travers lui et d'aboutir à la domination du monde ?...
Tisser un réseau élitiste de personnages propres à manipuler les leviers de la puissance conquise dans le sens des idéaux du pangermanisme ?...Effectivement, c'est le but des Von List, Rosenberg, Haushofer, Eckart..., et de ceux qui se cachaient certainement derrière eux. Mais pour tous ces ésotéristes du Reich, cela ne constitue, ils le répètent assez, qu'une étape :
"... Ce que nous préparons, écrit Rosenberg, c'est l'avènement du surhomme aryen... "L'intense propagande des services de Goebbels n'a finalement pas donné de ce surhomme une image satisfaisante. A dessein, sans doute, on a réduit le futur maître de la Terre à un beau garçon solidement musclé, aux cheveux blonds bon teint et au regard gris bleu... Or, le surhomme du pangermanisme noir, c'est bien autre chose. Depuis Von List, on le décrit comme un " mutant ", un nouveau maillon dans l'évolution de la race humaine, un pas définitif vers une perfection dont l'esthétisme corporelle n'est qu'un élément.
Pourquoi ces atroces expériences d'hybridation dans les camps de la mort sous la haute tutelle de l'Ahnenerbe, le bureau centraliseur des menée occultes du IIIè Reich ? Pourquoi ces tentatives, folles et terrifiantes pour le profane pour créer un " nouvel Allemand " dans ces Lebensborn cauchemardesques comme celle de
Steinhöring ?
Pourquoi ces recherches sur le passé, Thulé et les autres continents perdus, les Aryens primitifs, dont les mythes nous disent qu'ils étaient parfaits et dont nous ne serions que les descendants dégénérés ?'' Les anciens Aryens, écrit Dietrich Eckart, étaient au physique et au mental tout ce que l'homme d'aujourd'hui ( l'Aryen d'aujourd'hui ! ) peut espérer être un jour s'il en prend les moyens au mépris de toutes ces considérations philosophiques et morales, qui sont justement le résultat de notre dégénérescence. Ils disposaient de tous les pouvoirs que les millénaires d'erreurs et d'inconscience raciale ont enfouis au plus profond de ce qui reste de la grande race Aryenne..."
Ces pouvoirs ne sont rien d'autre que les facultés dites
" extrasensorielles " qu'essaie de mettre aujourd'hui en évidence et d'expliquer la parapsychologie scientifique. Dans les Burgs, où les jeunes S.S. subissent leurs épreuves d'initiation, on ne se contente pas de quelques rites propres à les mettre en condition et de vagues chants d'émulation patriotiques, ces pratiques sont bonnes pour les casernes ordinaires ; le surhomme se construit autrement." Pour les initiés de ce qu'on appelait l'Ordre intérieur, écrit Jean-Claude Frère dans Nazisme et sociétés secrètes, les épreuves étaient autres : on voulut y voir une recherche ascétique proche des exercices de yoga pratiqués par certaines écoles guerrières dans l'Inde védique, proche également des sacrifices infligés aux guerriers germaniques des Münnerbünde. Épreuves sanglantes, épreuves de contrôle de la respiration, exercices parapsychiques, tout cela et plus encore : une synthèse de ces différentes disciplines. Les sources sont à rechercher tantôt dans les rituels germaniques et nordiques, tantôt dans les textes sacrés tibétains. Un tel syncrétisme était hérité des initiations pratiquées à l'ordre des Germains ey au groupe Thulé... "
Himmler, qui coordonnait ce programme de mutation des meilleurs éléments de la race allemande, assistait toujours avec enthousiasme aux séances de cette espèce.
" Nous voici enfin hors du monde, s'écriait-il. Il n'est plus question de l'Allemagne éternelle ou l'Etat national-socialiste, mais de la préparation magique de la venue de l'homme-dieu, de l'homme d'après l'homme que les puissances enverront sur la Terre ! "Et Hitler lui-même confiait à Rauschning, qui le rapporte dans son précieux document Hitler m'a dit : " C'est de là que sortira le second degré, celui de l'homme mesure et centre du monde, de l'homme-dieu ! L'homme-dieu, la figure splendide de l'être sera comme une image culte. Mais il y a encore des degrés dont il ne m'est pas possible ni permis de parler... "
Quels étaient-ils ? Tout bonnement l'acquisition définitive de ces pouvoirs mentaux qui ramèneraient l'Aryen d'aujourd'hui à le société magique de Thulé, où l'homme disposait de la puissance du vril...
" Le vril, écrivait Pauwels et Bergier dans le matin des Magiciens, c'est l'énorme énergie dont nous n'utilisons qu'une infime partie dans notre vie ordinaire, le nerf de notre divinité possible. Celui qui devient maître du vril devient maître de lui-même, des autres et du monde. "
De cette énergie procèdent bien sûr ce que nous appelons aujourd'hui les facultés parapsychologiques : celle de communiquer sans le secours des moyens sensoriels connus, la télépathie, qui faisait l'objet d'un entrainement spécial pour les initiés du deuxième degré de l'ordre intérieur S.S. : le pouvoir d'agir par l'esprit sur la matière, ou psychokinésie, à laquelle se consacra l'une des sections de 'Ahnenerbe entre 1938 et 1941 ; la clairvoyance, la manipulation des énergies produites par certaines sonorités secrètes...
On comprend maintenant pourquoi les nazis s’intéressaient d'aussi près aux cloches d'Oxford. Les spécialistes actuels ont démontré que certains carillons de clochers dispersaient effectivement les orages en émettant des fréquences et des vibrations spécifiques. Il n'était donc peut-être pas tellement saugrenu de croire, comme une autre section de la même Ahnenerbe, que ces cloches d'Oxford perturbaient les appareils de la Luftwaffe.
Toujours est-il que, malgré les tentatives nombreuses des avions allemands de bombarder la vieille cité universitaire anglaise, aucun immeuble n'a jamais été détruit dans la petite ville...
Toutes ces enquêtes plutôt insolites étaient placées sous la haute direction du professeur Haushofer. On le connait surtout, en histoire officielle, pour sa théorie du Lebensraun ( espace vital ), qui fournit aux allemand une bonne raison universitaire d'envahir leurs voisins, et pour sa fameuse Geopolitik. Mais ce fut surtout un ésotériste de très haute volée, affilié à plusieurs sociétés secrètes qui préparèrent l'avènement du Führer et veillèrent à ce que les objectifs du national-socialisme ne soient jamais perdus de vue.
Il vécut en Asie, au Japon et au Tibet en particulier. Il y fut membre de fraternités initiatiques où l'on parlait aussi beaucoup de l'énergie du vril... Maître à penser de Rudolf Hess, il visita régulièrement Hitler dans la prison de Landsberg où le futur dictateur purgeait une peine de cinq ans après l'échec du putsch de 1923. C'est là qu'il fit sa véritable initiation médiumnique, lui inculquant une partie des pouvoirs que donne le vril. Uniquement ce qu'il fallait pour en faire le docile instrument des sociétés secrètes qui tiraient toutes les ficelles...
D'ailleurs, ces sociétés elles mêmes ne disposaient pas de la totalité de cette puissance. Aux nazis occultes de se l'approprier en fondant le Reich et en développant des organisations comme le groupe Thulé et l'Ahnenerbe.
En 1976, deux chercheurs soviétiques, spécialisés dans l'étude de l'Atlantide et d'autres continents plus ou moins mythiques, publièrent une étonnante communication à partir d'archives du IIIè Reich conservée à Moscou et à Leningrad. On se demanda comment ils y avaient eu accès. L'Armée rouge, ainsi que nul ne l'ignore, mis la main sur des tonnes de dossiers à Berlin, et c'est elle qui investit la première le siège de l'Ahnenerbe... Mais il est évident qu'on ne permit jamais à personne de jeter un coup d’œil sur ce qui fut saisi dans les bureaux de l'organisation...
Gorbousky et Novikov, les deux chercheurs en question, consultèrent néanmoins des bribes de cette insolite documentation. Ils y découvrirent que Haushofer, Hess et Heilsher avaient fait effectuer par une foule de spécialistes des investigations sans précédent dans les vieux textes sanskrits ou runiques, afin d'en savoir plus sur les mythes des continents perdus. Les intéressaient évidemment au premier chef ces fameux pouvoirs dont parlent les plus anciennes chroniques de l'humanité : téléportation, clairvoyance, puissances perdue des sonorités secrètes, contrôle du temps...
Haushofer organisa en personne plusieurs expéditions en Asie pour essayer d'en apprendre davantage sur place auprès des sociétés initiatiques qu'il avait jadis fréquentées. Les deux chercheurs soviétiques se disent en mesure d'affirmer qu'il en rapporta beaucoup plus d'éléments qu'on a jamais voulu l'avouer... Parallèlement, il fit à ces occasions venir à Berlin, au siège de l'Ahnenerbe, des initiés tibétains qui s'immolèrent par le feu lors de la défaite finale. L'Armée rouge a retrouvé et autopsié leurs corps. Mais aucune autre communication n'a été faite au sujet des activités qu'on leur avait confiées dans l'ordre ésotérique nazi.
Il faudrait pouvoir accéder à l'essentiel des archives, dont Gorbousky et Novikov n'ont pu consulter qu'une infime partie. Il en est d'autres qui ont gagné les Etats-Unis, et qui sont demeurées tout aussi secrètes...
On s'est parfois demandé si l’intérêt des deux Grands pour les sciences parallèles et la " conquête de l'espace intérieur " humain ne venait pas un peu de ces étranges documentations. Celui qui posséderait la puissance du vril, si elle existe vraiment, ne mettrait pas longtemps à conquérir l'univers...
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Par giova35 le 10 Juin 2013 à 09:21
Dans notre enquête sur les constellations, nous pouvons maintenant répondre aux trois questions suivantes :
Quand : vers 2 300 avant notre ère
Où : 36" de latitude nord
Pourquoi : pour guider les marinsIl reste une question : qui ? A cela, quatre réponses possibles :
les Phéniciens, les Égyptiens, les Babyloniens ou les Minoens.Les phéniciens ? L'histoire a retenu leur prouesses maritimes et nous avons vu qu'Aratos leur rend hommage dans les premières pages des Phénomènes. Cependant, bien que la latitude de la Phénicie ( l'actuel Liban ) soit correcte, on ne peut retenir l'hypothèse phénicienne.
La mythologie des Phéniciens n'est pas celle des constellations. Les villes de Tyr, de Sidon et de Biblos connurent leur apogée
entre 1 500 et 500 avant notre ère. Les phéniciens ont utilisé les constellations mais ne les ont pas dénommées.L'hypothèse égyptienne maintenant : la date peut correspondre.
Dès 2 800 avant notre ère, les prêtres égyptiens élaborent de brillantes théories mathématiques, bâtissent des monuments prodigieux et étudient attentivement les cieux.On a retrouvé dans le temple de Dendérah, un monument représentant les constellations ( voir photo plus haut ). Quelques figures zodiacales coïncident avec celles décrites par Aratos, mais les autres sont différentes : on en trouve un crocodile à la place de la Grande Ourse, ainsi qu'un singe et un hippopotame.
Et puisque la latitude ne correspond pas, il semble que les prêtres égyptiens aient transmis le savoir astronomique repris par Aratos, mais ne l'aient pas découvert.
La civilisation babylonienne domina le IIe et le Ier millénaire avant notre ère. Les peuples de Mésopotamie adoraient le dieu Marduk.
Ce dieu tout puissant avait donné aux autres dieux des demeures dans les constellations. Les mages babyloniens étudièrent le mouvement complexe des planètes, du Soleil et de la Lune dans les constellations du zodiaque et établirent tout un système de loi et de prévisions complexes.
Dans les ruines babyloniennes ont été retrouvées des tablettes d'argile où sont inscrites des listes d'étoiles et leurs positions. Beaucoup de nom nous sont familiers : le Taureau, les Gémeaux, le Scorpion, le Sagittaire...
Toutefois, à la place du cygne, de la lyre et du chariot, on trouve une panthère, une chèvre et un bol. Le philologue Robert Brown a établi une liste des principales constellations babylonienne utilisées de 2 500 à 500 avant notre ère. Les figures mythiques représentées sont essentiellement les mêmes que celles que nous connaissons. Il confronta ces données avec le poème d'Aratos. Tout coïncidait pour l'année 2084... sauf la position de la constellation d'Orion. Avons nous donc enfin trouvé le peuple qui qualifia les constellations ?Deux mille ans avant notre ére, les peuples de l'Euphrate concevaient donc un système de constellations similaire à celui que décrit Aratos.
D'autre part, les mythologies babyloniennes et grecques présentent d'indéniables points communs, et le nord de la Mésopotamie se trouve à la latitude de 3°. Nous savons aussi que les babyloniens savaient se diriger sur les mers : toutefois leurs bateaux sillonnaient des mers de latitude plus équatoriale que celle dont il est fait mention dans les Phénomènes, ce qui nous force à considérer l'hypothèse babylonienne...Il reste une dernière solution possible : les Minoens.
Les historiens ne font que découvrir ce peuple fascinant dont nous parlent les légendes grecques. Une des plus célèbres est celle de Thésée et du Minotaure. Ce monstre moitié homme et moitié taureau était le fils de Pasiphaé, la femme du roi Minos, et d'un taureau. Sous le palais de Knossos, il errait sans fin, prisonnier du labyrinthe construit par Dédale.
Grâce au fil d'Ariane, Thésée le trouva et le tua.Dès le Ve siècle avant notre ère, l'écrivain grec Thucydide s'était intéressé aux Minoens : " Le roi Minos, raconte-t-il, possédait une flotte puissante. Il colonisa les Cyclades et y installa ses fils comme gouverneurs. "
Ce n'est qu'au début de ce siècle que les fouilles d'Arthur Evans prouvèrent que ce peuple avait bien existé.
L'île de crête était très hospitalière. De belles forêts couvraient les collines et la terre était fertile. Il y avait des vignes et des oliviers en abondance, ainsi que de riches pâturages. Les eaux qui entouraient l'île regorgeait de poissons. Le commerce était florissant. Deux mille ans avant notre ère, les bateaux crétois emmenaient des cargaisons de vin, d'huile, d'argent, des bijoux et des poteries vers l'Egypte, la Syrie, la Palestine et la Grèce, ainsi que vers la Mésopotamie. Les Minoens colonisèrent également les îles du pourtour de la Grèce.
Grâce aux fouilles d'Evans et à d'autres archéologues, on sait maintenant que, vers 1 700 avant notre ère, un tremblement de terre secoua violemment l'île, détruisant habitations et palais. Suivit alors une période de reconstruction où architectes, artisans et artistes crétois donnèrent toute la mesure de leur talent. trois siècles et demi plus tard, la civilisation crétoise était à son apogée lorsque survint une catastrophe sans précédent. Des secousses sismiques, le feu et un raz de marée anéantirent l'île et ses habitants.
Le peuple crétois peut parfaitement avoir " invente " les constellations.
La date est correcte. L'empire maritime minoen était en pleine expansion entre 3000 et 2000. La latitude est exacte. La Crète se trouve entre 35 et 36° de latitude nord. Plus déterminant encore : l'hypothèse minoenne permet de résoudre l'énigme du globe d'Eudoxe.
On se souvient que ce globe ramené d'Egypte présentait un décalage de deux mille ans. La cause ne se trouve-t-elle pas dans la catastrophe qui, vers 1450 avant J-C, détruisit la civilisation qui le conçut, c'est-à-dire la civilisation minoenne ?Extrait de " Inexpliqué " 1981
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Par giova35 le 9 Juin 2013 à 22:46
Dans la soirée du samedi 13 novembre 1971, le temps était épouvantable sur tout le département du Lot-et-Garonne. Le ciel était couvert et il tombait une petite pluie fine. Le fermier Angello Cellot travaillait pourtant : il labourait un champ qui jouxte la petite route entre sa maison et celle de son frère. Son tracteur avait les phares allumés et il y avait adjoint un projecteur mobile, car il avait l'habitude de travailler assez tard dans la nuit.
Aux environs de minuit, il aperçut une lumière qu'il prit tout d'abord pour celle d'un tracteur appartenant à un voisin. Cependant, comme il tournait son tracteur vers le talus de la route en faisant demi-tour vers le ruisseau situé à la limite nord, il réalisa que la lumière se trouvait dans le ciel et se déplaçait le long du ruisseau, vers son champ.
Il pensa qu'il s'agissait d'un hélicoptère. Mais, comme il manœuvrait vers la route, il vit que l'objet avait changé de direction et le suivait, précédé d'une lumière rouge. L'ovni planant à une altitude d'environ
40 m, avait cinq lumières brillantes au-dessous de lui, si brillantes que lorsqu'il dirigea le projecteur vers elles, Angelo ne put distinguer aucune forme.Le fermier avait terminé de tracer le sillon près de la route quand il réalisa que l'engin se trouvait juste au-dessus de sa tête. Tout l'environnement était baigné de lumière. La peur fit place à l'embarras dans l'esprit d'Angelo. Il vit l'ovni descendre et rester à 15 ou 20 m au-dessus de sa tête. Sa peur se mua en panique.
Angelo quitta son tracteur, laissant la machine en marche, les phares allumés, et s'enfuit vers la maison de son frère afin de donner l'alarme.
Il avait parcouru une trentaine de mètres lorsqu'il se retourna et vit l'ovni remonter et se diriger vers le nord. Alors, il revint vers le tracteur pour éteindre le moteur et les phares. Ce fut seulement à ce moment qu'il réalisa que l'engin avait été complètement silencieux. Comme Angelo regardait dans les airs, il vit l'ovni disparaître doucement.
Plus qu'ébranlé, et n'ayant aucune envie de terminer son travail, le fermier rangea le tracteur dans la remise et alla se coucher.
Il était 1 heure du matin.Son aventure, rapportée par le journal La Dépêche du Midi, conduisit un groupe français d'enquêter sur les ovnis, à interroger Cellot.
La gendarmerie fit également un rapport sur cette manifestation demeurée inexpliquée...
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