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    Le Déluge

     

    " Il advint un grand tremblement de terre et le soleil devint noir comme un sac de crin et toute la lune devint comme sang et les étoiles du ciel tombèrent sur la Terre de même qu'un arbre de figues fut secoué par une forte bourrasque. Et le ciel se rétracta comme un parchemin que l'on enroule et chaque montagne et chaque île furent déplacées de leur lieu ".
     
    Le Déluge

    Ceci est un extrait de l'apocalypse de l’apôtre Jean, mais certains doutent qu'il s'agisse d'une pure et simple prévision. Le Saint aurait-il puisé ces images terrifiantes dans des souvenir ancestraux, même confus ou transformés, comme celui du Déluge de l'Ancien Testament ? Aurait-il transposé dans le futur les impressions de ses aïeux dans sa prophétie ?
    Une " fin du monde " en somme aurait déjà eu lieu et il s'agirait justement de celle qui aurait vu Noé.

    L'allusion biblique à tous les représentants du règne animale est certes une exagération, comme c'est le cas dans d'autres textes religieux, mais nous trouvons cette légende dans plusieurs parties du globe, avec des détails qui coïncident de façon impressionnante avec ceux de l'Ancien Testament.

    Pour les Sumériens, Noé est Utnapishtim. Averti par Ea, dieu des eaux, des intentions des divinités de submerger le monde, il est pressé de construire une arche pour se sauver lui-même, sa famille et un couple de chaque animal existant.
     
    Le Déluge

    Pour les grecs on parle de Deucalion, roi de Thessalie, qui aurait survécu ainsi que son épouse grâce aux conseils de son père Prométhée, qui connaissait les intentions nourries de Zeus à l'encontre du genre humain.
    Au-delà de l'Atlantique, l'histoire du déluge est également répandue.
      
    La tradition aztèque, entre autres reproduit presque mot à mot la tradition biblique. On y raconte l'histoire d'un homme pieux nommé Tapi, auquel se présenta le dieu créateur de toute chose, lui disant :
    " Construit une grande embarcation et fais-en ta demeure. Portes-y ta femme et un couple de tous les animaux existants. Mais dépêche-toi car le temps est proche."  
     
    Tapi suivit le conseil et, dès qu'il eut accompli son oeuvre, il commença à pleuvoir. La vallée fut inondée, les hommes et les animaux cherchèrent refuge sur les montagnes, mais ceux-là aussi furent submergés. Seule son embarcation fut épargnée. Elle abritait les seuls êtres vivants de la terre. A la fin, la pluie cessa et Tapi expédia hors de l'arche une colombe. L'oiseau ne revint pas, d'où le survivant déduisit qu'il avait trouvé un bout de terre où se poser.
     
    Le Déluge

    Presque toutes les légendes font référence à un châtiment divin, ce qui ne doit pas surprendre, étant donné les sentiments religieux extrêmement enracinés et la portée terrifiante du phénomène. Et les anciennes croyances péruviennes, bolivienne et nord-américaine font allusion à une " terrible inondation déchaînée pour punir l'orgueil et outrecuidance des hommes "

    Très étrange est la similitude entre certains noms : le Noé hawaïen, par exemple s’appelle Nu-u et le chinois, Nu-wah, tandis que dans la Sierra Parima, à la frontière entre le Brésil et le Venezuela, il existerait même une ville morte dont le nom est consacré au patriarche : Ma-Noa, l"eau de Noé ".

    La concordance entre les faits racontés, les détails et les noms sont trop nombreuses pour faire penser à des coïncidences.
     
    Le Déluge
     
    Mais l'arche du Noé biblique échoua-t-elle réellement sur le mont Ararat, dans l'Arménie turque, à la limite de l'Arménie soviétique et de l'Iran ? En 1960, le major de l'aviation turque S. Kurtis, chargé de photographier les pentes de la montagne, fut attiré par les images troublantes d'un objet relevé à 2000 m d'altitude, une "chose" de forme ovale allongée, prise dans la lave sortie au cours de nombreuses éruptions de la plus grande bouche volcanique su massif.
     
    "On ne peut penser qu'à l'arche de Noé", affirmèrent les experts d'Ankara après avoir examiné les photographies du major. Les mesures de l'embarcation, de surcoit, devaient correspondre exactement aux mesures citées par les saintes Écritures : environ 150 m de long et 50 mètres de large. De l'ombre, on put même déduire la profondeur approximative de la coque, évaluée à 6 m. Les reproductions furent envoyées au plus grand spécialiste mondial de photogrammétrie, le professeur Arthur Brandeburger, actuellement en service du gouvernement des Etats-Unis, qui déclara : " Au coût de risquer ma réputation, je dois constater qu'il s'agit d'un navire placé à 2 000 m au-dessus du niveau de la mer sur les pentes de l'Ararat. "
     
    Si cet étrange objet était réellement une embarcation, s'il pouvait être rejoint et libéré de son carcan de lave, nous trouverions peut-être à bord une confirmation sensationnelle d'un récit encore enveloppé des voiles de l’incertitude...
     
    Mais l'entreprise est difficile, de par les conditions géographiques comme de par la position d’intérêt militaire où se situe le lieu de l'échouage supposé.
     

    Le Déluge

     
    Comment et quand eut lieu le déluge universel ?
    Il y a 10 500 ans à 12 000 ans disent les scientifiques.
    Le chercheur autrichien Otto Much pense pouvoir en fixer la date exacte : 8496 avant J-C à la suite de la chute d'un planétoïde sur notre globe.

    Nous savons tous que certains astéroïdes, qui évoluent entre Jupiter et Mars, ont des orbites très irrégulières et s'approchent parfois de la Terre à tel point qu'ils déclenchent une alarme et font craindre à quelque astronome une collision.
     
    Par bonheur, rien de ce genre n'est arrivé depuis des millénaires, mais la date à laquelle nous venons de faire allusion, la collision a pu avoir lieu. Attiré par une rare conjonction Terre-Lune-Venus, un planétoïde se serait précipité sur notre globe. Au moment de l'impact avec l'atmosphère, selon Otto Much, il se cassa en deux, frappant la Terre au centre de l'arc formé par la Floride et les Antilles, là où la croûte de la planète est plus fine et où abondent les volcans sous-marins.
     
    Voici la reconstitution, d'après ce chercheur allemand, de l'immense catastrophe qui bouleversa la surface terrestre : Au nord-ouest une bande de gaz longue de 800 à 1 000 km, blanche, extrêmement lumineuse, monta au ciel en un grand arc. Silencieuse, avec une vitesse foudroyante, elle s'approcha, devenant toujours plus étendue, elle tomba sur la terre comme un gigantesque serpent, tandis que les incendies terribles éclataient à ses limites. Et, depuis l'infini, avec le planétoïde arraché à son orbite, vint la mort. A faible distance de notre planète le corps céleste se scinda en deux parties qui se précipitèrent dans l'atlantique avec une puissance inouïe, incisant la croûte terrestre.
     

    Le Déluge

     
     
    " En même temps qu'un rugissement, une colonne de fumée se leva au ciel, entraînant avec elle gaz, cendres, lave, lapilli masses titanesques de magma en fusion. Sur des milliers de kilomètres tout ne fut qu'un hymne à la destruction : la mer commença à bouillir, une quantité inimaginable d'eau se transforma en vapeur et, mélangée à la poussière et aux cendres, se condensa en des nuages noirs qui obscurcirent le soleil. Tous les volcans explosèrent avec une furie terrifiante..."
     
    Les cratères de la planète entière ont dû entrer en éruption après le gigantesque raz de marée causé par la chute du corps céleste. Puis les cendres éruptives s'agglutinèrent pour envelopper le globe dans une dense couche de nuages, masquant le soleil et donnant lieu à de furieuses pluies. On calcule que plus de 20 billions de tonnes d'eau et 3 billions de tonnes de cendres ont pu tomber rien qu'en Europe et en Asie septentrionale. le niveau moyen des précipitations fut donc de 30 m ! 
     
    Utnapishtim, le Noé de l'épopée de Gilgamesh, raconte : " Le vent du sud mugissait, les eaux mugissaient et atteignaient déjà les montagnes et retombaient sur toutes les gens. Six jours et six nuits la pluie tomba à verse, comme une cascade. Le septième jour le déluge se calma. Le silence survint comme après une bataille. La mer redevint tranquille et la tempête cessa. Je regardais le temps qui s'était calmé. Tous les hommes avaient dégénéré en boue. Le sol était une étendue uniforme désolée...".

    La catastrophe eut évidemment des conséquences désastreuses.
     
      
    Toujours selon Otto Much, notre planète à la suite du heurt de l'astéroïde et des furieuses éruptions volcaniques, changea son propre axe de rotation, fait dont nous retrouvons la trace également dans des documents de l'ancienne Égypte : " Le sud devint nord et la Terre se retourna ".

    Hérodote raconte comment les prêtres égyptiens de Thèbes lui ont révélé que, dans un lointain passé, " le soleil s'était levé quatre fois dans un point différent du point habituel et qu'il s'était couché deux fois où il se lève maintenant. "
     

    Le Déluge


    Platon nous dit aussi en se référant à ses souvenir égyptiens dans son Timée : " Survinrent de violents tremblements de terre et inondations et, dans le cours d'un terrible jour et d'une terrible nuit, l'entière race belliqueuse disparut sous la terre et pareillement disparut Atlantis sous
    les mers ".
     
    De vastes étendues de terres disparurent dans des gouffres profonds : Platon nous le dit aussi, en se référant à des souvenirs égyptiens dans son Timée : " Survinrent de violents tremblements de terre et inondations et, dans le cours d'un terrible jour et d'une terrible nuit, l'entière race belliqueuse disparut sous la terre et pareillement disparut Atlantis sous la mer " 

    C'est encore le Mahâbhârata, que l'on surnomme la "Bible hindoue" qui nous parle de " sept grandes îles de la Mer d'Occidents " détruites par le cataclysme. Des documents asiatiques un peu plus récents affirment
    que " l'Empire de la mer d'Occident " fut englouti par les flots.
     

    Le Déluge


    Si nous traversons l'Océan, nous trouvons chez les peuples de l'Amérique précolombienne un " Atzland " terme faisant allusion à une catastrophe énorme et cruelle ainsi qu'un autre vocable de la langue nahua " Na-hoatlan " qui signifie " terre parmi les eaux "

    Les hiéroglyphes de la pyramide mexicaine de Xochicalco font aussi allusion à une terre " située au milieu de l'océan, détruite " et à ses habitants " tués et réduits en poussière ".

    Un fragment maya, traduit en 1930 par le philologue brésilien O.M. Bolio, rapporte : 
    " Le onzième jour Ahau Katum, survint le désastre. Il tomba une pluie d'une violence inouïe et les cendres tombèrent du ciel et en une seule grande ondée les eaux de la mer se déversèrent sur la terre... et le ciel se précipita... et la terre s’effondra ... et la Grande Mère Seyda fut parmi les souvenirs de la destruction
    du monde. "
     

    En Occident, on lie le Déluge à la disparition de l'Atlantide. En Orient, on fait référence à la submersion d'un autre continent fabuleux, celui de Mu, à tel point que sur une tablette de Llassa, selon ce que nous en dit le colonel britannique James Churchward, on trouverait l'incision suivante, que l'on fait remonter à douze milles années environs :
     
    " Lorsque l'étoile Bal tomba là où aujourd'hui il n'y a que la mer, les sept villes tremblèrent avec leurs portes d'or et leurs temples, une grande bouffée de chaleur naquit et les rues se remplirent d'une dense fumée. Les hommes tremblèrent de peur et une grande foule se rassembla dans les temples et dans le palais du roi.
     
    " Le roi dit " Ne vous ai-je pas prédit tout cela ? " Et les hommes et les femmes, vêtus de leurs précieux habits, ornés de leurs merveilleux colliers et bracelets, le prièrent et le supplièrent : " Sauve-nous, Ra-Mu ! ". Mais le roi dans une dernière prophétie leur annonça qu'ils allaient tous devoir mourir avec leurs enfants et leurs esclaves et que de leurs cendres serait née une nouvelle race humaine. "
    Le Déluge
     
     
     Un manuscrit pré-maya de 35 siècle décrit ainsi la fin de Mu :
     
    " En l'an 6 du Kan, le 11 muluk du mois de Zak, eurent lieu de terribles tremblements de terre qui se poursuivirent jusqu'au 15 Tchouen. Mu, la contrée aux collines d'argile, fut sacrifiée : après s'être soulevée deux fois, elle disparut pendant la nuit, tandis que la terre était continuellement secouée. Le sol s'effondra et réémergea plusieurs fois, en de nombreux points proches de la mer. Finalement l'étendue se fendit et se scinda en plusieurs parties et s'effondra avec ses 64 millions d'habitants.

    Une autre concordance : la disparition il y a 10 à 12 000 ans de la couche de glace qui recouvrait précédemment, outre la Scandinavie, la Grande-Bretagne, l’Irlande, et presque toute l'Europe continentale, tandis que la Sibérie était plongée dans le rigide climat qu'elle connait actuellement. Cela arriva, dit encore Much, avec d'autres géologues soviétiques, parce que le Gulf Stream put enfin toucher nos rives, qui n'étaient pas à sa portée auparavant, puisqu'il était arrêté par une autre terre, l'Atlantide. 

    La thèse de l'épouvantable bombardement cosmique trouve beaucoup d'autres appuis comme les vastes cratères creusé il y a toujours 10 à 12 000 ans par des météorites énormes dans l'Amérique centro-méridionale et aussi en Géorgie, en Virginie, en Caroline et sur le fond de l'Atlantique, au large de Porto-Rico.

    Le cataclysme provoqua évidement un immense massacre et les survivants durent péniblement recommencer leur chemin vers la civilisation. Des espèces entières, parmi lesquels les mammouths, furent détruites et leurs rares descendants, éliminé par les conditions climatiques nouvelles et par la lutte pour la survie, modifièrent leurs habitudes pour subsister. 

    L’hypothèse de Much n'est qu'un scénario possible. Il nous fait réfléchir sur la fragilité de notre monde...
                                                                                   Extrait de " Inexpliqué " 1981
     
    Vous pouvez compléter cette lecture avec : Le Déluge selon Bérose
     

     


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    L'arche de Noé

     

    On ne peut parler du Déluge sans évoquer l'Arche de Noé.
    L'arche échoua-t-elle réellement sur le mont Ararat, dans l'Arménie turque ? Il semble vraiment que oui.
    En 1960, le major de l'aviation turque S. Kurtis, chargé de photographier les pentes de la montagne, fut attiré par les images troublantes d'un objet relevé à 2 000 m d'altitude, une "chose" de forme ovale allongée, prise dans la lave sortie au cours de nombreuses éruptions de la plus grande bouche volcanique du massif.
    "On ne peut penser qu'a l'arche de Noé" affirmèrent les experts d'Ankara après avoir examiné les photographies.
    Les mesures de l'embarcation devaient correspondre exactement aux mesures cités par les Saintes Écritures : environs 150 m de long et 50 m de large.
    Les photos furent envoyé au plus grand spécialiste mondial de photogrammétrie, le professeur Arthur Brandeburger, au service du gouvernement des Etats-Unis, qui déclara : "Au coût de risquer ma réputation, je dois constater qu'il s'agit d'un navire placé à 2 000 mètres au dessus du niveau de la mer sur les pentes de l'Ararat".
    Le 26 avril 2010, une équipe d'explorateurs évangéliques chinois et turcs annonce avoir peut-être découvert l'arche
    L'arche de Noé

    Un groupe d'explorateurs évangéliques, composé de Chinois et de Turcs auraient retrouvé des restes en bois de la structure du bateau. Par datation au carbone quatorze, ceux-ci dateraient d'environ 4800 ans, soit l'époque présumée à laquelle l'arche aurait été mise à flot.
    L'équipe est partie du constat qu'aucune trace de présence humaine n'a jamais été trouvée dans cette région au-delà de 3500 mètres d'altitude. Elle en a conclu que l'emplacement de leur découverte n'aurait pas été habitée.
    Nous parlons ici de l'arche de Noé car d'autres récits nous parlent de Déluge et d'arches.....

    L'arche de Noé
    L’épopée d’Atrahasis, écrite en akkadien (la langue de l’ancienne Babylone), raconte comment le dieu Enki enjoint au héros Atrahasis de Shuruppak de démanteler sa maison, faite en roseaux, et de construire un bateau afin d’échapper au déluge que le dieu Enlil, irrité par le bruit des villes, entend lancer pour éradiquer l’humanité.

    La légende de Ziusudra, écrite en sumérien, a été retrouvée dans les fragments d'une tablette d’Eridu. Elle raconte comment le même dieu Enki avertit Ziusudra, roi de Shuruppak, de la décision des dieux de détruire l’humanité par un déluge. Enki charge Ziusudra de construire un grand bateau.

    L’épopée babylonienne de Gilgamesh raconte les aventures d’Uta-Napishtim, originaire de Shuruppak. Ellil, chef des dieux, souhaite détruire l’humanité par un déluge. Uta-Napishtim reçoit du dieu Ea le conseil de détruire sa maison en roseaux et d’utiliser ces derniers pour construire une arche.
    L'arche de Noé
    Que de similitudes ! Qu'un grand déluge dévasta la Terre et que tous les peuples en parle, quoi de plus naturel. Mais que dire de la construction d'une arche pareil dans ces récits antiques ?

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    L'incroyable aventure du sergent Zamora

    ‎24 avril 1964 à Socorro, dans l'état du Nouveau-Mexique aux USA, le policier Lonnie Zamora patrouille et se lance à la poursuite d'une Chevrolet en plein excès de vitesse. Il sort de la ville. Il est 17h45. Il entend soudain un hurlement et aperçoit une flamme rouge et orange dans le ciel a près d'un km de là. Il sait qu'une cabane contenant de la dynamite s'y trouve, il abandonne la poursuite et se dirige vers l'endroit où la flamme à paru tombée.
     
    L'incroyable aventure du sergent Zamora

    Au sommet de la colline, il aperçoit un objet métallique brillant qu'il prend pour une épave de voiture. Près de cet objet, deux humanoïdes vêtus de combinaison blanche qu'il prend pour des étrangers et se lance à leur secours.
    Comme il se rapproche, il se rend enfin compte que l'objet métallique n'est pas tout à fait ordinaire mais de forme ovale, et qu'il repose sur des sortes de poutrelles métalliques. Il décide de sortir de sa voiture et de continuer à pied.
    A peine sorti, il entend à nouveau un grognement et quelques coup, comme si on tapait sur du métal avec un marteau. Quand les coups cessent, le hurlement s’amplifie. Léonnie Zamora voit alors l'engin s'élever dans le ciel, comme poussé par une flamme bleue et orange suivi par un nuage de poussière.

    Prudent il regagne son véhicule et il a le temps de voir la forme ovale se mettre à l'horizontale et s'élever jusqu'au niveau de la voiture. Saisi de panique, il court se réfugier derrière le sommet de la colline, loin de la cabane.

    Le silence succède au grondement et il voit alors l'objet s'élever très haut dans le ciel et disparaître.
    Au même moment le sergent Chavez essaye de joindre son collègue par la radio de sa voiture.
     
    L'incroyable aventure du sergent Zamora
     
    En attendant son collègue, Zamora dessine ce qu'il a vu sur l'engin lors de son envol : une sorte d'insigne en rouge. A l'arrivée de son collègue il est toujours sur le choc. Il montre l'endroit où se trouvait l'engin. Quelques broussailles encore fumantes achèvent de s'y consumer. Sur le sol, des marques sont encore visibles. Les enquêteurs officiels relèvent quatre trous identiques et quatre marques de feu. La position des trous est asymétrique mais l'inspection révélera qu'ils devaient assurer une stabilité parfaite a la structure. La pression nécessaire pour faire de tels trous sera estimée à plus d'une tonne par emplacement. Un examen minutieux montrera que la flamme vue par le policier était bien au centre de l'engin.

    Ordinairement les autorités américaines refusent de prendre en compte les témoignages d'ovnis rapportés par un seul témoin. Mais le cas de Lonnie Zamora a été jugé assez crédible pour déclencher une enquête en profondeur. Son témoignage est encore aujourd'hui considéré comme l'un des plus solide en faveur de l'existence des ovnis.
      
    Ce même jour, toujours aux USA, le fermier Gary Wilcox fait une rencontre similaire à celui du sergent Zamora.
    Il est 10 h du matin. Le fermier travaille à sa terre et il aperçoit soudain un éclair de lumière entre les arbres. Intrigué, il prend son tracteur et se dirige vers la lumière. Il commence à voir un objet métallique qu'il prend pour un réservoir d'avion. En s'approchant, il se rend compte que l'objet est lisse et en forme d’œuf et qu'il ne repose pas a terre mais est comme suspendu du sol.
     
    L'incroyable aventure du sergent Zamora

    Deux créatures surgissent alors de l'engin. Il pense à une farce. Une voix le surprend. Ils disent venir de la planète Mars et ont déjà eux des contacts avec d'autres humains. Une conversation s'engage et ils parlent d'agriculture. Ils sont très curieux de savoir comment les humains engraissent leur terre et sur les voyages dans l'espace. Les voyageurs de l'espace soutiennent que les astronautes humains ne pourront jamais s'adapter à la vie dans l'espace. Ils regagnent leur vaisseau spatial qui disparaît sans faire de bruit.

    Gary Wilcox devait être examiné par un psychiatre qui devait le déclarer tout a fait sains d'esprit et équilibré
    Détail stupéfiant, les deux humanoïdes en parlant des voyages dans l'espace avaient cité les noms de John Glenn et Virgil Grissom ainsi que ceux de deux cosmonautes russes, en précisant qu'ils devaient prochainement mourir des séquences de leur séjour dans l'espace.
    La prédiction devait se réaliser mais dans des conditions différentes.

    Grissom à trouvé la mort, avec deux astronautes américains, dans l'incendie au sol d'une capsule Apollon.
    Komarov le russe, s'est écrasé au sol dans sa cabine, à la suite d'une défaillance du parachute qui devait freiner son atterrissage.
     
                                                                    Adaptation de " Inexpliqué " 1981
     

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    Les plantes ont-elles des émotions ?

     

    CLEVE BACKSTER un ancien employé de la CIA et spécialiste du détecteur de mensonge fait d'étrange expérience sur les plantes une nuit d'insomnie. Il s'amuse a branché son détecteur sur une plante pour voir sa réaction lors de l'arrosage : tout se passe comme si la plante se laissait aller, se relaxait, ressentait du plaisir. Il essaye ensuite de menacer le bien-être de sa plante et pense la brûler la feuille avec une allumette : avant de faire le moindre geste, la plume enregistreuse du détecteur fait un bond. La plante a-t-elle pu lire dans ses pensées ? Il veut en savoir plus. L'aventure des plantes commence.
    Il s'agit tout d'abord d'éliminer les sources d'erreur. Le détecteur n'est-il pas défectueux ? La plante n'a t-elle pas réagit ainsi par hasard ?
    Pendant des mois, Cleve Backster poursuit ses recherches. Ses conclusions provisoires, demeurent stupéfiantes ; le phénomène persiste. 
     

    Les plantes ont-elles des émotions ?


     Il y a mieux,
    les plantes paraissent aussi réagir à d'autres personnes ou a d'éventuelles menaces comme l'arrivée soudaine d'un chien dans la pièce. Pour Cleve Backster, les plantes sont même capables de prévoir les mouvements d'une araignée. Pour lui il ne fait aucun doute que les plantes possèdent une sorte de "conscience de base". Il va plus loin avec son détecteur avec une expérience "criminelle" : 6 personnes prise au hasard tirent au sort un papier désignant "l'assassin". Les 5 autres ignore qui a été désigné par le sort. "Lorsque le laboratoire est désert, l'assassin" doit détruire 2 plantes sur 3. Ce qui est fait. Le détecteur branché sur la plante survivante, on fait défiler les 6 personnes devant elle. La 6ème fait bondir la plume enregistreuse qui se comporte de façon incohérente. C'était le coupable.
    Les plantes ont-elles des émotions ?
    Petit à petit, l'ancien de la C.I.A. étend le champ de ses recherches. Il constate que son philodendron favori peur réagir à des émotions à une distance considérable. Un jour, Backster se coupe le doigt en manipulant des plantes dans son laboratoire. Au moment où il badigeonne sa blessure avec la teinture d'iode, le détecteur de mensonge réagit. Là, deux hypothèses : soit le tracé a été influencé par la réaction de la plante à la douleur de son maître ; soit il a été causé par la réaction de la plante à la destruction d'autre cellules vivantes.
    Après un an de recherche, Cleve commence à se préoccuper de publier ses travaux. Il craint cependant le scepticisme et décide de s'entourer d'ultimes précautions avant de présenter ses thèses au grand jury.
    Pour convaincre les milieux scientifiques, il imagine une expérience où il n'y aura aucun engagement humain :

    Les plantes ont-elles des émotions ?
     
    Comme les plantes réagissent nettement à la destruction d'autres cellules vivantes, il met au point un appareil qui lâche, de manière aléatoire, de minuscules crevettes dans de l'eau bouillante à certains moments et, à d'autres, de la matière inanimée. Trois philodendrons, branché sur trois détecteurs participent à l'expérience.
    Les résultats paraîtront en 1968, dans l'' International Journal of parapsychology. Les plantes avaient bien réagi quand les crevettes étaient tuées. Et elles s'étaient bien abstenues de réagir quand la machine jetait dans l'eau de la matière inanimée. Ce ne pouvait pas être un hasard.
    L'aventure du psychisme des plantes éclate alors en plein jour. Backster devient brusquement célèbre. Les magazines du monde entier viennent faire des reportages dans son laboratoire. Des milliers de savants lui demande une copie de son volumineux rapport de recherches.
      
    Pierre Paul Sauvin, un employé de l'I.T.T.  Il est fasciné par cette affaire d'autant qu'il est lui-même un passionné d'électronique.
    Il entreprend donc de perfectionner par tous les moyens possibles les appareils mis au point par Cleve Backster. Il peut alors dialoguer avec ses plantes, leurs réponses sont relayées par l'oscillateur. Pendant des heures il fait ce que des milliers de personnes font en arrosant tranquillement leurs plantes : elles leur parlent, les essuient, les caressent et beaucoup peuvent affirmer que "cela leur fait du bien". Sauvin, lui, finira par recevoir les "choc émotionnels" de ses plantes à de très grande distances et il leur transmettra des sensations auxquelles elles réagiront à plus de 130 km de là.
     
      Les plantes ont-elles des émotions ?
     
    Luther Burbank, un californien de Santa Rosa, a ainsi passé des années à développer une nouvelle variété de cactus dépourvus d'épines. Tout en travaillant avec ses plantes, il avait pris l'habitude de leur parler : "Vous n'avez rien à craindre ; Vous n'avez nullement besoin de vos défenses. Je serai là pour vous protéger."
    D'après Manly P. Hall, le président de la recherche philosophiques américaine, l'amour de Luther Burbank pour ses plantes était une sorte de nourriture mystérieuse, qui faisait grossir les végétaux et les incitait à produire davantage de fruits. Il explique :
    "Burbank m'a déclaré que, dans toute ses expériences, il essayait de donner confiance aux plantes, il leur demandait de l'aider et il les assurait qu'il prendrait le plus grand soin de leur petites existences. Luther Burbank disait aussi que les plantes avaient plus de vingt sens mais que, puisqu'elles étaient différentes des hommes, il nous était impossible de les reconnaître. Il n'était pas sûr que les arbres et les fleurs pouvaient comprendre ses paroles mais il était convaincu que par télépathie, ils pouvaient comprendre ce qu'il voulait leur dire."

    Les plantes ont-elles des émotions ?
     
    Jagadis Chandra Bose, un professeur de physique a Calcutta en Inde apportera la preuve de l'action de l'environnement sur une plante. Grossissant plus de dix millions de fois le mécanisme de croissance d'une feuille, il a montré comment, en un quart d'heure, l'action des engrais et de certaines nourritures pouvait être déterminante pour les tissus.
    Selon un journal français : "Après cette découverte, nous avons quelques inquiétudes. Quand nous voyons une femme avec une fleur, laquelle des deux souffre le plus, la femme ou la fleur ?
    Dans la Pravda on cite le cas du professeur Ivan Isidorovitch Gunar : " Il semble même qu'il ait des conversations avec les plantes et il me semble que les plantes prêtent attention à ce bonhomme aux cheveux gris."
    Un film, réalisé à l'intérieur du même département, montre comment les plantes réagissent aux agressions de l'environnement au vol d'une abeille ou d'une mouche, ainsi qu'aux injures. Les réponses, enregistrées sur les diagrammes, rappellent celles qu'a pu obtenir Cleve Backster.
      
    Les chercheurs de l'université d'Etat du Kasakhstan, en Union soviétique, ont éduqué un philodendrons pour qu'il reconnaisse différents types de minerai.
    La plante était supposée donner un choc électrique, transcrit sur un diagramme, chaque fois qu'un bloc de minerai lui serait présenté. Elle devait également ne pas réagir quand le bloc qui lui était proposé ne contenait aucun minerai. L'expérience allait être couronnée de succès.
      
    En septembre 1964, la presse anglaise a rapporté les expériences d'un infirmier qui pouvait faire fleurir en automne des fleurs de printemps, notamment des jonquilles. Sa recette : dans une des serres où fleurissaient les jonquilles, une de ses assistantes avait l'habitude de faire passer de la musique pop sur un magnétophone à cassette.
    Coïncidence ? Mary Measures et Pearl Weinberger : elles montrent que des grains de blé exposés à un son quelconque poussent d'une note unique et forte, d'une fréquence de 5 000 hertz.
     
      Les plantes ont-elles des émotions ?
     
    En 1968, une étudiante de Denver (Colorado) allait mettre au point une étrange expérience. En effet, Dorothy Retallack devait mélanger plusieurs plantes : des graines de philodendron, de blé, de radis, de pélargonium et violettes d'Afrique, et soumettre ce mélange aux notes et fa jouées en permanence sur une bande magnétique. Après trois semaines, toutes les plantes étaient mortes... à l'exception des violettes d'Afrique, qui étaient en fleur. Un lot témoin de plantes cultivées en silence avait connu une croissance sans histoire.

    Les plantes ont-elles des émotions ?
     
    Dorothy devait continuer cette expérience avec Francis F. Broman, un de ses professeur. Ses conclusions : le rock fait pousser les plantes dans une direction inverse à la source du bruit. Cette musique les fait également pousser de façon anormale. En revanche, Bach, Haydn ou la flûte indienne  entraînent les plantes à pousser dans la direction du bruit. Enfin, la musique folk ou la musique country et western laissent les plantes indifférentes.
      
    Pour l'instant la science se contente d'enregistrer ces phénomènes étranges : s'il y a bien une relation entre les plantes et les hommes, de quelle nature est-elle vraiment ? Les plantes réagissent-elles au son de la voix humaine, qui est une certaine vibration, donc une sorte de "musique", ou bien se contentent-elles de répondre aux tensions émotionnelles des êtres humains dont elles sont les intimes ? Les deux hypothèses peuvent se concevoir.
    Le débat reste ouvert. Sans doute pour encore très longtemps. Ce qui n'empêchera pas chacun de continuer à parler à ses plantes comme à des personnes, pour les stimuler, le plus souvent avec succès.
      
                                                                                              Extrait de " Inexpliqué " 1981
     

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    Sortir de son corps

     Un jour de l'an 1226, Antoine de Padoue prêche dans une église, à Limoges. Il se souvint tout à coup qu'il avait un sermon à prononcer, à la même heure, dans une autre église.

    Le saint homme n'hésite pas. Il interrompt son prêche, se couvre la tête de son capuchon et d'agenouille en silence, comme pour prier.
    Au même moment, dans l'autre église, les prêtres le voient apparaître. Antoine de Padoue fait son sermon et, tout aussi soudainement, disparaît pour... réintégrer son corps agenouillé et reprendre son homélie ! Cette aventure n'est qu'un des nombreux exemples de désincarnation transmis par l'histoire.

    Sortir de son corps

    Qu'est au juste la désincarnation ? Il s'agit d'une expérience au cours de laquelle un sujet quitte son enveloppe charnelle et peut observer le monde extérieur depuis un lieu éloigné de son propre corps. On admet alors qu'il y a "projection astrale", ou "projection spontanée". De tels phénomènes apparaissent comme relativement fréquents, même s'ils sont encore mal définis par la science.

    Dans la plupart des cas ces désincarnations ont lieu à un moment ou on ne s'y attend pas et sont souvent produite à la suite d'un choc physique grave : opération chirurgicale, maladie ou accident de voiture ou même pendant le sommeil ou autre activité aussi banale que le shopping.
      
    D'après les témoignages, mis à part une impression immédiate de sérénité et de plénitude, la sensation générale est celle de l'état corporel ordinaire. Certains sujets ont affirmé être restés reliés à leurs corps physiques par une sorte de lien immatériel.
    Le "corps astral", bien qu'ayant le même aspect charnel, est en réalité constitué d'une matière délicate et lumineuse, capable de franchir les obstacles solides.
      
    Les références à ce corps astral abondent dans la littérature de tous les pays et de toutes les époques. D'après une étude de Dean Shiels faite en 1978, sur les 70 cultures non occidentales sur lesquelles portait son travail,
    95 % d'entre elles croyaient à la réincarnation. Une quasi-universalité tout à fait étonnante !
      
    Les premiers écrits de l'Inde mentionnent les huit siddhis (pouvoirs surnaturels) qu'un homme peut acquérir par la méditation. Le sixième siddhi permet de "voler dans le ciel".
      
    Dans de nombreuses religions orientales, on confère généralement au sorcier, le chaman, le pouvoir de quitter son corps par l’exercice de sa propre volonté et d'accompagner ainsi l'âme des défunts vers la terre des ancêtres.
    Sortir de son corps
      
    Dans l'ancienne Egypte, on croyait pouvoir entrer dans le "plan astral" par dix grilles et sept portes. Le corps astral lui-même était représenté sous la forme d'un oiseau, symbole de ce qui peut échapper aux lois de la pesanteur. De même dans la Bible, Paul parle d'un homme qui a été emporté au Paradis et s'interroge : " Était-ce dans son corps ? Était-ce hors de son corps ? Je ne sais. Dieu le sait".
      
    Dans la culture européenne, la notion de corps astral a également son histoire. Les philosophes du Moyen-Age distinguaient l'anima divina de l'anima humana, ce qui indiquerait une certaine connaissance de l'âme astrale.
    Dans son Purgatoire, Dante précise que "Après la mort, l'âme fait rayonner autour d'elle son pouvoir créatif, comme sa forme charnelle et vivante. L'air ambiant épouse la forme que l'âme lui impose."
      
    De nombreux écrivains comme Jack London ou Guy de Maupassant ont décrit leurs expériences personnelles de projection spontanée. Ernest Hemingway a également eu l'impression de quitter son corps : " Mon âme, raconte -t-il, ou quelque chose qui sortait de corps comme quand vous tirez un mouchoir de soie de votre poche, mon âme donc, se déploya autour de moi, puis revint et réintégra mon corps, mais je ne suis pas mort". 
     
     
    Sortir de son corps
    Un médecin britannique raconte :" Je voulu appeler de l'aide mais je ne pouvais pas. Je me rendis compte tout a coup que mon esprit s'était séparé de ce qui était "moi". Je réalisais peu à peu que je pouvais non seulement voir mon corps et le lit dans lequel je me trouvais mais aussi la maison et le jardin et tout ce vers quoi je dirigeais mon attention. J'évoluais, me semble-t-il dans un espace-temps différent. Lorsque mon épouse entra dans ma chambre elle eut un choc, je vis mon médecin se précipiter vers le téléphone et l'entendis dire et penser : "Il est mourant". Je ne pus lui répondre. Je fus très contrarié quand il prit une seringue et m'injecta un liquide dans le corps. Dès que mon cœur commença a battre plus fort je quittais cet état et j'en fus très fâché. La vision claire que j'avais de toute chose disparut et une faible lueur de conscience noyée dans un flot de douleur prit possession de moi...".
     
     
    Tous ceux qui ont vécu cette expérience aux portes même de la mort ont affirmé que toute peur les avait quittés.
      
    En 1964, David Taylor somnole sur le siège avant de la voiture d'un ami lorsqu'ils rentrent en collision avec un camion : " Au moment du choc, j'ai eu l'occasion d'observer la scène de plusieurs mètres de haut, comme si j'étais suspendu au-dessus de la route. Je me vis éjecté de la voiture, mon ami sortir indemne et venir me voir. Je vis aussi le camion filer. Je me souviens avoir pensé que j'assistais à un drame dans lequel je pouvais trouver la mort ".
     D'autre témoins affirment avoir eu le choix entre réintégrer leur corps ou s'en aller, donc mourir. La question reste posée : Quelle est la limite entre la vie et la mort ?
      
    Pour beaucoup de sceptiques, ces désincarnations ne sont que des illusions ou des hallucinations. C'est possible dans certains cas, mais pas toujours : même inconscients de la durée de leur "voyage", beaucoup de témoins ont décrit ce qui s'était passé autour d'eux. Quelques-uns ont même pu se déplacer dans le temps et dans l'espace, voire lire des chiffres cachés et pouvoir les répéter une fois réincarnés...
    Les témoignages abondent, tous plus troublants les uns que les autres. La sensation extra-corporelle est toujours assez forte pour que les sujets puissent s'en souvenir.
      
    Dans nos sociétés modernes, la mort reste un sujet tabou, gouverné par les carcans rigides de la médecine et de la morale. Des faits existent, qui tendent à assouplir les définitions de l'une et de l'autre. Au bout de ces interrogation, une fantastique question : qu'est-ce que la vie après la vie ?
                                                                                                                                                         Extrait de " Inexpliqué " 1981
     
     

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