• Osni - Les ovnis sous-marins*

     

    ovnis sous-marins

    Le soir du 30 juillet 1967, Jorge Montoya était l'officier de service à bord du navire argentin Navieros, qui croisait dans l'Atlantique Sud, à 190 km de la côte brésilienne. Le reste de l'équipage dînait, et tout était aussi calme que possible.

    Jetant un regard par-dessus bord, Montoya vit tout à coup un étrange objet en forme de cigare glissant silencieusement dans l'eau,
    à environ 15 m du bateau. Il resta interloqué un instant, puis alerta le capitaine par l'interphone. Quand le capitaine Julian Arlanza arriva sur le pont, le vaisseau mystérieux naviguait toujours de conserve avec le bateau. Les deux hommes l'observèrent le temps d'un quart d'heure pendant qu'il maintenait sa route. L'objet brillait d'une vive luminosité blanc-bleu et ne laissait pas le moindre sillage. Il mesurait dans les 30 à 35 m. Puis sans avertissement, l'objet se tourna vers le cargo et, devenant de plus en plus brillant à mesure qu'il accélérait, il plongea par-dessous et disparut rapidement dans les profondeurs de l'Océan.

    Osni - Les ovnis sous-marins

    Les officiers et l'équipage du Navieros venaient d'être témoins de l'apparition d'un de ces énigmatiques objet sous-marin non identifié (Osni). Plus tard, lors d'une interview, le capitaine déclara qu'il ne pouvait s'agir ni d'un sous-marin, ni d'une baleine, car, durant ses 20 ans de mer, il n'avait rien vu de semblable.

    Le nombre de témoignages à propos d'ovnis depuis les années quarante se chiffre par dizaine de milliers et les rapports recueillis concernant les osnis donnent à croire qu'ils sont aussi nombreux dans les eaux de la planète que les ovnis dans le ciel. N'oublions pas que la Terre est couverte d'eau à 70 %. La profondeur moyenne des océans est de 3 km, et l'homme vient à peine de commencer à explorer l'immensité qui se cache sous la surface des mers. Aussi, des êtres technologiquement avancés y trouveraient-ils une cachette idéale pour poursuivre leurs activités hors du contrôle des hommes...

    De même que les chercheurs attentifs ont relevé des témoignages d'ovnis datant d'avant 1947, de même y a-t-il des rapports datant du siècle dernier pour les osnis.

    Dans la nuit du 24 février 1885, dans le Pacifique Nord, l'équipage de l'Innerwich vit un objet colossal, brillant d'une lueur rouge éclatante, qui plongeait dans la mer, faisant jaillir d'énormes masses d'eau alors qu'il s'enfonçait sous les vagues. Le 12 novembre 1887, près du Cap Race, à Terre- Neuve, le capitaine Moore, du navire anglais Siberian, put observer pendant cinq minutes une " grosse boule de feu " jaillissant de l'Océan à la hauteur de 15 m. Elle se dirigea vers le navire, par vent debout, avant de disparaître.

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    Ces rapports, et de nombreux autres, donnent à penser que les osnis deviennent parfois, et vice versa.

    Un des cas les plus typiques d'osni eut lieu la nuit du 26 juillet 1980. Le remorqueur Caioba-Seahorse accomplissant un voyage de routine quand, à environ 100 km de diamètre au large de la côte brésilienne, vers le Natal, le second avisa un objet gris de 10 m de diamètre flottant sur la surface, droit devant. Au même moment, une vive lumière apparut sur la mer, se dirigeant rapidement vers le bateau. Le second changea rapidement de cap pour éviter une collision avec l'objet flottant, lequel se para tout à coup de brillantes couleurs. La lumière brillante les avait maintenant rejoints et se révéla être un corps ovale scintillant, planant silencieusement à 60 m au-dessus de l'osni. Le remorqueur avait stoppé ses machines et l'équipage regardait avec terreur et fascination l'ovni descendant lentement vers l'osni. Le contact se fit, les lumières de l'osni s'éteignirent et les deux objets s'élevèrent ensemble. Après avoir plané quelques instants, l'ovni et son fardeau se trouvèrent rapidement hors de vue.

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    Cet événement suscita, bien sûr, énormément de curiosité de la part des autorités navales et une foule de spéculation chez les ufologues brésiliens. Le remorqueur avait-il assisté au sauvetage d'un ovni par un autre ? Ou bien s'agissait-il d'un entrainement de routine, avec un lieu de rendez vous soigneusement déterminé ? Aucune conclusion ne peut-être avancée, et les autorités navales gardèrent leur opinion pour elles.

    Des osnis ont été vus également au large de la côte américaine par un témoin de 19 ans, Wesley Gruman, qui conduisait sa voiture
    vers Oak Bluff, Massachusetts, le soir du 27 mars 1979.
    Constatant la présence d'une lueur verte par-delà les dunes, il observa la mer dès que la vue fut dégagée. A quelque 60 m de la plage, un cylindre lumineux de 9 m flottait sur l'eau. Gruman arrêta sa voiture comme l'osni s'élevait au-dessus de la surface, et il sortit pour mieux observer son ascension. Il voulut alors prendre sa torche dans la voiture, mais il s'aperçut qu'il ne pouvait plus bouger que la tête. Cette paralysie dura jusqu'à ce que l'osni eût disparu.

    Gruman constata également deux autres détails étranges : tout d'abord, sa radio de bord émit un bourdonnement de basse fréquence durant toute la scène ; deuxièmement, sa montre, un modèle à ressort, qui était coincée depuis trois jours sur la même date exacte le lendemain et n'a plus calé depuis.

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    A Newport, John Callagher observa pendant le jour quelques chose qui jaillissait de la mer. En avril 1961, travaillant dans une maison près de la plage, il aperçut une sphère rouge surgissant des flots. Intrigué, il monta au deuxième étage afin d'avoir une meilleure visibilité, et il put évaluer la distance à 180 m du rivage. Soudain l'objet s'éleva à environ 20 m , stoppa et, accélérant jusqu'à 160 km/h, il s'éloigna sans dévier le moins du monde. Callagher est sûr qu'il ne s'agissait pas d'un ballon, car ni ses mouvements, ni sa vitesse n'étaient ceux d'un objet emporté par le vent, mais témoignaient bien d'un contrôle intelligent.

    Les objets sous-marins non identifiés ont étendu leur champ d'action jusqu'aux eaux intérieures. On a des rapports d'arrivées ou de départs concernant des las, des rivières, des ports, comme aussi des criques ou des fjords. Un témoignage collectif eut lieu sur l'Araguari, au Brésil :
    70 personnes qui attendaient un bac virent un objet solide de 5 m de diamètre surgir de l'eau. Pendant environ 4 minutes, il plana à 200 m,
    puis s'éloigna hors de vue. En un certain endroit, il se trouva à moins de 30 m au-dessus de la rive.

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    L'homme qui vit une " soucoupe volante typique " s'élever de la Thompson River, près de Kamloops, en Colombie britannique et souhaitait rester anonyme, a été reconnu comme un individu digne de confiance par le docteur J. Allen Hynek, l'ufologue de réputation mondiale. Par un après-midi ensoleillé, le 16 mai 1981, le témoin pêchait tranquillement quand, avec un " bruit d'eau projetée dans une poêle chaude ", un objet étrange émergea de l'eau écumante à environ 100 m du rivage. Puis, accélérant, il glissa au-dessus de sa tête et disparut rapidement. En même temps, un bruit crépitant, comme si des objets tombaient en grêle de l'ovni, se fit entendre. Le témoin pu ramasser quelques-unes de ces boules qui furent portées pour analyse au Centre des études ufologiques de Illinois. A la fin de 1981, les résultats n'avaient pas encore été communiqués...

    Le conducteur et les passagers d'un bus londonien furent aux premières loges pour voir un osni en forme de cigare argenté plonger dans la rivière Lea après avoir coupé des lignes téléphoniques et laissé une entaille dans le bord du quai. Bob Fall conduisait son bus 123 vers Tottenham, le 13 avril 1964, quand l'osni traversa la route devant lui et plongea dans la rivière. La police, qui ne trouva rien en sondant la petite rivière, profonde seulement de 2 m, suggéra qu'il pouvait s'agir d'un vol de canards.
    Mais cela n'explique pas les fils téléphoniques coupés ni le béton endommagé !

    Un autre osni fut observé sur le Saint Laurent près de Québec, en mars 1965. Pendant 4 ou 5 minutes, le capitaine Claude Laurin, de Québecair et son copilote purent voir un " sous-marin" flottant sous la surface à plus de 350 km de la pleine mer, situation quasiment impossible pour un sous-marin normal. Le 23 mai 1969, trois témoins virent '' un objet rond brillant avec des lumières rouges clignotantes qui plongeait dans le Saint-Laurent ". Une enquête de la police fluviale n'apporta aucun éclaircissement.

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    La possibilité que certains ovnis, après un vol supersonique dans l'atmosphère soient obligés de plonger pour refroidir leurs structures surchauffées paraît confirmée par le rapport suivant.

    Au cours de l'été 1967, un chef scout et son assistant campaient avec leurs patrouille sur les bords d'un lac tranquille à New Burnswick, au Canada. Les garçons dormaient et les deux hommes étaient descendus jusqu'au lac pour chercher de l'eau. Soudain, dans l'obscurité, parut un ovni de la forme de deux soucoupes placées face à face, avec des lumières clignotantes, rouges, oranges, vertes et bleues autour des bords. Comme il touchait l'eau s'éleva un bruit grésillant. Le lac contenait de l'eau limpide et froide, alimentée par la neige des montagnes voisines, mais quand les deux hommes y virent le lendemain matin, elle était tiède et paraissait boueuse.

    Il semble que les ovnis et les osnis s’intéressent particulièrement aux
    lacs-réservoirs, et les rapports concernant leurs activités dans ou au-dessus de leurs eaux sont nombreux. Pour les ufologues, ils pourraient étudier la pollution que l'espèce humaine s'inflige. Ou bien introduire dans notre eau potable des produits connus d'eux seuls...

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     La puissance de ces énigmatiques machines paraît phénoménale ; le 30 avril 1976, entre 17 h 15 et 17 h 30, trois témoins virent un objet gris sombre d'environ 10 m de long qui sillonnait le lac Silijan, en Suède centrale, traçant un canal à travers la glace à une vitesse de 100 km/h
    et rejetant l'eau et des blocs de glace de chaque côté. Le canal avait environ 3 m de large et traversait le lac sur plus de 800 m, et la glace qui le recouvrait avait 20 cm d'épaisseur.

    Huit ans plus tôt, le 5 avril 1968, le Times avait rapporté que " quelque chose d'incroyablement puissant " avait percé un trou colossal dans la glace d'un lac de la Suède centrale, mais que les scientifiques et les militaires ignoraient de quoi il s'agissait. Deux indigènes avaient découvert ce trou, de 580 m², près de Malung.

    L'enquête fut menée par le colonel Curt Hermansson, qui déduisit que la chute d'un avions était hors de question, puisqu'il , n'y avait aucune trace autour du trou, " seulement de gros blocs de glace projetés au loin, indiquant la force prodigieuse de ce qui avait percuté le lac ". Le fait que la glace épaisse de 1 m eût été projetée en morceau signifie que " quelques chose " d'une force prodigieuse devait provenir du fond, mais comment en être sûr ? Les plongeurs ne trouvèrent rien dans les fonds boueux du lac qui puisse expliquer tant soit peu le mystère.
    Quelques jours plus tard, un autre trou fut découvert dans la glace couvrant le lac de Serna, ce qui resta aussi mystérieux.

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    Il n'est pas surprenant que les autorités aient affirmé que ces trous ont été faits par des objets tombant dans l'eau. Depuis des années, en effet, les Scandinaves sont la cible d'objets non identifiés s'abîmant dans leurs lacs. Il y en eut un grand nombre en 1956 qui furent alors étiquetés
    " météores " par la presse. Mais, quand des rapports faisant état de certains objets argentés en forme de torpille et émettant des traînées de fumée continuèrent à arriver, jusqu'à plusieurs par jour, on les baptisa
    " fusées fantômes ". La première explication fut qu'il s'agissait de V2 prix aux Allemands et expérimentés par les Russes, mais personne ne put le prouver.

    Bien que le centre d'essai des V2 à Peenemünde ait été occupé par les Russes dès mars 1945, les savants allemands s'étaient déjà rendus aux Américains, réduisant ainsi fâcheusement les possibilités d'essai.
    Il n'aurait pas été possible aux savants russes de remonter des V1 ou
    des V2, puis de les lancer dans le temps souhaitable, ni de construire des centaines de nouvelles fusées, dont les caractéristiques différaient d'ailleurs totalement de celle des V2...

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    Qu'étaient donc ces " fusées fantômes " ?

     


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