• La race future - Edward Bulwer-Lytton

    Cette race habite les entrailles de la terre, elle a ses lois, ses
    coutumes, ses machines — une civilisation que les hommes qui vivent sous le soleil ne pourraient ni connaitre ni comprendre. C'est une race totalement étrangère, totalement étrange. Une jour, elle quittera les ténèbres pour envahir notre globe et nous exterminer... Et ceci lui sera d'autant plus facile qu'elle possède une arme redoutable, le « vril », à coté de laquelle notre bombe nucléaire n'est qu'un pétard de carnaval....

    Le mythe d'Agartha, de la Terre creuse, a souvent été attribué à Louis Jacolliot, à Saint Yves d'Alveydre, et plus tard, à Ferdynand Ossendowski, Willis Emerson et à René Guénon, mais c'est bien Edward Bulwer-Lytton qui, le premier l'a initié, puisqu'il a écrit en 1871 ce roman qui est aussi l'ancêtre des romans de science-fiction, mais moins connu du public que son célèbre "Les derniers jours de Pompéi "


    " La Race à venir" est-il un livre dangereux ? C'est du moins ce
    qu'affirment Louis Pauwels et Jacques Bergier qui, dans le célébrissime " Le Matin des magiciens ", soutiennent que son auteur Edward Bulwer-Lytton « inspirât en Allemagne un groupe mystique pré-nazi, la 'Loge lumineuse' ou "Société du vril". Dans des livres comme La Race à venir, il entendait mettre l'accent sur des réalités du monde spirituel, et plus spécialement du monde infernal. Il se considérait comme un initié. [...] Il exprimait la certitude qu'il existe des êtres doués de pouvoirs surhumains. Ces êtres nous supplanteront et ils conduiront les élus de la race humaine vers une formidable mutation."


    Cette mise en garde est-elle justifiée ? Quelle est l'importance de ce livre dans l'histoire des idées politiques et ésotériques ? Quel rôle joua réellement son auteur dans la mouvance occultiste ? Pour répondre à ces questions et à bien d'autres, il n y a qu'une seule solution : lire "La Race à venir" et décider par soi-même si sa réputation sulfureuse est ou non légitime !


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  • Les aventures d'Arthur Gordon Pym

    Publié en 1838, The Narrative of Arthur Gordon Pym of Nantucket est considéré par certains spécialistes comme la meilleure œuvre d’Edgar Allan Poe. Il y raconte les aventures –ou plutôt les mésaventures- d’Arthur Gordon Pym, qui embarque clandestinement sur un bateau grâce à son ami Auguste Barnard. Après un séjour difficile et angoissant, caché sous une trappe dans un local étroit, sans lumière et au bout d’un temps sans ressources vitales, il finit par sortir : sur le bateau règne une ambiance des plus singulières, car une mutinerie à eu lieu, et les matelots, en l’absence du capitaine, se disputent pour l’avenir de leur équipage : piraterie ou chasse à la baleine ? La mésentente prend une ampleur importante après la disparition de plusieurs membres d’un camp... La sortie de Pym, inconnu de l’équipage, permet la purge du bâtiment, mais avec le grain qui se prépare, on ne peut rien présager de bon pour les quatre survivants...
    Une faim qui poussera au cannibalisme, des tempêtes épouvantables, une eau infestée de requins, un navire jonché de cadavres... Tel est le destin d’Arthur Gordon Pym, mais il ne s’arrête pas là, car il poursuivra son voyage –du moins on peut le croire- jusqu’au pôle sud !


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  • L'homme, cet inconnu - Alexis Carrel

    Ce livre n'a pas d'autre prétention que de mettre à la portée de chacun un ensemble de données scientifiques se rapportant à l'être humain de notre époque. Nous commençons à sentir la faiblesse de notre civilisation. Beaucoup aujourd'hui désirent échapper à l'esclavage des dogmes de la société moderne.
    C'est pour eux que ce livre a été écrit. Et également pour les audacieux qui envisagent la nécessité, non seulement de changements politiques et sociaux, mais du renversement de la civilisation industrielle, de l'avènement d'une autre conception du progrès humain.
    Ce livre s'adresse à tous ceux dont la tâche quotidienne est l'éducation des enfants, la formation ou la direction de l'individu. Aussi, aux gens qui simplement réfléchissent au mystère de notre corps, de notre conscience, et de l'univers. En somme, à chaque homme et à chaque femme.
     

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  • La bête du gévaudant - Michel Louis

    De 1764 à 1767, une bête mystérieuse sème la terreur dans le Gévaudan et dans le sud de l'Auvergne, tuant hommes, femmes et enfants.
    Elle tient en échec des battues gigantesques menées par les plus grands chasseurs du royaume ; elle déjoue tous les pièges, paraît insensible aux coups de fusil... Plus de cent personnes périssent sou ses crocs... Michel Louis nous livre de cette fameuse affaire un récit passionnant : toutes les attaques de la Bête, les grandes chasses, la terreur des campagnes, les actions héroïques de certains paysans, les intrigues des puissants qu'excite la convoitise des honneurs et de l'énorme récompense promise à qui tuerait la Bête. Quel était cet animal à l'aspect et au comportement déroutants ? On devine dans l'ombre la présence de sadiques meurtriers.
    Qui sont-ils ? Quel rôle ont-ils joué ? L'envoyé personnel du toi Louis XV a-t-il trompé les notables et le peuple ?

    Au terme d'une enquête minutieuse, Michel Louis répond à ces questions à la lumière des documents officiels, de la tradition orale et de la zoologie moderne.

    La bête du Gévaudan - Michel Louis

    Cet ouvrage est le plus complet qui ait été écrit sur une des plus célèbres énigmes de notre Histoire. C'est aussi un plaidoyer en faveur de l'éternel accusé, le loup, dont Michel Louis prouve l'innocence et demande la réhabilitation.

    Michel Louis retrace de manière chronologique l'histoire de la bête et la fait revivre par son style alternant entre roman et rapport officiel.

    Ouvrage indispensable pour celui qui veut en savoir plus sur cette histoire. En effet, Michel Louis nous conte d'abord la vraie histoire, ensuite viennent les explications les plus plausibles, une fois que le lecteur à fini il peut se faire une propre opinion de l'histoire.

    Lecture haletante et se lit comme un roman à suspense. Le meilleur livre écrit à ce sujet à ce jour. Indispensable pour toute personne s'intéressant à ces crime sanglants qui reste à ce jour une énigme  a part entière de l'histoire de France.

    La bête du Gévaudan - Michel Louis

    Les amis des animaux et des loups en particulier ne pourront que s'enchanter de cette lecture qui nous apprend, par la plume d'un zoologiste expérimenté, tout ce qu'il faut savoir sur cet animal abusivement vilipendé par l'opinion publique. Un fait demeure : le loup ne s'attaque jamais à l'homme... Les bergers et bergères de l'époque savaient qu'ils pouvaient faire fuir un loup en lui lançant des pierres ou en heurtant leurs sabots l'un contre l'autre.

    Cette histoire se lit comme un thriller mais n'oublions pas que
    tout est.... vrai. N'oublions pas que ces crimes atroces ont réellement été perpétré dans cette région du Gévaudan. N'oublions pas que chaque détails aussi insupportables soient-ils ont une réalité qui font de cet ouvrage indispensable une référence majeure sur ce fait divers de l'histoire de France.


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  • Jacques Bergier

    Jacques Bergier, né le 8 août 1912 à Odessa (Ukraine) et mort le 23 novembre 1978 à Paris d'une hémorragie cérébrale, est un ingénieur chimiste, alchimiste, espion, journaliste et écrivain de nationalité française et polonaise.
    Salué dans la francophonie pour la grande diversité de ses connaissances et ses nombreux ouvrages, il a largement contribué à la promotion, en France, de phénomènes ou de faits négligés par la science.
    À travers ses écrits, Jacques Bergier a émis plusieurs théories liées à des domaines généralement exclus par la science officielle : phénomènes paranormaux, alchimie, civilisations disparues, OVNI, etc. Pour lui, le cerveau humain dispose de pouvoirs quasi illimités, et l'humanité a établi des contacts avec des extra-terrestres, notamment par l'intermédiaire d'anciennes civilisations disparues.
    Jacques Bergier estimait que la science a tendance à se fermer à tous les phénomènes qui viennent bouleverser ses convictions. Les domaines de prédilections de Jacques Bergier sont cependant plus ésotériques que ceux de Fort : alchimie, civilisations disparues, parapsychologie... jusqu'à des thèmes parfois moins convenus.  Deux des grandes lignes du réalisme fantastique sont la croyance au pouvoir quasi-illimité du cerveau humain, et la croyance en l'existence des extra-terrestres et des nombreux contacts de l'humanité avec eux, notamment par le passé. Jacques Bergier croyait qu'il existait avant les civilisations connues, voire avant la préhistoire, des civilisations qui auraient totalement disparu, suite à leur autodestruction par une technologie trop avancée. C'est cette théorie qui a donné naissance à celle des hommes en noir, qui seraient là pour empêcher de nouvelles destructions.


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