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Par giova35 le 31 Août 2013 à 19:41
Le sergent Nicholas Alkemade était un peu nerveux en songeant qu'il accomplissait son treizième raid aérien sur l'Allemagne. Âgé tout juste de 21 ans, il avait le poste le plus dangereux et le plus solitaire : mitrailleur de queue dans un Lancaster. De toute façon, lui et l'équipe du S for Sugar avaient survécu jusque-là.
Danger à part, la place de mitrailleur de queue dans un Lancaster n'avait rien de confortable. Il y avait juste assez de place dans cette frêle huile de plexiglas pour le tireur, ses minutions en quatre mitrailleuses Browning.
Et rien de plus. Même le parachute était stocké hors de la tourelle.
A 20 000 pieds ( 6 000 m ) il faisait toujours froid, et la nuit du 24 mars 1944 était une aigre nuit de printemps.L'escadrille 115 traversa l'Allemagne sans encombre. Un peu de D.C.A sur Francfort, puis ce fut Berlin, illuminé par les fusées éclairantes et par les longs doigts brillants des projecteurs fouillant la nuits pour découvrir les 300 bombardiers alliés réunis cette nuits-là. Au bout d'un moment, Alkemade entendis les mots magiques : " Lâcher les bombes ! "
Deux tonnes de bombes explosives et trois de bombes incendiaires furent lâchées.Puis le pilote, Jack Newman, fit virer l'appareil vers le retour au pays.
Et la sécurité...Il y eut soudain une brusque explosion. Des obus déchirèrent le fuselage de l'avion, d'entre eux atteignant la tourelle, perçant le plexiglas de part en part. Alkemade vit l’assaillant : un junker 88 isolé, qui fonçait pour achever le bombardier blessé. Il fit feu sur l'ennemi, qui n'était plus qu'à 50 m. Le capot du junker explosa et il piqua, touché à mort, Alkemade se sentit mieux.
Pas pour longtemps. Les flammes commençaient à lécher les parois de sa tourelle. A ce moment, la voix de Jack Newman résonna dans l'interphone : " Il faut sauter, les gars. Évacuez, évacuez ! "
Malheureusement pour Alkeman, cela voulait dire pêcher son parachute dans son casier derrière lui, au milieu des flammes. Il poussa la porte vers l'intérieur de l'avion et regarda dans le brasier, sans résultat.
Mais c'était son seul espoir. Il essaya à nouveau agrippa le parachute, le tira, mais pour constater avec horreur qu'il se désagrégeait, en flammes." J'eu l'impression que tout mon sang se figeait, raconta-t-il. Je sus alors que j'allais mourir et je me dis : " T'as fini par y arriver, mon pote; "
Mais pas brûle vif, décida-t-il brusquement. Mieux vaut une mort rapide et propre que de griller lentement. " Nicholas Alkeman se prépara à sauter. Arrachant son masque à oxygène, il manœuvra la tourelle de manière à orienter les portes vers l'extérieur. Puis il sauta...Un pur soulagement remplaça aussitôt la terreur. Alkemade se sentait parfaitement calme. Comme il le raconta plus tard : " C'était parfaitement tranquille, paisible, comme de rester dans un nuage. Comme si je m'enfonçais dans un matelas super-moelleux... Pas de sensation de chute. Je pensais que si c'était cela, mourir, ce n'était pas si mal. "
En effet, il restait si calme qu'il put calculer que tombant de 5 000 m il lui faudrait 90 secondes pour atteindre le sol. Puis il pensa à sa prochaine permission. Cette fois-ci, il ne verrait plus sa petite amie Pearl. Étendu sur le dos dans le vide, il regardait les étoiles ; les luttes des hommes lui apparaissaient bien vaines.
Alkemade ne pouvait comprendre pourquoi il avait si froid. Il devait être mort. Il ouvrit un œil. Une étoile brilla dans la trouée des branches, au-dessus de lui. Il sortit une cigarette et son briquet, soudain pris d'une violente envie de fumer. Il était resté inconscient trois heures.
" Jésus, murmura-t-il, je suis vivant ! "
Les branches avaient freiné sa chute. Un tapis de neige fraîche de 45 cm avait amorti l'impact final. Il était tombé de 5 Km de haut et était vivant.
Et presque intact, avec ça : quelques brûlures superficielles, une mauvaise entorse au genou droit et c'était tout ! Il ne pouvait marcher et en arriva bientôt à souffrir de sa position : " La perspective de devenir prisonnier de guerre commençait à me paraître intéressante. Il était temps qu'on me trouve. "Les membres du Volkssturn local entendirent les signaux de son sifflet et de découvrirent en train de terminer sa cigarette. Il s'évanouit quand ils le ramassèrent. Puis les ennuis commencèrent. On l'emmena à l'hôpital où il expliqua son aventure à un docteur : " Nix parachute " dit-il. Le docteur eut un sourire et lui tapota gentiment la tête. Visiblement Alkemade était fou. Au Dalag Luft près de Francfort, où il fut ensuite transféré, ce fut la même chose, Alkemade subit alors trois long interrogatoires et fut mis au secret pour avoir persisté dans son incroyable histoire : il mentait, bien sûr, et il s'agissait donc tout aussi évidemment d'un espion !
Mais Alkemade avait entendu parler d'un Lancaster qui s'était écrasé dans la nuit du 24 mars pas très loin de l'endroit où on l'avait ramassé :
peut-être s'agissait-il du S for Sugar. Et peut être trouverait-on les restes de son parachute dans l'épave. Il parvint à persuader le lieutenant Hans Feidal, de la Luftwaffe, d'aller y jeter un œil. Et bien sûr, le harnais de parachute du mitrailleur de queue était là, et le rapporta.
Alkemade l'examina : les crochets de sécurité étaient toujours attachés avec du fil, qui eut été cassé si le parachute s'était déployé. Puis les Allemands trouvèrent la poignée d'ouverture du parachute dans l'épave. Le commandant du camp dut convenir que la survie d'Alkemade tenait du miracle.Ses compagnons prisonniers rédigèrent un rapport sur la page de garde d'une vieille Bible. Il était rédigé ainsi :
" Dalag Luft, le 25 avril 1944,
" Il a été établit et confirmé que la thèse soutenue par le sergent Alkemade, Mat. 14 315 37 R.A.F. , est absolument vraie.
" Il a bien fait une chute de 18 000 pieds sans parachute ayant été brûle pendant le combat aérien. Il atterrit sur de la neige épaisse parmi les sapins.
" Contresigné par les témoins dont les noms suivent :
Lt H.J. Moore, Senior British Officer
Sgt R.R. Lamb, Mat. 13 395 82
Sgt T.A. Jones, 411, Senior British N.C.O. "Pas de doute, quelqu'un, quelque part, avait pris soin de Nicholas Alkemade...
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2 commentaires -
Par giova35 le 25 Août 2013 à 10:06
C'est un fait : il y a des individus qui ont une mémoire plus ou moins bonne. Beaucoup en possède une excellente, sans qu'on puisse la taxer de pathologique. Ainsi Racine, qui dit-on, pouvait déclamer des tragédies entières après les avoirs lues une ou deux fois seulement. Auguste Comte trouvait plus simple et surtout plus rapide, de composer
" de tête " ses ouvrages avant de les coucher par écrit, d'où l'absence de ratures dans ses manuscrits.Robert Toquet rapporte que le " docteur Fred Braums avait appris deux cents milliers de dates de l'Histoire universelle et pouvait faire ses conférences en quinze langues différentes "... Soit ! Mais quelle part faire à la légende lorsqu'il affirme que " le cardinal Giuseppa Gasparo Mezzofanti, qui fut l'un des plus grand génies linguistiques de tous les temps, appris 114 langues et 72 dialectes " ? Et lorsqu'il ajoute :
" Dans 54 langues au moins le même cardinale pouvait se faire passer pour un autochtone " ?Il importe de distinguer, dans tous les phénomènes relatifs à la mémoire, les expériences truquées, dites " de mnémotechnie transcendante ", de celle qui n'ont pas cette prétention. Des exemples ? D'une part, le truc du Bottin, tour facile à réaliser, et d'autre part, la présentation scénique de Rogello, homme de music-hall, certes, mais dont le numéro représente un exploit peu susceptible d'imitation...
Dans le premier cas, l'illusionniste affirme connaître par cœur le Bottin tout entier et demande à l'un des spectateurs de lui en faire, au hasard, réciter une double page, ou de lui poser toutes les questions qu'il voudra sur son contenu. Opération réussie à coup sûr : le Bottin en question est composé d'autant de feuillets qu'il faut pour avoir l'épaisseur requise, mais ces feuillets, hormis la numérotation des pages, qui contribue à créer l'illusion, reproduisent tous la même double page, au contenu en tout point identique...
La prestation de Rogello, en revanche, ne repose sur aucun stratagème, aucune tricherie. Les ouvrages utilisés en la circonstance ( les cinq volumes de l'Histoire de France de Guizot et le Petit Larousse illustré ) sont conformes à tous les autres exemplaires existants. Et Rogello, qui a appris par cœur, d'une part, l'ouvrage de Guizot en son entier, de l'autre, les faits historiques correspondants renfermés dans la partie encyclopédique du Petit Larousse, connait également l'endroit exact où ces faits se situent dans l'un comme dans l'autre de ces ouvrages.
Si bien que, lorsqu'un spectateur l'interroge sur un fait historique, Rogello lui répond non seulement en lui récitant les articles qui s'y rapportent dans les livres susmentionnés, mais en lui indiquant l'emplacement ( pages, lignes, etc ) qu'ils occupent.
Pour exceptionnelle qu'elle soit, la mémoire de Rogello n'est pas cependant sans similitude avec celle de ces " athlètes du savoir " qui se produisent au cours de certains jeux radiophoniques ou télévisuels, du genre " quitte ou double ". C'est une mémoire orientée, sélective, ultraspécialisée, dont l'extraordinaire doit plus, au bout du compte, à la direction qu'elle a prise et aux objets qu'elle se donne qu'à sa supranormalité.
Tel était aussi le cas des griots, qui formaient, en Afrique occidentale, une caste marginale, à la fois méprisées et crainte, car ces virtuoses de la parole, dont le rôle était multiforme, faisaient office de bouffons de cour, de journalistes oraux colportant louanges et médisances, et de conteurs capables de relater les récits ancestraux, à mi-chemin de l'histoire et de la légende. Leur mémoire était prodigieuse.
Témoin, Fadama Babou Condé, l'un des derniers grands griots, dont l'écrivain africain Camara Laye a recueilli les chants dans un livre intitulé Le Maître de la Parole et publié en 1978.
Badou Condé était alors âgé de plus de 80 ans. Il appartenait à une longue lignée de griots, dont le premier en date semble bien avoir vécu dans le Mendèn du XIIIe siècle. " C'est depuis cette époque lointaine, écrit Camara Laye, que les enfants mâle de la tribu des Condé de Fadama ( Guinée ) étaient exercés, dès leur plus tendre enfance, à l'art de parler. " Ils étaient soumis à un conditionnement quotidien, ce qui explique leurs prouesses. Il n'a pas fallu en effet moins d'un mois à Camara Lae pour enregistrer la psalmodie de Babou, à raison de 4 ou 5 heures par jours... Au surplus, les griots utilisaient largement ces procédés mnémotechniques que sont le geste, le mouvement, la mimique lorsqu'ils sont associés à la parole.
Ici, donc rien d'étrange. Mais il est des cas bien troublants...
Exemple : Veniamin, le sujet étudié pendant plus de 30 ans par le grand psychologue soviétique A.R. Luria. Jusqu'à la trentaine, rapporte ce dernier dans Une prodigieuse mémoire ( 1972), Veniamin n'avait pas remarqué à quel point il différait du commun des mortels. Et comment aurait-il pu s'en rendre compte ?A l'école primaire, Veniamin avait été un élève moyen. Son goût pour la musique, notamment pour le violon, l'avait engagé à s'inscrire dans une école de musique. A la suite d'une affection de l'oreille interne, il comprit cependant qu'il ne pourrait jamais faire une carrière d'instrumentiste, car tout guéri qu'il était, il n'avait plus l'ouïe aussi fine qu'auparavant. Il tâta donc de différents métiers avant de se faire embaucher comme reporter dans un journal local.
Tous les matins, comme de coutume, le rédacteur du service réunissait ses collaborateurs pour la distribution des tâches. Il leur dictait parfois de très longues listes d'adresses où ils devaient se rendre pour aller recueillir les renseignements souhaités ; et, bien évidemment, tous prenaient des notes...
Tous, sauf Veniamin. Ce qui, lorsqu'il s'en aperçut, irrita fort le rédacteur qui, une fois le mouvement d'humeur passé, demanda au jeune homme de lui répéter dans le détail toutes les consignes qu'il avait données pendant cette séance de travail. Veniamin les lui énonça toutes, dans l'ordre et sans la moindre erreur. Le rédacteur ne cria ni au prodige ni à la supercherie. Il en inféra plus sagement qu'un sujet comme Veniamin pouvait être utile à la psychologie et à la science.
C'est ainsi que, dans les années 1920, Luria rencontra Veniamin.
Le psychologue soumit son patient à toutes sortes de tests. Or, il lui fallut bien se rendre à cette évidence : non seulement cet homme répétait sans difficulté aucune, des listes de 30, 50, 70 mots ou chiffres, mais ses capacités de fixation étaient telles qu'il était en mesure de restituer avec exactitude ces mêmes listes quelques mois plus tard, et même parfois trente ans après... Phénomène d'autant plus extraordinaire que, Veniamin étant alors devenu un mnémoniste professionnel de music-hall, sa mémoire aurait dû depuis longtemps être arrivée à saturation.A défaut de pouvoir jamais mesurer cette mémoire quasi monstrueuse dont les limites semblaient reculer en proportion de ce qu'on exigeait d'elle, le psychologue s'appliqua à en étudier les propriétés et le fonctionnement. Il lui apparut bientôt que les listes de syllabes ou de mots qu'on donnait à lire ou à entendre à Veniamin s'imposaient à ce dernier, sur l'écran intérieur de sa mémoire visuelle, avec autant de netteté que sur un tableau noir. Et s'il lui arrivait de se tromper, d'hésiter quelques temps avant de fournir la réponse juste, la raison n'en était pas l'oubli, car à vrai dire Veniamin n'oubliait rien, mais un phénomène analogue à un défaut de perception...
Tout se passait alors comme si, déclarait-il, un mauvais éclairage l'eût induit en erreur, ou que la trace mnésique se fût confondue avec une autre trace de couleur identique qui l'aurait brouillée.A l'évidence, donc, Veniamin avait une perception colorée des sons. C'est ce que confirmèrent les examens auxquels le soumit le laboratoire de physiologie de l'ouïe, à l'institut de neurologie de l'Académie de médecine de Moscou. Selon la hauteur du son et sa puissance en décibels, le sujet examiné " voyait " défiler différentes formes diversement colorées. Et non seulement il " voyait ", mais il percevait à l'audition des sensations gustatives et olfactives plus ou moins intenses, plus ou moins agréables, il ressentait sur sa peau certaines impressions, etc. Cela, il va sans dire, sans le secours à quelques drogues que ce soit.
Ces sortes de transpositions sensorielles portent en psychologie le nom de synesthésies. Elles sont moins rares qu'on ne le pense généralement.
L'extraordinaire, toutefois, chez Veniamin, c'est qu'elles étaient systématiques, constantes, tout en gardant leur caractère spontané.
Et plus encore, qu'elles semblaient n'exister que comme moyen au service de la mémoire. Car la restitution du souvenir, pour cet homme n'aurait pu se faire sans que soient à nouveau convoqués tous les récepteurs sensoriels qui avaient été sollicité au cours de sa fixation.La synesthésie n'était pourtant pas chez lui l'unique adjuvant de la mémoire. L'imagination qu'il avait vive, y concourait pour une large part.
Sa fantasmatique était d'une telle richesse qu'il ,ne pouvait s'empêcher de doter chacune des syllabes qu'on lui épelait, par centaines, parfois, pendant une seule séance, d'une image et d'un sens qui contribuaient à la graver dans son esprit.Les calculateurs prodiges sont tous, eux aussi, doué d'une mémoire proprement exceptionnelle, encore que spécialisée dans les nombres.
Mais il semble s'y ajouter quelques chose de plus. Quelque chose d'apparemment incompréhensible, qui déconcerte la raison.
Quoi, exactement ?
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Par giova35 le 22 Août 2013 à 17:48
28 novembre 1954, Caracas, Venezuela
Deux heures du matin, le 28 novembre 1954 ; deux jeunes hommes voyageant à bord d'une camionnette, près de Caracas, au Venezuela, tombent sur une sphère lumineuse de près de 3 m de large, en vol stationnaire à 2 m au-dessus de la route.
L'un des deux hommes, Gustavo Gonzales, sort pour aller voir la chose de plus près. Alors qu'il s'approche de l'ovni, une petite créature, ressemblant à un nain et couverte de poils raides, l'envoie rouler d'une petite tape désinvolte. Puis, l'humanoïde saute sur Gonzalez, les yeux rouges, comme injectés de sang. Gonzalez sort un couteau pour frapper son adversaire, mais la lame glisse sur ce corps poilu.
Une autre créature surgit soudain, éblouissant Gonzalez avec une lumière très puissante. Le compagnon de Gonzalez, José Ponce, saute de la camionnette pour venir en aide à son ami. Il voit deux autres créatures émerger des buissons bordant la route : ils portent des pierre. Tous sautent dans le véhicule en suspension et disparaissent.
Les deux hommes rapportent l'incident à la police. Le docteur qui les examine était justement en route pour une urgence et a été lui-même témoin de la scène. Les deux hommes sont particulièrement effrayés, et Gonzalez a sur le côté une sérieuse éraflure.
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10 décembre 1954, Carora, Venezuela
Moins de deux semaines après cette rencontre, le 10 décembre 1954, Lorenzo Flores et Jesus Gomez partent pour une chasse à courre près de Carora, au Venezuela. En route, ils voient un objet large de 3 m, circulaire, semblable à deux cuvettes placées l'une au-dessus de l'autre et qui stationne au-dessus du sol, des flammes sortant de dessous.
Par la suite, ces deux témoins racontèrent que quatre petits êtres hirsutes et de couleur foncée, au corps " fort comme du roc ", avaient sauté de l'appareil pour les attaquer. Ils avaient traîné Gomez un peu plus loin.
Flores aurait frappé l'un d'eux avec la crosse de son fusil, mais l'arme s'était cassée en deux. Les deux hommes réussirent à s'échapper et à rejoindre un poste de police. Tous les deux souffraient de profondes égratignures et de nombreux hématomes.**********
16 décembre 1954, San Carlos del Zulla, Venezuela
Six jours plus tard, le 16 décembre, Jesus Paz passait en voiture avec quelques amis dans la ville de San Carlos del Zulla, au Venezuela.
Il demanda au chauffeur de s'arrêter un petit moment pour satisfaire un besoin naturel pressant derrière des buissons bordant la route. Ses compagnons l'attendaient, quand ils entendirent un grand cri.
Se précipitant vers les buissons, ils découvrirent Paz qui gisait là, inconscient. Ils virent alors un petit humanoïde détaler vers un objet en vol stationnaire, brillant, en forme de disque. L'être grimpa à bord, puis l'engin s'éleva en s'éloignant dans une sorte de sifflement. A l'examen, on découvrit que Paz était couvert de profondes égratignures le long de la colonne vertébrale.**********
20 décembre 1958, Domsten, Suede
En 1958, on rapporta de Suede une autre de ces histoires plutôt étonnantes sur le comportement violent de ces étranges individus sortis d'ovni. Hans Gustavson, 25 ans et son ami Stig Rydberd, 30 ans revenaient d'un bal le soir du 20 décembre. Sur le chemin d'Halsingborg, où ils habitaient, ils découvrirent à Domsten un objet de la forme d'une soucoupe qui reposait à terre sur trois " jambes ". Il avait un peu près 3 m de largeur et 1 m de haut. Éclairé d'une lumière plutôt douce et ne dégageant aucune chaleur, l'intérieur semblait un noyau foncé au milieu de la lumière.
Les deux hommes observèrent la scène quelques minutes avant d'être attaqués. Quatre créatures grises, hautes de 1 m chacune, se précipitèrent sur eux. Ces êtres, qui paraissaient n'avoir aucun membre, s'emparèrent cependant des deux hommes et essayèrent de les traîner ver leur engins.
Gustavson et Rydberg essayèrent de se défendre, mais ils leur furent impossible de trouver prise sur ces créatures qui avaient une consistance gélatineuse. Rydberg réussit à frapper un assaillant, mais son bras s'enfonça dans la créature jusqu'au coude et le coup n'eut aucun effet.Tandis que ces individus concentraient leur force sur Gusravson, Rydberg courut à la voiture et actionna le klaxon pour attirer l'attention. A ce bruit, soudain, les créatures s'enfuirent et montèrent à bord de l'appareil, qui s'envola.
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