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    Planète manquante


    Et si cette planète avait été peuplée de créatures intelligentes ?
    Entre Mars et Jupiter, des milliers d'astéroïdes encombrent le ciel. Sont-ils les restes d'une planète disparue qui aurait exposé voici des millions d'années ? Les astronomes se sont interrogés. On peut se poser d'autres questions : et si cette planète avait été peuplée de créatures intelligentes ? Et si elle avait explosé à la suite d'une catastrophe de type nucléaire ?
    Entre Mars et Jupiter, des mini-planètes rocheuses tournent autour du Soleil. Ces astéroïdes "d'un mot grec signifiant semblable à une étoile" sont une bonne centaine de milliers, et Cérès, le plus grand d'entre eux, a tout au plus 1000 km de diamètre, soit un douzième de la taille de la Terre et un millième de son poids. La taille des autres est le plus souvent très inférieure et certains d'entre eux ne doivent guère être plus grands qu'un... grain de sable !

    Planète manquante

    L'histoire de leur découverte n'est pas banale. La recherche de leur origine l'est encore moins. En 1766, le mathématicien allemand Johann Titius remarque qu'il existe une certaine relation numérique entre les distances des planètes au Soleil. Son idée sera reprise et popularisée par Johann Bode. Nous la connaissons sous le nom de loi de Titius-Bode. Imaginons une série de chiffres 1 et 2 étant exclus qui seraient le double du chiffre précédent, soit : 0, 3, 6, 12, 24, 48, 96, etc. On ajoute 4 à chaque chiffre. La nouvelle série est : 4, 7 10, 16, 28, 52, 100. Si la distance de la Terre au Soleil correspond à la valeur 10 "on peut la découper en 10 unités", Mercure et Vénus se situeront précisément en position 4 et 7 de ce découpage. Mars sera à 15 soit très près du 16 de la loi, Jupiter à 52 et Saturne à 95 "toujours très près du 100 de la loi".

    Le jeu est assez surprenant. Il l'est encore plus quand on se demande pourquoi il n'y a rien à la position 28 du découpage de Titius et de Bode... En 1800, un groupe d'astronomes se réunissent à Lilienthal, dans le nord de l'Allemagne : ils se mettent d'accord pour traquer, dans le ciel, les traces de la planète qui manque en position 28. C'est une première tentative de "police astronomique". L'astronome sicilien Giuseppe Piazzi découvre Cérès en janvier 1801 : le mouvement de cet astre est invisible à l'œil nu, et seul son déplacement lumineux, la nuit, dans le ciel, a permis de détecter ce qui passe alors pour être la planète manquante. Un an plus tard, une deuxième planète minuscule est localisée entre Mars et Jupiter : Wilhelm Olbers, son découvreur, la baptise Pallas. Pour ce dernier, il y a bien eu autrefois une planète, mais elle aurait explosé en plusieurs morceaux. Cinq ans après, on compte quatre astéroïdes dans la zone visée en 1800. Le cinquième sera découvert une quarantaine d'années plus tard. A la fin du XIXe siècle, les astronomes, qui disposent enfin de télescopes dignes de ce nom, ont tôt fait de détecter une douzaine de nouvelles mini-planètes entre Mars et Jupiter.
     
    Planète manquante

    On sait que de nombreuses météorites tombent régulièrement sur la Terre. En Occident, on en connaît qui sont faites d'un alliage fer-nickel, et même de minéraux divers. Manifestement, celles qui tombent en Union soviétique sont différentes. Le professeur Zigel en a trouvé qui contenait des pierres volcaniques, et même de la pierre de chaux, une roche sédimentaire formée par les coquilles fossiles des animaux microscopiques qui se déposent au fond de certaines mers. Cela ne pouvait que renforcer la thèse selon laquelle Phaéton était une planète comme la Terre et possédait des océans. On connaît les tectites, de petites météorites faites de métal pur, souvent vitrifiées par leur franchissement de l'atmosphère le fond des océans en est plein et elles constituent une fabuleuse réserve de matières premières. Pour les partisans de l'existence de Phaéton, ces tectites ne seraient que des scories postatomiques, des sortes de preuves de la vitrification de la planète disparue à la suite d'un quelconque drame nucléaire. Evidemment, la communauté scientifique internationale est loin de souscrire, même partiellement, à ces théories, très répandues en Union soviétique. Quels sont les arguments des Occidentaux pour expliquer cette étrange ceinture d'astéroïdes ?

    Giovanni Mangione  
      
    Pour les scientifique occidentaux, les arguments en faveur de l'existence de Phaéton et de son explosion sont beaucoup plus poétiques que réellement fondés sur l'observation.

    1. Les orbites de ces astéroïdes seraient différentes si ces corps astraux provenaient de l'existence d'une planète originelle.

    2. Après une telle explosion, les morceaux de la planète formeraient un inextricable fouillis de différents types de roches, qui auraient des compositions différentes, variables selon leur proximité du noyau de la planète disparue.

    3. La ceinture d'astéroïde ne contient pas assez de matière pour totaliser celle d'une planète. Cérès, le plus grand de ces corps célestes mesure 652 Km de diamètre. A eux tous, les autres astéroïdes ne contiennent pas plus de matière que Cérès. En reformant l'ensemble, on obtiendrait un globe très petit, qui serait bien incapable de retenir une atmosphère et qui serait stérile. Ce globe n'aurait qu'un tiers du volume de la Lune.
    Si cette explosion avait eu lieu, on trouverait des astéroïdes dans tout le système solaire, où ils seraient en orbite près de toutes les planètes. Il n'en est rien.

    4. Les grands astéroïdes sont plutôt arrondis. Leur forme rappelle celle de la Lune. La seule explication de cette forme se trouve dans le fait que les grands astéroïdes ont capté, au fil des âges, les astéroïdes plus petits. Il y a donc eu rassemblement et non explosion...

    5. L'étude attentive des météorites prouve la non-existence de la fameuse planète. Hormis les pierres que le professeur Zigel a analysées, aucune pierre venue de l'espace ne porte d'indices d'une éventuelle vie passée. Ni d'ailleurs aucune trace de radioactivité ; dans l'hypothèse d'une catastrophe thermonucléaire, les météorites devraient être porteuses de traces radioactives.

    6. Imaginer Phaéton couverte d'océan et rêver à l'explosion fabuleuse que provoquerait ces eaux lâchées sur le noyau en fusion n'est pas pensable. Les astéroïdes sont si éloignés du soleil que la moindre trace d'eau y gèlerait immédiatement.

    Planète manquante

    Reste alors à expliquer pourquoi cette ceinture d'astéroïde existe.

    Pour la plupart des astronomes sérieux, et qui n'admettent pas cette théorie de planète manquante, les astéroïdes représentent, au contraire, les différentes parties d'une planète qui n'a jamais pu se former.

    A l'origine, tout le système solaire devait être composé d'amas d'astéroïdes, qui se sont petit à petit agglomérés en planètes. Pourquoi phaéton n'a-t-il jamais vu le jour ? Probablement à cause de Jupiter, dont la création a dû attirer une grande partie de la matière disponible.
    Aucune trace de civilisation, mais le spectacle est tout aussi excitant. Finalement, si elle est moins romantique que celle de l'hypothèse de Phaéton, l'idée selon laquelle les astéroïdes sont un monde qui n'a pas pu "encore" se former est tout aussi excitante pour l'esprit.
     
                                                                                                        Extrait de " Inexpliqué 1981"

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    Stonehenge

    Denis Devilliers

    C’est dans la plaine de Salisbury que se dresse depuis 5 000 ans, le plus beau monument mégalithique d’Europe. Stonehenge fascine archéologues et astronomes.
    Stonehenge n’a pas encore livré tous ses secrets. Était-ce un temple, un monument funéraire ou un observatoire astronomique ?

    Les dernières découvertes laissent penser que Stonehenge était un lieu de sépulture depuis son origine.
    Les Celtes ont toujours voué un grand respect à Stonehenge. Mais, on sait qu’ils n’en sont pas les bâtisseurs.
    Stonehenge
    Il est certain que le site a été utilisé par les druides pour leurs cérémonies. Cependant, les lourds mégalithes étaient là bien avant l’arrivée des Celtes sur le sol britannique.
    Grâce aux techniques de datation au carbone, on sait que le site a été construit en quatre phases entre 3 100 et 1 600 avant notre ère, avec des pierres d’origines différentes.
    Il faut préciser que les experts penchèrent tout d’abord pour trois campagnes de construction mais aujourd’hui, ils penchent plutôt pour quatre phases bien distinctes.
    Certaines pierres proviennent d’Avebury, à une vingtaine de kilomètres, d’autres des monts Prescelly dans le pays de Galles à plus de 200 kilomètres, et de Milford Haven, à 250 kilomètres.Certains monolithes atteignent 50 tonnes !
    A ce jour, aucun scientifique n’a su vraiment expliquer comment ces pierres ont pu être déplacées sur de si longues distances.


     
    Quelques petites précisions sur ces pierres levées.
    Le plus étonnant est que l'on peut voir des pierres levées à peu près partout dans le monde.
    Ces monuments, de la plus simple pierre au vaste ensemble couvrant des km se trouvent en Europe, au Japon, et en Afrique comme en Amérique du Nord. En tout ils seraient plus de cent mille.
    Stonehenge
    Leurs origine est incertaine et remonte si loin dans le temps qu'il pourrait tout aussi bien s'agir de vestiges de passage sur notre planète d'une civilisation extra-terrestre. On a pu établir que l'origine des mégalithes remonte à 2 000 et même à 5 000 ans avant notre ère.
    Les premiers auteurs les attribuaient en général aux druides. Ceux-ci les auraient construits grâce à leurs pouvoirs magiques mais les celtes ne sont venus que bien plus tard et ne sont donc pour rien dans la construction des ensembles mégalithiques.
    Stonehenge
    La France en compte environ 6 700 réparti en deux groupes bien distincts : les menhirs (pierres levées isolées) et les dolmens (ensemble de pierre dressée soutenant un mégalithe posé dessus, formant ainsi une sorte de chambre primitive).

    Connaitre l'identité des bâtisseurs des monuments mégalithiques est une ambition démesurée. Cependant, sans avoir la certitude absolue, il est possible de s'en faire une idée. Ces hommes sont le produit d'un des plus grands bouleversements qu'ai connu l'humanité : la révolution néolithique.
    Stonehenge
    La Bretagne est la terre d'élection des pierres dressées en Europe. Les raisons de cette abondance de site est aujourd'hui connue. L'homme du néolithique a su trouver dans cette région des conditions idéales pour développer sa culture.
    Stonehenge
    Il y a près de 900 cercles de pierres connues dans le Royaume-Uni. L'étude réalisée par le professeur Alexandre Thorm a montré que ces pierres formaient diverses figures géométriques dont certaines suggèrent un haut degré d'évolution de la pensée mathématique.
    Le cercle baptisé "Des Hommes du Roi" et d'un diamètre de 30 m est en fait un nombre de pierre difficile à préciser. A chaque fois que le compte est fait, le total varie. Sans doute, pendant la nuit, des lutins apportent ou retirent des pierres pour la plus grande confusion des chercheurs.
     Stonehenge
    L'Irlande est aussi bien fournie en vestiges mégalithiques, elle compte plus de dix mille cairns (monticule de terre et de pierre élevé par des celtes) dont les plus connus sont ceux de la vallée de Boyne, ou les immenses tertres dominent  le paysage.
    Du point de vue archéologique, l'Afrique demeure un continent "ténébreux". Il existe un grand nombre de sites non étudiés. Dans le nord du Maroc, le cercle de pierre de Msoura, de 60 m de diamètre est comparable à n'importe lequel des grands cercles d'Europe. Plus de 800 cercles ont été découvert plus au sud, entre les grands fleuves Sénégal et Gambies. Presque autant qu'en G-B ! En outre on peut compter près de 2 000 menhirs.
    Stonehenge
    A la grande surprise des savants bien accroché à leurs idées préconçues, il existe aussi des monuments mégalithiques en Amérique du Nord qui sortent progressivement d'un long sommeil. Des sites comme South Woodstock et Calendar II troublent les chercheurs avec leur orientation astronomique précise et leur origine datée de 4 000 ans avant notre ère. Leurs constructeurs furent-ils les premiers indiens venus de l'ouest par le détroit de Bering ou d'autres populations en provenance d'Europe sur des barques de cuir ?

    Un grand objectif que se fixe tous les chercheurs est d'éclaircir les conditions de la fin de la civilisation néolithique des mégalithes.
    Ces pierres demeurent un témoignage impérissable d'une époque où les hommes s'éveillaient au monde.
    Quelles ont été les motivations de ces hommes faibles et sans outillage pour réaliser de pareils exploits techniques ?
    Quel est le secret des constructeurs de mégalithes ?
                                                                                                                                                      Extrait de " Inexpliqué 1981"
     

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  • Découverte impossible

    En 1912, à Thomas ( Oklahoma ), deux ouvriers employés de l'usine électrique municipale de Thomas, alimentant le four d'une centrale avec du charbon, en brisèrent un énorme morceau qui contenait un pot en fer.

    Ce pot de fer a été examiné par plusieurs experts. Selon Robert O. Fay de l'Oklahoma Geological Survey, le charbon de la mine de Wilburton a environ 312 millions d'années !!!


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  • Découverte impossible - Trace de chaussure

    Dans cet autre cas, une trace de chaussure remarquable a été découverte dans le Fisher Canyon au Nevada le 17 janvier 1917 par un géologue amateur du nom d'Albert E. Knapp.
    Ce monsieur Knapp est tombé sur un fossile où il a été surpris de découvrir une couche d'un talon de chaussure qui avait été extirpée de l'aplomb du talon par aspiration, alors que la roche était encore dans un état malléable. L'empreinte de chaussure était dans un état merveilleux de préservation, les bords du talon étaient lisses et arrondis comme découpés, et son côté droit semblait plus usé que le gauche, ce qui suggérait qu'il avait été usé au pied droit (voir l'Illustration #3a). Ce que monsieur Knapp a trouvé le plus surprenant était que la pierre sur laquelle le talon s'était imprimé était une pierre calcaire d'il y a 225 millions d'années.
    La roche a été par la suite examinée par un expert-géologue à la Fondation Rockfeller, ce qui a confirmé l'analyse de monsieur Knapp. La présence de minuscules cristaux de sulfure de mercure partout dans les espaces du fossile témoignait aussi qu'il était extrêmement ancien.
    Mais la véritable surprise concernait l'âge de l'empreinte. En effet, c'est lorsque les microphotographies effectuées au début des années 2000 ont révélé que le cuir avait été cousu par un double rang de points, la tresse du fil était encore tout à fait discernable. Une ligne suivait le long du bord externe du talon, et l'autre était précisément parallèle à l'intérieur de quelques millimètres à la première. Ainsi, monsieur Samuel Hubbard, conservateur honoraire d'archéologie au Musée d'Oakland en Californie, a expliqué récemment que les traces de coutures à double point présentes sur le fossile étaient beaucoup plus raffinées en exécution, et que le fil utilisé était beaucoup plus petit que ceux existant pour la confection de chaussure et mocassin en 1927, année où le fossile a été examiné par des scientifiques pour la première fois.
    À cet égard, les résultats annoncés venant de cette dernière analyse ont confondu plusieurs chercheurs. Cependant, ceux-ci demandent depuis plusieurs années d'avoir accès aux résultats détaillés de l'étude, mais cela n'a toujours pas eu lieu à ce jour !!!


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  • Découverte impossible - Objets métalliques spiralés

    A partir de 1991, des prospecteurs d’or, puis des expéditions scientifiques ( mandatées par l’institut central de recherche scientifique de géologie et de prospection de métaux précieux et non-ferreux de Moscou ), ont découvert des objets, métalliques, spiralés pour la plupart, dont la taille varie de 3 centimètres pour les plus gros à 3/1 000e de millimètre !

    Des milliers de ces artefacts ont été trouvés sur de nombreux sites dans la partie orientale des montagnes de l’Oural, sur les rives de plusieurs cours d’eau dans des couches sédimenteuses datant du pléistocène supérieur, à des profondeurs variant de 3 à 12 mètres.

    Ces objets ont été étudiés par l’Académie des Sciences russe de Syktyvka, Moscou et St Petersbourg, ainsi que par un institut scientifique d’Helsinki en Finlande : Les plus gros de ces objets sont en cuivre, tandis que les plus petits sont en tungstène ( point de fusion de 3410°c. ) ou en molybdène ( point de fusion de 2650°c. ).

    En fonction du site et de la profondeur où ils ont été trouvés, l’âge de ces objets est estimé entre 20 000 et
    318 000 ans !

    L’Institut de Moscou a publié un rapport d’expertise n° 18/485 du 29/11/96 qui conclut : Les données obtenues permettent d’envisager la possibilité d’une technologie d’origine extra-terrestre !!!


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