• Les armes à feu et la chirurgie de la préhistoire

     

    Les armes à feu et la chirurgie de la préhistoire

     La société de recherche sur la création, fondée aux Etats-Unis a pour objectif principal de mettre fin aux idées conventionnelles sur l'évolution des espèces : elle recherche, justement, des " anomalies " troublantes. 
    En 1976, son journal a publié la description d'une cuillère trouvée dans un bloc de charbon de Pennsylvanie, en 1937.

    " La cuillère fut découverte dans une masse de cendres de couleur brunâtre, provenant de la combustion d'un gros morceau de charbon.  Les cendres, une fois remuées, retombèrent sur le côté, révélant la cuillère... Celle-ci pourrait fort bien être une relique du monde antédiluvien. "

    On a pu arriver à la même conclusion, à propos d'un " objet de fabrication humaine ", d'un genre légèrement différent, mais très ancien : un spécimen extrêmement ancien de ce qui semble être une écriture et qui a été décrit dans l'American Journal of Science de 1831. Un bloc de marbre provenant d'une carrière fut découpé en plaques. L'une de ces plaques révéla alors une dentelure d'environ 4 cm sur 1,5 cm. Dans cet espace peu profond, il y avait deux formes en relief, ressemblant aux lettres I et V. La régularité des lettres donne absolument l'impression de deux caractères sculptés par une main humaine et préservés durant des millions d'années au cours desquelles le marbre s'est formé, tandis que toute trace de l'édifice sur lequel ils avaient été sculptés a été effacée et a disparu à jamais.

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    Il existe un autre type d'" artefact " ( ou vestige d'intervention humaine ), peut-être le plus humain de tous, qui met en évidence une blessure infligée par un être humain à un autre, il y a des milliers d'années. C'est un crâne qui se trouve au musée d'Histoire naturelle de Londres. Il appartient à un être humain, de type " homme de Neandertal ", et a été trouvé en 1921, près de Broken Hill, dans ce qui était alors la Rhodésie et qui est ensuite devenu la Zambie. Sur le côté gauche du crâne, il y a un trou rond et lisse. La propreté de la blessure suggère qu'un projectile lancé à très grande vitesse ( une balle ) l'a produite. Exactement à l'opposé de cette blessure, le crâne est fracassé, comme si le projectile était ressorti du crâne par ce côté.

    Un expert en médecine légale de Berlin a estimé que ce trou était identique à celui causé par des blessures par balle. Pourtant, les restes ont été trouvés à 18 mètres de profondeur. Or, ils n'auraient pas pu être enfouis à cette profondeur par un processus géologique normal si la victime était morte au cours de ces derniers siècles, lorsque les armes à feu furent introduites pour la première fois en Afrique centrale.

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    Cet objet étonnant, et bien embarrassant pour certains, n'est pas un cas unique. Le crâne d'un aurochs, une espèce éteinte de bœuf sauvage, a été trouvé près de la rivière Lena en U.R.S.S : il présentait un trou lisse, de forme arrondie, ressemblant à une blessure par balle. L'aurochs avait vécu plusieurs années après avoir reçu cette blessure.

    Ces crânes suggèrent que les hommes disposaient, il y a des millénaires, d'armes plus sophistiquées que des haches en silex ! Mais d'une manière analogue, des techniques de guérison perfectionnées étaient peut-être déjà utilisées à cette époque. Tout ce que nous savons de la médecine préhistorique se limite presque entièrement aux traces d'opérations chirurgicales affectant les os. Des opérations chirurgicales du cerveau et même des opérations à cœur ouvert ont sans doute été réalisées il y a plus de 4 000 ans !

    Les armes à feu et la chirurgie de la préhistoire

    Près du lac Sevan, en Arménie soviétique, des squelettes datant de 2 000 ans avant J-C, d'un peuple appelé les Khurites, ont été découverts. 
    Dans l'un des crânes de femmes, un trou d'environ 6 cm a été produit par quelque blessure. Les chirurgiens d'alors ont inséré dans ce trou une petite cheville en os d'animal, qui est restée en place, et la femme a survécu, car son os crânien a grandi partiellement autour de cette cheville. 

    Sur un autre crâne Khurite, une blessure plus importante a été provoquée par un coup. Les chirurgiens ont retiré une partie du crâne autour de la blessure, afin d'extraire les esquilles du cerveau. L'opéré a lui aussi survécu et pour de nombreuses années encore.

    Le professeur Andronik Jagharian, qui a étudié ces crânes, fit le commentaire suivant : " en tenant compte des instruments anciens dont disposaient ces médecins pour opérer leurs malades, je dirai qu'ils étaient " techniquement supérieurs " aux chirurgiens d'aujourd'hui.

    Des squelettes très anciens, venant d'Asie centrale, ont été étudiés à l'université d'Ashkhabad : ils présentaient des traces d'opération crânienne et également une opération chirurgicale des côtes. Tout laisse supposer que cette dernière opération a été réalisée à cœur ouvert !

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    René Noorbergen, qui cite tous ces cas, est convaincu qu'ils indiquent que les hommes d'alors étaient en contact avec des cultures beaucoup plus développées techniquement. Ou ils ont appris à réaliser eux-mêmes ces opérations chirurgicales, ou ils faisaient appel à des " missionnaires " pour faire ce travail. Il estime que les cultures d'où provenaient les squelettes n'ont pas pu développer ces techniques elles-mêmes.

    Il poursuit en décrivant des statuettes de pierre et des sculptures découvertes dans les Andes, à une altitude élevée, et remontant bien avant les Incas. Certaines de ces sculptures représentent des victimes de maladies diverses. celles-ci portent des signes de la petite vérole, du cancer ou de l'arthrite. Il s'agissait peut-être de modèles d'instruction : ces figurines ont été enterrées à des fins rituelles avec les personnes ayant succombé à ces maladies.

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    Néanmoins, d'autres sculptures semblent montrer des opérations chirurgicales réalisées sur le cœur et le cerveau, des accouchements par césarienne, des chirurgiens en train d'opérer et des " malades opérés, reliés par un ensemble de tubes compliqué à des systèmes de
    réanimation ".

    Un chirurgien américain, le docteur E. Stanton Maxey, le décrit :

    " ... Sur les photographies de sculptures représentant une opération du cœur, les détails sont parfaitement clairs... Les sept vaisseaux sanguins venant du cœur sont fidèlement représentés. L'ensemble évoque une opération cardiaque, et les chirurgiens utilisent apparemment des techniques correspondant à nos connaissances modernes. "

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    Mais, un doute irritant surit à propos de ces figures anatomiques représentées sur les gravures. Nous savons que les cultures postérieures d'Amérique du Sud offraient à leurs dieux des sacrifices rituels.
    La même chose a-telle été vraie pour ces peuples pré-Incas ?
    Et les " chirurgiens " représentés sur les sculptures ne seraient-ils pas en réalité des prêtres, tenant des couteaux dans un but qui n'aurait absolument rien de médical ? Et si la plaie béante dans le ventre d'une femme enceinte, montrée sur l'une des sculptures représentait non pas un accouchement d'un enfant mais le sacrifice aux dieux de deux vies, la mère et l'enfant ?

    Cette pensée fait froid dans le dos ! Mais l'ambiguïté fondamentale des sculptures et des gravures provenant de ces cultures antiques nous empêche absolument d'être certains de leur signification véritable. 

    Les preuves indiscutables de l'existence de " super races ", qui auraient été autrefois à l'origine de ces techniques chirurgicales préhistoriques, manquent dans les fouilles archéologiques. Ce n'est pas nécessairement un fait négatif : on a souvent fait remarquer que toutes les preuves (fossiles) sur lesquelles on a bâti l'arbre généalogique de l'homme tiendraient facilement dans une seule et grande pièce ! Un nombre infime de nouvelles découvertes suffiraient à faire vaciller tout l'édifice.

    La société de recherche sur la création, dans ses efforts pour parvenir à ce résultat, à produit des empreintes de pieds fossilisées qui contredisent totalement les idées " officielles ". On pense généralement que les dinosaures se sont éteints il y a environ 70 millions d'années, tandis que l'homme est apparu il y a un million d'années... Pourtant, dans le lit de la rivière Paluxy, au Texas, on a découvert des empreintes fossilisées de dinosaures... à côté de ce qui semble être très nettement des empreintes de pieds humains, bien que ces empreintes de pieds soient longues de 24 centimètres. 

    Les armes à feu et la chirurgie de la préhistoire

    Tailler en petits éclats de silex pour en faire des haches et des couteaux est un aspect de " technologie ancienne "  qui peut paraître plus familière et plus rassurante aux étudiants académiques que les spéculations moins orthodoxes sur les blessures par balles et la chirurgie au temps de la préhistoire. Les clous en fer datant de millions d'années, et les filets d'or... dont nous avons parlé plus haut.

    Pourtant, il existe des objets de fabrication humaine déconcertant parmi les quantités innombrables d'outils en silex qui ont été rassemblés depuis que des recherches archéologiques ont été sérieusement entreprises. En Grande-Bretagne, en Afrique du Sud, en Australie et en Inde, des milliers de ce qu'on appelle des " silex pygmées " ont été découverts : il s'agit de minuscules silex taillés selon différentes formes pour servir de forets pointus, de grattoirs et de couteaux.

    Les armes à feu et la chirurgie de la préhistoire

    Un anglais expert en antiquité, Reginald A. Gatty, écrivait, en 1896, à propos de sa propre collection :

    " ... Lorsque vous arrivez aux toutes petites tailles, aux minuscules silex faisant moins de 6 mm, une loupe est nécessaire pour découvrir le travail réalisé. Quelles mains, quels yeux ces faiseurs de silex préhistoriques devaient avoir pour façonner des outils si délicats !... Lorsqu'on les voit tous ensemble, rangée après rangée, on réalise alors que ces silex ont été fabriqués dans un but et un dessein bien particulier et que les gens qui les ont fait étaient certainement des artisans de premier ordre. "

    Ce nom de " silex pygméen " est évocateur. Mais, bien qu'ils soient très petits selon nos normes modernes, il n'existe aucune preuve pour démontrer que les anciens habitants de la planète aient été des pygmées !
    Ou encore qu'ils aient été des nains ou des fées. A quoi pouvaient donc servir des outils minuscules pour quelqu'un qui aurait eu une taille normale ?

    Si l'on admet l'existence d'anciennes races de pygmées et de géants, et si l'on accepte de bousculer quelque peu la chronologie conventionnelle de l'espèce humaine, alors il y a peut-être une place pour ces peuples technologiquement supérieurs qui utilisaient des armes à feu, il y a des millénaires... et pour cette Ève qui perdit son dé à coudre il y a 70 millions d'années.

                                                                                                                                                                                          Extrait de " Inexpliqué 1981"

     


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