Lors d'une attaque des Anglais en 1759, deux amoureux Mathilde et Louis furent séparés par cette guerre. Louis, étant parti au combat, ne revint pas avec les autres combattants. Mathilde le chercha, et revint à sa ferme, où elle prit la robe blanche qu'elle devait mettre le jour de son mariage. Elle le retrouva enfin, sans vie, près de la grande chute de la rivière. Folle de douleur, elle se jeta dans la chute vêtue de sa robe de mariée. Les habitants prétendent qu'elle hante encore, les soirs d'automne, les abords de la chute, cherchant le corps de son bien-aimé. La robe de mariée serait maintenant accrochée à un arbre, situé entre la rivière et la route. Si vous avez le malheur de décrocher la robe de mariée de la dame blanche, alors celle-ci fera en sorte que votre mariage se passe horriblement mal. Pour les personnes non mariées, elles auront alors une mort terrifiante. Et si elle porte des gants blanc cela est signe de mariage ou naissance mais si elle porte des gants noirs cela est signe de mort dans l'année

 La réputation du vendredi pourrait provenir également d'une légende nordique, selon laquelle la déesse Frigga, épouse d'Odin, considérée comme sorcière par les premiers chrétiens et exilée au sommet d'une montagne, réunissait chaque vendredi onze sorcières et le diable ( ils étaient ainsi 13, d'où la croyance que le vendredi 13 est également néfaste ) pour déterminer quels forfaits ils commettraient dans la semaine. C'est pour cela en outre que le vendredi passait en Scandinavie pour être un jour de sabbat. On disait aussi en Europe, et notamment en France, que si aucun sorcier ou magicien ne pouvait faire de divination le vendredi les démons et spectres apparaissaient de préférence ce jour-là.

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Le " jour du pendus " ( à cause de l'usage anglo-saxon de pendre les criminels le vendredi ) est considéré comme le plus mauvais de la semaine où rien ne peut réussir. Il ne faut pas faire de transactions ou de négociation, ni débuter un travail, voyager, rentrer de voyage, ni prendre l'avion ou le train. Il faut éviter également de baptiser un bateau ou de prendre la mer. Le poète Lord Byron, qui tenait le vendredi pour malchanceux, voulut se faire violence ; il navigua ce jour-là et mourut peu après.... un vendredi.

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Nombre de militaires répugnaient à engager une bataille un  vendredi, Napoléon lui-même, dit-on, ne guerroyait ce jour-là :
" Je ne sais si c'est un pur hasard ou une suite nécessaire de la mauvaise disposition d'esprit où le vendredi me mettait, aurait dit l'empereur, mais j'ai toujours mal réussi dans les entreprises commencées ce jour-là. Ainsi, entre autres choses, je me souviens que la nuit où je partis de Saint-Cloud pour la campagne de Russie, c'était la nuit de vendredi. " On sait combien cette campagne lui fut fatale. De même Napoléon aurait retardé d'une journée son coup d'Etat, initialement prévu pour le 17 brumaire, car c'était le vendredi et il se justifia ainsi : " Je n'aime pas les esprits forts ; il n'y a que les sots qui défient l'inconnu ". Avant lui Catherine de Medicis se refusait à entreprendre quoi que ce fut le vendredi.

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Se marier un vendredi met en péril la procréation du couple ( France ) ou condamne aux querelles incessantes ( Angleterre ). Un homme évitera aussi de faire sa cour ce jour car il risque de ne jamais revoir sa prétendante. En Angleterre, encore au début du siècle, lorsqu'un homme était aperçu, le vendredi soir, en train de conter fleurette à une femme, on frappait sur les poêles, des couvercles de casseroles, des tisonniers, etc..., pour les contraindre à s'arrêter.

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Certains disent même que " dans les rangs de la mafia, on croit que les réunions de malfaiteurs tenues un vendredi ne mènent qu'à l'échec des plans, voire à l'arrestation " et que passer en justice un vendredi ne présage rien de bon.

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Débuter un spectacle, déménager, appeler un médecin un vendredi est de mauvais augure. De l'avis des américains, un malade dont l'état s'améliore ce jour risque de succomber le dimanche. Outre-Manche, qui apprend une nouvelle un vendredi " gagne " une nouvelle ride et vieilli d'un an. Avoir ses règles un vendredi annonce des pleurs ( Roumanie et France ). Outre-Atlantique, qui sort ce jour sans s'être lavé sera victime des sorciers.

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Certains actes ménagés sont à éviter le vendredi, comme retourner son matelas, changer les draps, faire sa lessive, ou laver les vitres ( Etats-Unis ). Il convient aussi de s'abstenir de nettoyer l'étable ( Alsace ), de coudre, de commencer un ouvrage de tricot, de changer de chemise, ou d'en tailler une, d'étrenner de nouveaux vêtement ou de porter un pantalon ( il s'userait plus rapidement ), de se peigner ( cela attire les poux ), de se couper les cheveux ( on s'enrhumerait ).

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En règle générale, il ne faut pas se couper les ongles le vendredi, sous peine notamment d'allonger les cornes du diable. Toutefois, la jeune fille qui se coupe les ongles neuf vendredi de suite verra son future mari en songe ou le rencontrera le neuvième vendredi. En Hollande, se couper les ongles ce jour met à l'abri des maux de dents. Pour les juifs du Proche-Orient, cet acte protégeait de la peste. Signalons encore qu'aux yeux des Alsaciens, se couper les cheveux et les ongles le vendredi donnait une bonne vue et une excellente ouïe.

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Si on enterre un proche le vendredi, trois autres membres de la famille mourront avant la fin de l'année ( Bretagne ). Creuser une tombe au cimetière entraîne la mort d'un parent du défunt dans les six mois.

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Les poussins nés d'oeufs couvés le vendredi seront dévorés par les oiseaux et les bêtes sauvages. L'enfant qui, pour la première fois, enfile des chaussures un vendredi risque de boiter le reste de sa vie. Porter une fourrure le vendredi donne une maladie de peau.

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Dans le sud de la France, on recommandait même de s'abstenir de siffler et de chanter le vendredi. D'après un dicton très répandu, " qui rit un vendredi pleurera le dimanche ".

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Une naissance le vendredi est diversement appréciée : même si les Européen la considèrent de mauvais présage, ils n'en attribuent pas moins certains dons surnaturels à l'enfant. Les Anglais en font un gage de générosité.

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Le vendredi, étant consacré à Vénus, convient parfaitement pour opérer des envoûtements d'amour. Il existe même un ordre particulier de démons , les " démons du vendredi ", qui, évoqués ce jours-là, " favorisent les projets érotiques, parfois les plus salaces ". Aux yeux des Écossais et des Allemand, ce jour place sous de bons auspices les affaires de cœur.

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Les rêves fait la nuit du vendredi et racontés le samedi matin se réaliseront surement. Outre-Manche, on pratique la divination suivante le vendredi matin : il faut être à jeun et écrire sur quatre morceaux de papier les noms de trois prétendants et celui de la mort. Les papiers seront portés toute la journée sur la poitrine et, la nuit, on les agitera dans sa chaussure gauche avant d'en prendre trois et de se coucher, ce qu'on doit faire à reculons. Le lendemain, le papier restant dans la chaussure désigne le future époux ; si c'est celui de la mort, on n'épousera aucun d'eux.

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Siècle de la renaissance, le XVIe siècle est fertile en beaux esprits et en grands hommes. On peut pourtant se demander si les plus illustres d'entre eux ont connu la vraie gloire, celle qui consiste à être discutée, commentée ou attaquée des siècles après la mort.

Cette gloire est celle de Michel de Nostre-Dame, plus connu sous le nom de Nostradamus, dont les détracteurs et les exégètes remplissent plusieurs rayons surchargés de volumes dans les réserves de la Bibliothèque nationale. Cette gloire, le fameux prophète provençal la doit aussi au fait d'être associé aux pires heures de notre histoire depuis quelques siècles.

Avant chaque crise grave - en 1789, en 1848, en 1870, en 1914, en 1939 ou aujourd'hui - , il s'est trouvé des hommes pour s'inspirer des écrits de Nostradamus et ainsi prophétiser le pire à une opinion publique désemparée. Reste à savoir si leur interprétation était légitime, ou s'il ne se comportaient pas en manipulateurs dénués de tout scrupule ou en affairistes avides.

Le mieux est sans doute de se tourner, dès le départ, vers la vraie personnalité de Michel de Nostre-Dame. Au XVe siècle, les grands-parents de Nostradamus prennent le nom de Nostre-Dame. Cette famille de notables juifs convertis marque tout de même un goût très vif pour les sciences occultes et les études hermétiques. C'est à Saint Rémy de Provence que naît, sous le signe du Capricorne, le jeune Michel en décembre 1503.

Comme son père médecin attaché au roi René d'Anjou, le jeune Nostradamus se lance, dès l'âge de 18 ans dans de laborieuses études de médecine. Il s'inscrit à la faculté de Montpellier. La tradition affirme qu'il y côtoie un autre jeune homme promis à une certaine notoriété, un certain François Rabelais.

A la même époque, une épidémie de peste se déclare dans tout le Midi. Quoiqu'il ne soit pas encore médecin, Michel de Nostre-Dame affronte le fléau et tente d'en guérir les victimes. On le voit à Narbonne, à Toulouse, à Bordeau même.

Avec ou sans Nostradamus, l'épidémie fini par être jugulée, et Michel de Nostres-Dame revient fréquenter les bancs de la faculté de Montpellier.
Nous sommes en 1529. Quatre ans plus tard, il soutient sa thèse et obtient de ses maîtres le parchemin qui lui donne droit d’exercer.
Michel de Nostre-Dame à trente ans. Il ne lui reste plus qu'à prendre femme, ce qu'il fait au cours d'un séjour dans la région d'Agen. Cette première union ne sera pas heureuse : deux enfants mourront en bas âge, suivis de peu par leur mère.

Après la mort de son épouse, Michel de Nostre-Dame reprend son bâton de voyageur. On le voit en Bretagne, en Lorraine, en Allemagne. Il passe sans doute quelques semaines dans l'abbaye d'Orval, en plein cœur des Ardennes, un lieu saint doté d'une très riche bibliothèque. Certains affirment que le futur Nostradamus aurait même effectué un voyage en Perse ! De même, on peut imaginer ( et sans doute seulement imaginé ) ses rencontres avec les autres " chercheurs de vérité " de son temps : Paracelse ou le célèbre Ulrich de Mayence.

En 1546, Nostradamus revient en Provence, à l'appel des autorités d'Aix-en Provence, qui affrontent une nouvelle épidémie de peste. Les témoins du fléau nous ont laissé d'apocalyptiques descriptions des souffrances engendrées par la terrible maladie : La tradition veut que Michel de Nostre-Dame ait même vu une femme qui, sentant sa fin très proche et n'ayant pas de famille, cousait un linceul sur son propre corps.

Le médecin n'hésite pas. Il fait nettoyer les rues, supprimer les cloaques et lance une sorte de plan d'assainissement de la ville pestiférée. A l'époque, Aix ignorait l'usage des " cabinets d'aisance ", et les habitants soulageaient leurs besoins naturels sur les terrasses, si bien que, à la première pluie, les rue baignaient dans l'ordure. Un dicton populaire affirmait :
" A Aix, il pleut comme merde ".

Michel de Nostre-Dame semble comprendre que le manque d'hygiène fait le lit de la peste noire. Il fait nettoyer au vinaigre les chambres des malades, conseille aux habitants de mâcher de l'ail et jette les filles publiques, responsables de la propagation de nombreuses maladies en prison. Aux carrefours, il fait brûler des herbes aromatiques pour " purifier " l'air. Il n'oublie pas, les indispensables formules magiques qui, prononcées dans un latin de cuisine, effraient les malades...à défaut de la maladie.

L’efficacité de ses soins reste controversée. Hasard ou non, la peste noire semble calmée et Michel de Nostre-Dame se retrouve " médecin élu et stipendié de la cité d'Aix ". Il profite de sa notoriété pour mettre en vente une sorte de drogue miraculeuse, à base de poudres végétales et d'essences, qui est supposée préserver de la peste et des autres maladies ceux qui en mâcheront. La pharmacopée de l'époque ne connaissait guère que ce genre de " remèdes " !

Après un court passage à Lyon, Michel de Nostre-Dame finit par s'installer, définitivement cette fois, à Salon de Provence.
Nous sommes en 1547. Il lui reste un peu moins de vingt ans à vivre.
Il va les mettre à profit pour développer ses dons prophétiques.
Tout d'abord, sur le toit de sa maison du quartier Ferreyoux, il fait aménager une sorte d'observatoire. Depuis son enfance, il se passionne pour l'étude des astres. Sur la plaque de sa porte, il fait graver :
" Médecin-astrophile "

Une fois de plus, les légendes abondent. On raconte ainsi que, en 1548, il aurait fait un voyage en Italie, au cours duquel il se serait agenouillé devant un moine inconnu, rencontré dans la rue. Comme le religieux s'étonnait de cette soudaine et spectaculaire marque de dévotion, Michel de Nostre-Dame aurait répondu : " C'est ainsi que l'on doit saluer sa sainteté ". Le moine se nommait Felice Peretti. Il devait monter sur le trône pontifical et prendre le nom de Sixte-Quint.

En 1550, le médecin-astrophile publie une Pronostication : c'est une sorte d'almanach populaire qui mélange les vieilles recettes de bonne femme, les pires charlataneries et les ancêtres des horoscopes. Le succès de l'ouvrage ne fait que renforcer la célébrité du futur prophète. Encouragé, celui-ci publiera une nouvelle Pronostication chaque année, jusqu'à sa mort.

En 1552, Michel de Nostre-Dames se mêle de gastronomie : son Traité des fardements rassemble conseils de beauté pour les fards et recettes de confitures pour les ménagères. Sérieux ou pas sérieux, ce Traité ? Certaines recettes paraissent si compliquées que plusieurs exégètes se sont demandé s'il ne fallait pas lire ce manuel au second degré et le considérer comme une sorte d'ouvrage codé... Néanmoins, le succès de l'ouvrage est, une fois de plus, énorme.

Le futur prophète de la fin de notre monde n'est encore que Michel de Nostre-Dame. Sa réputation de " magicien " s'étend à travers toute la Provence, et même au-delà. La nuit, ses voisins doivent regarder avec un petit frisson de terreur ce mystérieux docteur en train de contempler les étoiles là-haut, sur sa terrasse. Les femmes doivent se signer et les enfants s'enfuir quand il passe dans la rue.

En 1555, fort du succès de ses précédentes publications, il publie chez Pierre Rigaud, à Lyon, un ouvrage intitulé Prophétie 
de M. Michel Nostradamus, qui n'a pas cessé de faire parler de lui depuis plus de quatre siècle. Notons tout de suite que " Nostres-Dame " est devenu " Nostradamus " , ce qui est loin d'être la traduction latine du vrai nom du prophète : la forme correcte serait Domina Nostra. Au contraire, la traduction de Nostradamus est approximativement :
"Nous donnons ce que nous savons ( ce qui est à nous ). "

Nostradamus qui, miné par la goutte, allait s'éteindre en 1566, entre dans la légende des grands inspirés avec un seul livre.
Quel était donc le contenu bouleversant de ses Prophétie ?

                                                                                                                                          Extrait de " Inexpliqué " 1981

Les mystérieux pouvoirs de la Grande Pyramide ont toujours fasciné l'opinion. En 1924, David Davidson, un ingénieur anglais, publie The Great Pyramid : its divine message. Il affirme que la Grande Pyramide, entre autres lois éternelles, renferme les principes de la loi de la gravitation.

Adam Rutherford, fondateur du British Institute of Pyramidology écrit :
" Lorsque le message de la Grande Pyramide aura été universellement compris, les fausses religions et les théories scientifiques erronées s'évanouiront en fumée et le monde entier verra la Vraie science et la Vraie religion s'affirmer dans leur splendeur et leur harmonie. "
En guise d'avant propos, Rutherford faisait précéder son ouvrage d'un diagramme de l'intérieur de la Grande Pyramide, conçu comme une échelle chronologique, chaque année étant représentés par un pyramid inch.

Les exégètes de la Grande Pyramide ont découvert une foule d'autres propriétés remarquables dont l'orientation de la pyramide et de son couloir intérieur. Néanmoins, beaucoup voient là des interprétations abusives et affirment que le choix de cet emplacement est dû au hasard ou a été dicté par des contraintes matérielles beaucoup plus ordinaires.
Certes, la précision de l'orientation est surprenante - d'autant que l'on ignore encore de quels instruments disposaient les Égyptiens - , mais on peut imaginer que les bâtisseurs ont simplement voulu s'aligner sur les directions du lever et du coucher du soleil. A l'époque de la construction des pyramides, aucune étoile, n'indiquait avec assez de précision la direction du pôle Nord pour autoriser une telle interprétation, et l'angle d'inclinaison du corridor d'accès n'a aucune signification particulière.

Il est cependant bien évident que de telles spéculations mystiques peuvent apparaître plus séduisantes que les arguments purement rationnels, et les interprétations ésotériques du secret de la Grande Pyramide ont toujours de nombreux adeptes. C'est ainsi que l' " Eglise universelle et
triomphante " , qui compte de nombreuses communautés aux Etats-Unis, a intégré à son enseignement le message de la Grande Pyramide, considérant ce haut lieu comme l'une des sources de la révélation divine, le
" symbole extérieur de la pyramide spirituelle que chacun de nous porte en lui ".

Pour les adeptes de l'Eglise universelle et triomphante, la Grande Pyramide symbolise le mystère de l'être vivent caractérisé par l'union des quatre éléments : charnel, affectif, mental et spirituel. Le centre de la pyramide représente le cœur, et son sommet correspond au troisième œil de la clairvoyance. Les fidèle de cette secte s’efforcent d'atteindre à l'harmonie suprême, dont la pyramide est le symbole éternel.

Si les pyramides ont un message à nous transmettre par-delà les millénaires, il est également logique de supposer que des forces étranges et des pouvoirs secrets résident encore dans ces pierres sacrées.
Antoine Bovis, quincaillier français ayant consacré ses loisirs à la radiesthésie, visita lui aussi l'intérieur de la Grande Pyramide au cours d'un voyage en Egypte. Il découvrit sur le sol de la chambre royale, les corps parfaitement conservés de plusieurs petit animaux qui avaient rampé jusque-là et qui y étaient mort, longtemps auparavant. A son retour en France, il fabriqua des modèles réduit de la Grande Pyramide, et put constater que ces maquettes détenaient elle aussi un pouvoir momifiant.

Quant à Karl Drbal, un ingénieur des télécommunications tchécoslovaques, l'expérience qu'il réalisa est encore plus insolite. Il confectionna une maquette en carton à l'image de la pyramide, d'une quinzaine de centimètre de hauteur. A l'intérieur de cette pyramide miniature, il plaça une lame de rasoir ordinaire reposant sur un support fixé au tiers de la hauteur comprise entre la base et l'apex ( même niveau que la chambre royale ). Il prit soin d'orienter à la fois la maquette et la lame nord-sud. Karl Drbal put alors se raser plus d'une centaine de fois avec cette même lame, sans lui faire subir aucun traitement et sans qu'elle soit émoussée. En 1959, après dix ans de démarches diverses, il put enfin déposer un brevet pour cet ingénieux système d'auto-affûtage.

On cite encore bien d'autres effets dont seraient responsables les mystérieuses formes pyramidales. A l'intérieur d'une telle structure, les batteries usées auraient le pouvoir de se recharger spontanément. L'eau y aurait meilleur goût. Les graines germeraient plus vite. Les plantes et les animaux d'appartement se porteraient mieux. Les divers cristaux y prendraient des formes inhabituelles. Les enfants seraient plus calmes et le sommeil plus profond. Les douleurs menstruelles s'atténueraient. Cette forme favoriserait la concentration et l'acuité mentale, ainsi que l'appétit sexuel. Le pouvoir des sourciers et des radiesthésistes en serait accru. Les prières deviendraient plus efficaces. Enfin, tous les phénomènes psychiques dans leur ensemble se manifesteraient avec plus de force.

Mentionnons l'un des plus curieux phénomènes qui se soient manifestés dans l'enceinte des pyramides et qui a été enregistré par Werner Von Siemens, le fondateur de la firme allemande bien connue Siemens.

Siemens, qui se rendait en mer Rouge ou il devait installer un câble télégraphique, avait prévu une halte au Caire, afin de visiter le site de Guizèh. Le 14 avril 1859, il prit donc la célèbre route des pyramides, accompagné par dix de ses ingénieurs. Ils entreprirent la classique escalade de la Grande Pyramide, aidé par une trentaine de guides arabes.
Un froid s'éleva soudain, faisant tourbillonner la poussière du désert. Siemens, qui se trouvait sur le sommet, imitant le geste de l'un des Arabes, tendit un doigt en l'air, produisant ainsi un son vibrant ; il ressentit aussitôt des picotements dans le doigt.

Mieux que quiconque, Werner Von Siemens était bien placé pour reconnaître un phénomène électrique. L'Allemand et ses compagnons tentèrent quelques expériences relativement simples. Siemens enveloppa une bouteille pleine de vin, dont le goulot était entouré d'une feuille de métal, dans un papier humide, la transformant ainsi en bouteille de Leyde sommaire ( en condensateur ), qui se chargea d'électricité lorsqu'il le leva au-dessus de sa tête, s'entourant d'étincelles crépitantes de plus de 1 cm de longueur. A ce moment, les Arabes, prenant les touristes pour des magiciens, voulurent les faire redescendre au sol. Le chef de la tribu porta la main sur Siemens. Laissons la parole à ce dernier :

" Dans ma main droite, levée au-dessus de ma tête, je tenais une bouteille bien enveloppée. J'attendis un court instant, puis j'abaissait lentement le col de la bouteille à la hauteur de son visage. Moi-même, en la touchant, je reçu une forte secousse. Jugez donc de la violence de la décharge électrique subie par le sheik ! Il fut précipité au sol, où il resta étendu quelques minutes sans pouvoir parler ni se mouvoir, à tel point que je sentis l'inquiétude me gagner. Enfin, il se leva et se mit à révéler les degrés de la pyramide aussi vite que ses jambes le lui permettaient. "

Qui pourrait nier, après semblable aventures, les mystérieux pouvoirs des pyramides ?

                                                                                                                                                                                       Extrait de " Inexpliqué " 1981

Il faudra absolument trouver une explication à la création de l'homme. Rien, en effet, n'est plus agaçant comme de ne jamais avoir eu de commencement, et d'avoir tout de même une fin.

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