• Les ondes de forme*

     

    Les ondes de forme

    Ne restez pas trop longtemps sous une pyramide : vous pourriez être proprement momifié. Les formes géométriques peuvent émettre des ondes particulières. Les prêtres égyptiens qui ont scellé la tombe de Toutankhamon connaissaient-ils ces ondes de forme ?

    Les ondes de forme

    Comment se fait-il qu'une simple pyramide de carton aiguise une lame de rasoir usagée ou parvienne à momifier un morceau de viande placé à l'intérieur ?
    C'est toute l'énigme des "ondes de forme" et des curieux phénomènes dont elles paraissent responsables qui se pose là. Un mystère que la science voudrait bien expliquer et dont certaines civilisation de la haute Antiquité avaient peut-être percé le secret.

    Dans le dossier n° 91304 au bureau des inventions de Prague, il y a la description d'un appareil bien insolite dont le système a été déposé en 1959 par un ingénieur du nom de Karel Drbal et qui est décrit comme "ustensile à usage d'aiguisoir de lames de rasoir"
    L'aiguisoir est décrit comme une pyramide de carton de 23,40 cm sur 15,10 de hauteur avec base amovible sur laquelle on la pose comme une cloche. Sur cette base sont dessinées des médianes.

    Pour utiliser ce système, il faut une boussole, car on oriente la pyramide de façon que l'une des médianes se trouve très exactement sur un axe nord-sud.
    La lame de rasoir émoussée est posée sur le socle de 5 cm, les tranchants tournés face à l'est et à l'ouest. On place la pyramide sur sa base au dessus de la lame et on attend six jours. La lame est affûtée.
    Ce qui est incroyable c'est que cela fonctionne. Sans que l'on puisse savoir pourquoi ni comment !
    Pourquoi la pyramide ? Et plus particulièrement, dans le cas de l' "aiguisoir" de Prague, à l'échelle de celle du pharaon Khéops, en Égypte ?
    Modestement Drbal, dans ces mémoires avoue ne pas être tout à fait à l'origine de la découverte.
     
    Les ondes de forme
     
    Au début des années 50 un touriste français, Mr Bovis, visite la pyramide égyptienne. Dans la chambre mortuaire, un fait l'intrigue. L'humidité y est grande, et pourtant des cadavres de chats, d'insectes et de rongeurs, sans doute morts après avoir pénétré et s'être perdu dans les galeries, n'ont pas pourri. Ils se sont littéralement momifiés.
    Bovis se demande alors si l'architecture même du tombeau ne serait pas pour quelque chose dans le phénomène. Il se dit que les prêtres égyptiens possédaient sans doute des connaissances que nous ne pouvons pas soupçonner sur les propriétés de certaines matières, de certaines formes ou de certaines lignes de force capables de modifier un processus naturel comme celui de la décomposition des matières organiques...
    Le corps était embaumé avec un raffinement extrême. Mais les structures même de la pyramide n'était-elle pas une précaution supplémentaire ?

    Il relève soigneusement tous les rapports et dimensions du monument ainsi que son orientation. Il construit une pyramide à l'échelle de celle de Khéops et l'oriente semblablement. Toutes les pyramides du plateau de Guizèh ont une médiane de base qui coïncide à cinq seconde près, avec la ligne nord-sud. La précision est prodigieuse et sans doute non dépourvue de raison.
    Sous sa maquette, Bovis momifie un cadavre de chat et déshydrate un certain nombre de matières végétales et animales. Il en conclut que la forme de la pyramide et son orientation génèrent une énergie inconnue responsable de l'étrange phénomène.
    Mais Karel Drbal et Bovy ont certainement eu connaissance de travaux bien antérieurs datant de 1850.

    Dans les année 1850, le baron Reichennach avait mis au point un pendule excluant toute action musculaire de la part de l'expérimentateur. A une certaine hauteur, le fils de l'instrument était enroulé un certain nombre de fois autour d'un cylindre fixe. Le manipulateur posait le doigt non pas directement sur le fil, mais sur le cylindre. Toute intervention musculaire même imperceptible, sur le pendule lui-même était donc à exclure. Or le pendule oscilla !

    Ce phénomène fut attribué à une mystérieuse force appelée "Yod"
    Dans les années 1920, le mathématicien Jacques Ravatin déclarera : "Il a sans doute été le premier à comprendre que les pouvoirs des formes relevaient d'un mode de pensée radicalement différent du nôtre. Plutôt que de se tourner vers les critères scientifiques du moment, il a considéré le problème du point de vue de la cabale hébraïque et des grand cosmogoniques de l'Inde et de l’Égypte ancienne...."

    Belizal fait une curieuse constatation. Il se souvient que l'archéologue Carter, découvreur du célèbre tombeau de Toutankhamon, avait trouvé près du sarcophage une bague sur laquelle était gravé un signe étrange. Il la passa à son doigt. Coïncidence ou non : il fut le seul à ne pas être frappé par la terrible malédiction qui tua tous ses compagnons de fouilles.

    Belizal émet une autre hypothèse a partir du livre de l'abbé Moreux " La mystérieuse science des pharaons " : les prêtres qui ont procédé aux funérailles de Toutankhamon connaissaient le pouvoir des formes et celui de la disposition des objets dans une chambre mortuaire. Tout était prévu pour une protection maximale de la momie, l'étrange relief en particulier qui épargna à Carter un sort tragique.
    Belizal reproduisis le bijou au propriété étonnante.
     
    Belizal reproduisit le bijou et le porta en bague pendant quelques mois. Sa santé, chancelante auparavant, s'améliora considérablement. Ses affaires prospérèrent. Bref, toute sa vie quotidienne s'en trouva mieux.
    Il eut l'idée d'expérimenter sur des plantes et des animaux : effet bénéfique indéniable. Il baptisa la forme du nom de "Louksor", et en commença l'étude systématique, élargissant avec les années son champs de recherches à l'ensemble du mystérieux phénomène.

    L'ésotériste Enel, sous le nom duquel se cache un savant notoire, et lui-même parvinrent à la conclusion que toute la statuaire, l'architecture et même le graphisme de certaines civilisations de l'Antiquité obéissaient à ces lois des émissions de forces. Lignes, volumes, disposition, orientation...tout était calculé pour générer un équilibre idéal, une intégration parfaite dans l'espace de certains lieux et de certains hommes privilégiés.

    Une science perdue ou volontairement occultée ? Un science ou une magie qui aurait donné le nombre d'or des plus grands monuments sacrés de jadis ?
    Le mathématicien Ravatin et son groupe de recherche se demandent si ces formes d'énergie inconnues ne jouent pas avec des structures du continuum autres que celles prises en compte par notre science d'aujourd'hui.
    " Avec les émissions d'énergies dues aux formes, conclut le célèbre parapsychologue soviétique Sergueïev, sans doute irions-nous beaucoup plus loin, si nous en savions davantage, qu'avec toute notre électricité et notre nucléaire. Il y a certainement des raisons pour que ces connaissances se soient perdues".

                                                                                            Extrait de " Inexpliqué " 1981



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