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Par giova35 le 24 Octobre 2013 à 09:34
Les lacs de l'Amérique du Nord tant aux Etats-Unis qu'au Canada, ont produit plus d'histoires de monstres qu'aucune autre région du monde.
plus de 90 lacs et rivières sont supposés abriter des " objets nageant non identifiés ". Très peu de rapports sur ces faits sont confirmés par la photo ou le film. La plupart demeurent inexpliqués et forment l'un des mystères les plus intrigants de la géologie moderne. S'il y a tant de créatures dans ces lacs, comment font-elles dont pour rester si secrètes ?Les témoignages sur les monstres des lacs américains ont une longue histoire. Pour commencer, bien sûr, les Américains eux-mêmes, c'est-à-dire les Indiens, ont maintes légendes de monstres aquatique.
Comme dans toute tradition folklorique, les détails peuvent cacher quelque chose de très réel.Les Indiens Micmacs de Nouvelle-Ecosse croient à un serpent fabuleux assez semblable à celui décrit par les Algonquins plus à l'ouest.
Les Iroquois du Nord de l'Etat de New York, ont un monstre appelé Onijore. Dans l'Indiana, les Potawatomis croient en un monstre du lac Manitou, sur la rivière Wabash : au début du XIXè siècle, ils protestèrent contre l'érection d'un moulin qui aurait troublé la vie de cette créature.Toutes ces tribus sont groupées dans la régions des Grands Lacs.
Plus loin, à l'ouest, dans les états des Montagnes Rocheuses, on trouve d'autres légendes. Parmi les Shawnees, par exemple, l'histoire d'un grand reptile qui fut tué par un sorcier avec l'aide d'une jeune fille, exactement comme dans la légende de saint Georges et du Dragon.
Les Kalapuyas de la rivière Willamette, dans l'Oregon, croient en un monstre appelé Aturki, qui vit dans les lacs et rivières de la régions.
Un anthropologue notait que " ceux qui l'on vu le décrivent comme une sorte de phoque ou de loutre de mer ". S'agit-il de mythes, ou bien de la description d'animaux extraordinaires mais réels ?Les premiers témoignages contrairement aux légendes, dates des premières décennies du XIX siècle.
Un des pionnier de la chasse au serpent de mer, Constantin Samuel Rafinesque, mentionne la tradition d'un " grand serpent d'eau " qui vivait dans un lac près de Philadelphie. Mais il collecta aussi des rapports d'apparitions plus récentes. Le 13 juillet 1817 l'un d'eux fut vu dans le lac Erie, à cinq kilomètres de la terre, par l'équipage d'un schooner.
Il avait 10 à 12 mètres de long et 30 centimètre de diamètre. Sa couleur était celle de l'érable foncé, presque noire. Cette communication est très imparfaite : elle ne mentionne même pas s'il avait des écailles ?
Aussi ne peut-on trancher s'il s'agit d'un serpent ou d'un poisson.En 1819, l'animal fut de nouveau aperçu et décrit comme couleur de cuivre, avec des yeux brillants et une longueur de 20 m. On lui tira dessus sans résultat, soit que ses écailles l'aient protégé, soit que les tireurs l'aient raté.
A cette époque, le serpent de mer était pris très au sérieux en
Nouvelle-Angleterre, mais ils devinrent, au contraire, une source inépuisable pour le journalisme humoristique et pour les canulars.En 1855, le lac Silver fit parler de lui. On y avait vu un " serpent de mer ".
Il y avait beaucoup de témoignages différent et la presse local s'en mêla.
Puis les rapports allèrent diminuant pendant les deux années suivantes.
Un jour, un hôtel du coin prit feu et les pompiers découvrirent dans le grenier les restes du " serpent de mer ". C'était une sorte de mannequin grossier, maintenu sur l'eau par des vessie gonflée, et fabriqué par l'hôtelier dans le but d'attirer la clientèle. Les gens de la région commencèrent par se fâcher, puis l'auteur de la supercherie fut oublié.
De nos jours, la ville de Perry célèbre tous les ans une fête du serpent de mer.Les journalistes américains ont souvent été les responsables du folklore instantané. En 1830, par exemple, il y eut une foule de rapports en provenance des lacs de l'Indiana. Il y avait eût, bien entendu, les légendes indiennes auparavant. Mais les articles publiés dans le journal de Logansport annonçaient que des témoins blanc avaient aussi vu les monstres. Un siècle plus tard, ces rapports furent examinés par un professeur d'histoire de l'université de l'Indiana. Donald Smalley découvrit qu'il s'agissait d'une " blague " journalistique.
Après que les derniers indiens eurent été chassé de l'Etat, les rapports disparurent.Beaucoup de témoignages concernant les nombreux lacs américains sont des rapports isolés, datés souvent du XIXe siècle. Mais quelques lacs ont une longue histoire, avec une suite de rapports se prolongeant jusqu'à nos jours. Et après avoir déblayer les fantaisie des journalistes, l'accumulation des preuves, bien que fragmentaires et confuses est impressionnante et finalement convaincante.
N'a-t-on jamais retrouvé de vraie traces de ces créatures ?
Le Canada et l'Alaska, pays criblé de lacs, ne manquent pas de rapport concernant les monstres. Sous ces rapports modernes court une longue tradition légendaire et des Esquimaux.
A la fin des années 1940, l'écrivain canadien Farley Mowat entendit parler d'un monstres appelé Angeoa qu'on pouvait voir sur le lac Dubawnt. Son informateur était un ami esquimau, dont le père, avec un compagnon, avait vu la créature à la fin du siècle précédent. Les os d'un animal énorme avaient été trouvés sur les bords du lac, d'où son nom : lac des Os-Entassés.
Quant au monstre : " Mon père, qui l'a vu, disait qu'il était aussi long que vingt kayaks et large comme cinq. Il avait une nageoire qui s'élevait à une extrémité, et cette nageoire était aussi haute qu'une tente. Ni mon père ni Hekwaw ne virent sa tête et ils ne croyaient pas que la bête en ait une. "
Cette créature était sans doute à rapprocher de celle connue dans les Grands Lacs sous le nom de Manitou Niba Nabais, dieu des Eaux et des Lacs. Mais ces légendes ne sont utiles scientifiquement que comme fond commun aux rapports modernes.
Un vieil Indien raconta à Reuben Gaines, personnalité de la télévision et écrivain, qu'il avait vu quelqu'un se dessécher et mourir après avoir vu le monstre du lac. Certains Indiens refusent de monter dans des bateaux peints en rouges, car ils pensent que le rouge déplaît au monstre, et celui-ci peut attaquer les embarcations.
Un esturgeon géant ou une sorte de baleine ? C'est la question que se posa Tom Slick, un pétrolier connu du Texas, en étudiant, avec l'aide du commandant Stanley Lee, les rapports que les aviateurs de la Navy envoyaient de cette créature. Mais ils ne purent réussir à trouver quoi que ce soit de grand. En 1966, un photographe de New York, Leonard Rue, essaya lui aussi de découvrir si les légendes recouvraient une vérité quelconque, mais il échoua. Les gens du pays constatent que les expéditions se succèdent au Loch Ness, mais pas en Alaska.
Mais le lac Lliamma est un endroit peu avenant. Des lacs plus favorisés ont reçu quelques chercheurs. Au lac Simcoe, non loin de Toronto, une créature nommée Igopogo a été recherchée par plusieurs expéditions.
Tout au long du XIXè siècle, il y eut des rapports persistants, auxquels le récit d'un trappeur indien donna corps en 1952.
En 1963, une créature " couleur de charbon ", de 9 à 20 m de long et avec des nageoires dorsales, fut aperçue par un pasteur, un entrepreneur et leur famille. D'autres personnes l'ont décrite comme un animal à tête de chien avec un cou du diamètre d'un tuyau de poêle.Son gîte supposé était Kempenfelt Bay, aussi l'avait-on surnommé
" Kempenfelt Kelly ". La baie fut polluée par 4,5 millions de litres d'eaux d'égout en juillet 1980. Mais, quelques jours plus tard, la créature fut aperçue dans la baie Cook par John Bergeron et son oncle Gaston. Elle avait la tête deux fois et demie plus grosse que celle d'un homme, une bosse de chameau et une queue de 2 m de long. " Il était là, avec de gros yeux de vache, à sauter dans l'eau pendant un moment ". Heureusement, le monstre avait échappé à la pollution...Il y eut aussi des rapports récents à propos d'un monstre dans l'Ontario.
Les tout derniers viennent encore le confirmer. Il y en avait un aussi dans le lac Deschênes : un morceau de sa peau poilue fut retrouvé dans les pales d'une hélice. Un " crocodile " affola New Hambourg en 1953 : le policier de service lui tira dessus.Plus à l'ouest, au-delà des Grands Lacs, il y a de nombreux lac du Manitoba.
Le lac Winnipeg couvre à lui seul 300 km². Le premier rapport concernant le lac Manitoba date de 1908. Un an plus tard, un trappeur vit une créature énorme nageant à environ 3 km à l'heure. Elle était de couleur sombre et son corps émergeait hors de l'eau.Les rapports continuèrent : en 1957, deux hommes, Louis Belcher et Eddie Nipanik, virent un monstre en forme de serpent dans le lac Manitoba. Leur rapports et d'autres cette année-là suscitèrent un regain d'intérêt. Le gouvernement provincial envoya une équipe pour découvrir le monstre, surnommé " Manipogo ". Le ministre de l'industrie et du commerce déclara que la sûreté et la prospérité du lac Manitoba dépendaient du résultat de l'expédition. Mais l'équipe en question ne trouva rien d'assez gros pour causer le moindre tracas aux pêcheurs ou autres usagers du lac.
Les rapports continuaient pourtant à affluer : pendant l'été 1960, on se décida enfin à envoyer une expédition scientifique. Le 12 août 1962, deux pêcheurs attrapèrent ce qu'ils crurent être un Manipogo. Un zoologiste de Winnipeg, le docteur James A. MacLeod dit, en voyant l'objet bossu sur la photo : " Si ceci n'est pas le monstre, je voudrais bien savoir de quoi il s'agit. "
Ces rapports, bien que nombreux, sont dépassés par l'évidence concernant le monstre du lac Okanagan, le grand Ogopogo. Actuellement l'objet de deux livres, Ogopogo a été appelé le Nessie de l'Amérique du Nord. On ferait mieux d'appeler Nessie l'Ogopogo d'Ecosse, car les rapports sur le monstre canadien remontent à 1850, bien avant la célébrité de Nessie.
Okanagan est un long et profond lac de montagne, orienté du Nord au sud dans l'agréable pays de vergers qu'est le sud de la Colombie britannique. Les détails d'innombrables rapports décrivent une créature foncée, de grande taille, avec un long cou et un dos bossus.
Quelques échantillons nous montrent leurs frappantes similitudes.En juillet 1890, le capitaine Thomas Shorts, sur le vapeur Jubila, vit au large de Squally Point un animal de 5 m de long, avec une tête de bélier.
C'était l'un des premiers rapports. Il y en eut encore une demi douzaine avant 1935, où la rumeur fut amplifiée par un journal de Vancouvert et où commença son histoire moderne. L'idée, plus tard populaire, que la créature était un esturgeon géant fut contredite par une masse de rapports sur un animal à long cou.Un cas classique fut celui de Dick Miller et de sa femme, en juillet 1959.
Il en publia le récit trois jours plus tard : " Au retour d'une croisière sur le lac Okanagan, naviguant à 16 km/h, j'aperçus, à environ 75 m dans notre village, ce qui paraissait être un serpent. Je pris mes jumelles pour vérifier. C'était bien Ogopogo, il avançait beaucoup plus vite que nous.
Je dirai de 25 à 30 Km/h. La tête était à environ 25 cm au dessus de l'eau. Elle ressemblait à celle d'un serpent, avec un museau court..." Notre excitation fut de courte durée, car au bout de trois minutes, comme Ogopogo ne semblait pas apprécier l'approche du bateau, il réduisit gracieusement ses cinq bosses si nettement visibles, abaissa la tête et s'enfonça peu à peu. A aucun moment, sa queue ne fut visible. Notre propre opinion sur sa couleur est qu'il tire sur un vert très foncé...
Ce serpent de mer glisse d'une manière très suave, sans les ondulations des serpents. Cela conduit à penser qu'entre les bosses il y a peut-être des nageoires qu'il manœuvre ou ensemble ou séparément pour contrôler la direction. "Ogopogo a été le sujet d'un film très controversé tourné par Art Folden en août 1968. Luli et sa femme rentraient chez eux , à Chase, le long des berges du lac. A un endroit, sur la nationale 97, ils virent quelques chose de gros se mouvoir dans l'eau.
Art Folden, par chance avait sa camera toute prête avec une pellicule couleur et un téléobjectif. La braquant sur la baie, il prit une minute de film en plusieurs fois, ne photographiant l'objet que quand il était bien visible à la surface.
Le monstre le plus célèbre du Canada était-il enfin " dans la boite " ?
Peu soucieux de s'exposer lui-même à la publicité, Folden se tint coi, montrant seulement le film chez lui à quelques parents ou amis.
Au bout d'un an, fin 1969, son beau-frère le persuada enfin de révéler son film publiquement. Quand il fut projeté en février 1970, il fit sensation.
Il y eut par la suite un flot de rapports bien authentifiés, mais le film lui-même fut contesté.Des pins dans l'arrière plan permirent d'évaluer l'objet à 18 m de long, la taille d'une grosse barque. Il avait 1 m de large. Il se mouvait très rapidement avec un sillage bien marqué. Quelques observateurs crurent distinguer la tête ou la queue. Cependant beaucoup restèrent sceptiques. Mais Arlene B. Gaal, écrivain local et auteur d'un livre sur l'histoire du monstre d'Okanagan, alla visiter l'endroit où le film avait été pris, et revint convaincue que le film d'Art Folden montrait " une forme de vie inusitée " dans les eaux du lac.
En 1967, une photo en noir et blanc montrant ostensiblement Ogopogo fut découverte dans les classeurs de la chambre de commerce de Kelowna.
L'homme qui l'avait prise ne désirait aucune publicité pour lui, même lorsque la photo fut publiée dans le journal local. Il affirma avoir vu la créature bossue dans une petite baie près de Kelowna Bridge, mais elle disparut pendant qu'il prenait la photo...Les rapports augmentent chaque année. Le 3 août 1976, une série de cinq photos fut prise par Ed Fletcher, de Vancouver. Pendant de nombreuses heures, lui et ses amis pourchassèrent l'ogopogo et, à la longue, il prit des photos couleur qui montrent un objet long et bossu à la surface de l'eau.
Est-ce le monstre ? Ou plutôt un effet des vagues ? Les témoins étaient formels : ils racontèrent avoir vu la tête et " deux choses dressées sur la tête comme les oreilles d'un doberman ".S'il y a un endroit au monde qui soit propice à l'enquête sur les monstres lacustres, c'est bien le lac Okanagan. Mais, comme nous l'avons bien vu, jusqu'à présent bien peu de scientifique ont daigné relever le défi posé par son identification...
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Par giova35 le 17 Octobre 2013 à 08:36
Les nombres peuvent-ils nous révéler l'avenir ou dévoiler les aspects cachés de notre personnalité ? Pour tous ceux qui pratiquent l'art ancien de la numérologie, la réponse est positive.
La numérologie est une méthode qui permet de faire correspondre des noms, des dates ou des événements à des nombres, généralement
de 1 à 9, bien que parfois les nombres 11 et 22 entrent aussi dans le système.Chaque nombre a une certaine signification. C'est ainsi que la personnalité de William Shakespeare correspond au chiffre 5, le nombre de la versatilité et de la richesse d'esprit. On établit cette correspondance par une très simple identification des lettres de l'alphabet aux nombres selon le " système hébreu " comme disent les numérologues.
Pour trouver votre nombre, il vous suffit d'écrire le chiffre correspondant à chaque lettre de votre nom et de les ajouter. Si le total de l'addition est supérieur à 9, ajoutez-y les chiffres qui le composent et continuez jusqu'à le résultat soit inférieur à 10. En ajoutant par exemple, les nombres correspondant aux lettre de Charlotte Bronté, nous arrivons à 5
( Charlotte = 3 + 5 + 1 + 2 + 3 + 7 + 4 + 4 + 5 = 34 ;
34 + 25 = 59 : 5 + 9 = 14 ; 1 + 4 = 5 )Si après avoir ajouté les chiffres correspondant à votre nom, vous arrivez à :
1 - Vous êtes probablement une personne dominante, vous avez une âme de chef. Les " 1 " sont des pionniers, des inventeurs, des créateurs. Mais le plus souvent, lorsqu'ils ont mis leur plan en route, ils s’intéressent peu aux personnes touchées par leur actions ou qui pourrait en souffrir. Ils tentent à dominer tous ceux qu'ils rencontrent ; ils ont rarement des amis intimes et sont souvent des personnes solitaires malgré leur apparence sociable.2 - Ce sont des gens passif et réceptifs. Ils sont tranquilles, doux, gentils, ordonnés, consciencieux et ont peu d'ambition. Ils arrivent cependant à leur fin par une douce persuasion plutôt que par la force. Ils sont hésitants et se créent des problèmes en remettant des décisions à plus tard sans aucune raison valable, ce qui les entraîne dans des situations difficiles.
3 - L'un des nombres les plus extravertis correspondant à des personnalités intelligentes, créatives et spirituelles.
Les " 3 " se font généralement des amis avec beaucoup d'aisance et réussissent tout ce qu'ils entreprennent. Ils sont fiers, ambitieux et aiment le plaisir, mais leur grande faiblesse est dans leur incapacité de prendre quoi que ce soit - idées ou personnes - au sérieux pour très longtemps.4 - Comme le " 2 ", est le nombre des personnes très terre à terre en qui l'on peut avoir confiance. Il leur manque la volatilité des " 1 " ou des " 3 ", mais ils compensent cela par leur impartialité et leur côté méticuleux.
Ils peuvent être sujets à des rages soudaines et irrationnelles ou à des dépressions qui semblent tout à fait extraordinaire chez des personnes qui sont habituellement des modèles de calme. Les numérologues considèrent le " 4 " comme étant le traditionnel numéro de la malchance. Les " 4 " doivent généralement payer très cher pour arriver à quelque succès dans leur vie .5 - Appartient aux gens brillants, intelligents, rapides et impatients. Ils vivent continuellement sur les nerfs, aiment les rencontres et sont toujours à l'affût de nouvelles expériences. Ils ont souvent un physique attirant, mais manquent d'énergie et détestent être assujettis à une tâche.
Cinq est le nombre qui représente le sexe. Les personnes de ce nombre ont des aventures amoureuses variées et agitées mais souvent problématiques. Parfois, leur sexualité prend une importance excessive et vire même à la perversion.6 - Les personnalités de ce chiffre sont parmi les plus heureuses de tout le système numérologique. Ce sont des gens tranquilles, équilibrés et qui aiment leur foyer. Ils sont affectueux, loyaux, sincères et consciencieux. Ce sont des esprits plutôt créatifs ; beaucoup réussissent dans les matières artistiques. Le mauvais côté de leur caractère est qu'ils ont plutôt tendance à être pointilleux, voire suffisants et satisfaits d'eux-mêmes.
7 - Le nombre du solitaire, du savant introspectif, du philosophe, du mystique ou de l'occultiste. Ces personnes se tiennent en marge de la société et se contentent d'observer le flot courant de la vie quotidienne. Ils sont dignes, réservés et savent se dominer. La richesse du monde ne les intéresse pas. Bien qu'ils semblent distants, ce sont des amis sur lesquels on peut compter. Malgré leur intellect puissant, ils ont souvent du mal à traduire leur pensée en paroles et peuvent même refuser la discussion s'ils sentent que l'on peut contester leur idées.
8 - Ce chiffre représente le succès. Les personnes de ce nombre sont souvent de bons hommes d'affaires, des hommes politiques ou des juristes. Ils ont bâti leur succès sur un énorme travail plutôt que sur leurs qualités humaines. Ils semblent parfois durs, égocentriques et âpres au gain. Mais ils peuvent cacher derrière cet extérieur peu sympathique un côté fantasque qui inspire l'affection de leur entourage.
9 - Total accomplissement intellectuel et spirituel. Les " 9 " sont des idéalistes, des romantiques, des visionnaires, des poètes, des missionnaires, des médecins, des professeurs scrupuleux et de scientifiques. Ils ont pour qualités principales le désintéressement, une grande discipline envers eux-mêmes et envers le but qu'ils visent.
Leur idéalisme couvre le genre humain dans son ensemble. Ils aiment être remarqués, mais ce sont parfois des amis ou des amoureux volages.Certains numérologues emploient aussi les nombres " 11 " et " 22 ".
Ils représentent selon eux un plus haut niveau d'expérience que les nombres de 1 à 9. Les personnes du " 11 " ont eu des révélations mystiques ou furent des martyrs.Ce sont souvent des personnes animés d'une grande vocation pour leur travail : des prêtres, des médecins, des infirmières ou des professeurs. Ils préfèrent souvent les idées à la réalité.
" 22 " est le nombre " maître " : les personnalités dont le nombre est égal à 22 possèdent toutes les qualités des autres nombres à la fois.
Appliquez cette méthode à votre nom et vous trouverez, selon les numérologues les différents caractères de votre personnalité qui vous marqueront toute la vie. Appliquez-la aussi au nom que vous donnez ou bien que vous aimeriez avoir et vous vous rendrez compte combien vos expériences ont modelé votre personnalité.
Grace à votre surnom, vous pourrez savoir ce que vos amis pensent de vous. Une femme mariée peut connaître ce que sa vie d'épouse a changé chez elle en comparant son nom de jeune fille et son nom de femme.
Le total des voyelles de votre nom donne votre nombre du cœur, il montre le côté caché de votre caractère. Le total des consonnes correspond à votre personnalité, ou à l'impression que vous donnez aux gens qui vous entourent. Cette distinction vient de l'hébreu, langue dans laquelle on écrit seulement les consonnes : les voyelles sont
donc " cachées " et représentent les aspects cachés de la personnalité.On doit considérer ces nombres comme les signes du zodiaque : ils vous donnent un type de caractère général, pas une description détaillée.
Mais les individus du même nombre partagent réellement certains traits de leur personnalité. Citons en exemple : Winston S. Churchill,
Albert Einstein, Pablo Picasso et Florence Nightingale, qui, tous sont du nombre 11, le nombre des grandes vocations.On peut appliquer la même technique aux noms de ville, la plupart des résultats confirment les dires des numérologues. Les lettres du mot Londres donnent 5 : c'est une ville aux multiples facettes, New York donne 3 : éclat et scintillement. Les vieilles villes d'Oxford et Cambridge ont toutes deux le nombre 7, qui s'applique au savant introverti et distant.
On a fait aussi des prédictions tout à fait ridicules à partir de la numérologie : un numérologue américain a prédit qu'un jour la ville d'Oakland, en Californie, connaîtrait un gigantesque incendie comme Chicago en 1871, sous prétexte que les deux villes sont du nombres 9.
On peut étendre la numérologie aux caractéristiques d'une année, d'une décennie ou même d'un siècle. Le siècle présent porte le nombre 1
( 1 + 9 + 0 + 0 = 10 ; 1 + 0 = 1 ). Les numérologues pensent donc que c'est une période palpitante d'inventions et de découvertes, de domination et d'assujettissement pour le XIXè siècle.L'année 1979 est caractérisée par le 8. Elle aurait donc dû être une année exceptionnelle pour les finances et la politique si l'on s'appuie sur les thèses des numérologues... Les années 1980 forment la neuvième décennie et sont donc caractérisées par le 9 avec de grande réussites dans les arts et le monde culturel.
Les numérologues voient leurs théories confirmées pour les décennies passées : l'éclat des années 1920, troisième décennie, atténué pour les années 1930 assombries dans les dernières années par la menace de guerre. On reprend confiance dans les années 1940 et plus d'assurance dans la sixième décennie des années 1950. Dans les années 1960, le rêve se transforme en mysticisme ( chiffre 7 ). Les attitudes se durcissent face à la conscience de l'argent dans les années 1970, ce qui se reflète dans le chiffre 8.
Mais les interprétations peuvent être multiples. Certains peuvent penser que le chiffre 6 - qui signifie tranquillité, bonheur et équilibre - représente bien mal les années cinquante marquées par l'intensification de la guerre froide, l'apparition de la bombe atomique et du rock'n'roll.
Selon les numérologues, les nombres peuvent nous suggérer certaines directions bénéfiques à pendre dans notre vie. Les " 7 ", par exemple, devraient prendre des décisions importantes ou entreprendre des tâches difficiles les jours du " 7 ", le 7, le 16 ou le 25.
Pourquoi devrait-on appliquer le système numérologique ? Les numérologues vous en démontreraient rapidement l'importance en vous donnant des exemples semblables à celui de Louis XIV.
Il arriva sur le trône en 1643, ce qui fait 14 ; il meurt en 1715, ce qui fait également 14, comme l'âge de sa mort : 77 ans. Mais ne serait-ce pas tout simplement une coïncidence ?Les numérologues affirment que la coïncidence n'existe pas. Selon eux, l'univers est une harpe gigantesque aux cordes innombrables, chacune vivant à un certain rythme, caractérisé par un nombre. Ils pensent que le nombre est à la racine de toutes choses et font remarquer que la science a montré que la lumière, le son, la structure atomique et beaucoup d'autres phénomènes dépendent de la fréquence et donc des nombres.
Les numérologues ont déjà des réponses toutes prêtes aux objections qu'on pourrait leur faire : par exemple, fonder le caractère d'une personne sur un nombre peut -être faux puisque le choix du prénom dépend pour une grande part des goûts et fantaisies des parents.
L'Américaine Florence Campbell explique : " L'âme a dans le passé fait de nombreux voyages et connaît ses besoins présents. L'âme veut toujours aller plus haut sur la Grande Spirale et choisit pour incarner son ego les voyelles dont le total accomplira ce but...
" Un long " Cycle obscur " précède la naissance d'un enfant ; pendant ce cycle, les vibrations qui marqueront la nouvelle vie impressionnent tellement le subconscient des parents qu'ils seront obligés de mener à bien le plan. "En d'autres termes, les numérologues soutiennent que le nom que l'on porte n'est pas un accident. Et ils affirment posséder la clé du code qui permet de trouver la signification des choses de la vie.
Quels peut bien être le point de vue des scientifiques sur une question qui trouble tant les chercheurs indépendants ?
4 commentaires -
Par giova35 le 14 Octobre 2013 à 09:00
Dans l'Âne d'or d'Apulée, le jeune Lucius assiste en cachette à la métamorphose de la sorcière Pamphile en chouette.
L'imprudent demande à la servante de Pamphile de lui procurer le baume magique dont s'est servie la magicienne. Mais elle se trompe et lui donne un baume qui transforme le jeune homme en âne, symbolisation de ses bas instincts. Il ne reprendra figure humaine qu'après avoir brouté des roses consacrées à Isis.
Une mésaventure comparable arrive au naïf tisserand Bottom, affublé d'une ridicule tête d'âne, qui, par un sortilège du roi des fées Obéron, devient l'objet de tous les désirs de la reines des fées Titania dans
Le Song d'une nuit d'été de Shakespeare.L'âne est généralement considéré comme un symbole de la bêtise et du ridicule. En Bretagne, on voit en lui une contrefaçon diabolique du cheval. Au Moyen-Age, on représentait d'ailleurs démons et monstres avec des oreilles d'ânes. Ces même oreilles d'ânes ornaient également, il y a peu, les bonnets dont on coiffait les cancres dans les écoles.
Dans le conte de Peau d'Âne, un âne magique expulse des pièces d'or en guise d'excréments. Le thème fut repris par le peintre Salvador Dali, qui voyait une corrélation directe entre l'or et l'ordure. Paul Sébillot précise :
" Parfois des larrons vendent à leurs dupes, en leur faisant accroire qu'ils possèdent ce don, un vieux cheval ou une vieille jument, auxquels ils ont mis un louis sous la queue ". On se souvient d'ailleurs que le roi Midas, qui transformait tout ce qu'il touchait en or, était pourvu d'oreilles d'âne, après qu'Apollon l'eût puni d'avoir préféré la flûte du dieu Pan à la musique du temple de Delphes.L'âne est également associé aux excès, notamment sexuels. Priape l’ithyphallique était souvent représenté au côté d'un âne. Les testicules de l'animal passent d'ailleurs pour avoir un fort pouvoir aphrodisiaque.
Les parties génitales de l'âne entrent également dans la confection de recettes magiques prônées par Albert le Grand :
" les poils qui sont autour de la verge d'un âne, étant découpés dans du vin, si on les fait boire à quelqu'un, il pétera sur-le-champ. De plus, si on mêle l'écume et la sueur qui se trouvent autour des testicules d'un âne avec du vin, et qu'ensuite on le fasse boire à quelqu'un, il aura le vin en horreur. "L'âne fait partie des animaux à la signification symbolique très contradictoire. Dans l'ancienne Egypte, il était le plus souvent associé au meurtrier d'Osiris, Seth, et on dessinait dans les hiéroglyphes de l'âne un couteau planté dans son épaule afin d'ôter à ce mauvais présage son pouvoir magique
C'est grâce au christianisme que l'âne retrouva quelques lettres de noblesse.
La Bible rapporte pour sa part l'existence de l'âne prophète Bileam qui comprenait mieux la volonté de Dieu que l'homme ; Jésus entra dans Jérusalem sur le dos d'un âne.
Ce sont un âne et un bœuf qui réchauffent l'Enfant Jésus de leur souffle dans la crèche. Depuis, chaque nuit de Noël à minuit, les bœufs et les ânes s'agenouillent et prophétisent en parlant le langage humain. Mais celui qui, au lieu d'assister à la messe de minuit, cherche à entendre ce qu'ils disent périra avant l'aube. C'est également sur un ânon que Jésus choisit de rentrer à Jérusalem lors du dimanche des Rameaux.
En signe d'élection, le Christ traça sur le dos de l'animal une croix ; aujourd'hui encore, certaines races d'ânes portent sur l'échine une croix formée par les poils d'une couleur différente de leur robe.
Pour les Anglo-Saxon, il suffit de toucher cette croix le matin de Noël en formulant un vœu pour le voir se réaliser. L'âne christophore est ainsi devenu un symbole d’humilité et de martyre, que l'on trouve évoqué dans le conte de Perrault, Peau d'Âne. Enfin, l'âne est considéré comme ayant la faculté de connaître à l'avance l'heure de sa mort. Lorsqu'il sent le moment fatidique arriver, il va se cacher. C'est pourquoi un proverbe affirme : " Vous ne verrez jamais un âne mort. "A une certaine idée de l'âne, symbole de l'humilité et de la douceur, s'oppose une conception tout autre qui voit en lui l'image de la bêtise, de la paresse, de l'obstination et de la luxure sans borne. Sur les statues romanes, l'âne et le bouc symbolisent l'inertie et la débouche.
" Bêtise " signifiait aussi au Moyen-Âge le manque de foi et c'est pourquoi l'apôtre Thomas qui avait douté de la résurrection de Jésus, et le judaïsme, sont représentés accompagnés d'âne. Certains tableaux montrent par ailleurs un âne s'agenouillant devant une hostie sacrée tenue par saint Antoine de Padoue.
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