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    La Cathédrale de Chartres

    Chartres, une petite ville de province restée à l'écart des grandes voies de communication, se tapis dans son ombre et ne vit plus que par sa Cathédrale.

    Depuis toujours ce site a été considéré comme sacré. Le nom même de "Chartres" trahit une origine religieuse précise, même si l'on ne s'accorde pas sur la nature de cette origine.

    Pour certains, Chartres viendrait d'un mot grec qui signifierait "noix" : la noix était un fruit sacré des anciens Celtes et elle a toujours été considérée comme un symbole remarquable d'initiation et d'ésotérisme (il faut casser la coquille pour accéder à la saveur du fruit).

    Pour d'autres, le nom dériverait du latin quercus ("chêne), à partir duquel on aurait formé Quernutes, puis Carnutes, le nom de la population gauloise, qui vivait là au moment de la conquête romaine.

    On s'est même demandé si Chartres ne tirait pas son nom du mot gaulois carns, qui était employé pour désigner les autels de pierres où nos ancêtres et leurs druides pratiquaient parfois des sacrifices humains.
    De même, quelques-uns ont voulu faire dériver Chartres du mot hébreu carnoth ("cave" ou "caverne", ce qui concorderait bien avec les nombreux souterrains qui, depuis toujours, parcourent le sous-sol de la ville.

    La Cathédrale de Chartres

    Pour Louis Carpentier, l'auteur des Mystères de la cathédrale de Chartres, une des plus célèbres études ésotériques sur la question, Chartres serait tout simplement Carnut-Is ; le lieu sacré des Carnuts, Is désignant chez les Gaulois la chose sacrée.

    On trouve donc, dès l'origine, le nom de Chartres associé à la notion de culte et plus particulièrement au culte druidique. La tradition veut que Chartres ait été le premier voire le plus important des collèges de Druides. Tout autour de la ville, d'ailleurs, on trouve encore de nombreuses localités où sont attestées des survivances de cultes païens, récupérés par le christianisme.

    La Cathédrale de Chartres

    Ce qui était extraordinaire à Chartres, c'est que, des centaines d'années avant la naissance du Christ, les Gaulois y célébraient le culte de la Virgini Pariturae, la "Vierge qui doit enfanter". Il est même possible que ce culte matrimonial, symbolisé depuis toujours par une Vierge noire, soit beaucoup plus ancien que les Celtes et remonte à la vieille tradition de la déesse mère, dont on trouve des traces dans la mémoire de tous les peuples d'Europe.
    Cette incroyable permanence de l'hommage rendu à la Virgini Pariturae pourrait expliquer la pénétration rapide et relativement facile du christianisme dans certaines régions de France, ainsi que l'attachement des fidèles français au culte de Marie...

    La Cathédrale de Chartres

    On ignore aujourd'hui le nom de cette Vierge noire, mais on peut supposer qu'il s'agissait de Belisama. Dans le panthéon gaulois, Belisama était la sœur et l'épouse de Belem, le grand dieu des Gaules et la personnification du Soleil.

    La Cathédrale de Chartres

    Comme toujours avec les Gaulois, dès qu'il est question de culte, il est question de pierre sacrée. On sait aujourd'hui que les druides et leur peuple sont étranger à l'érection des mégalithes qui subsistent encore dans toute la France. Ces pierres levées sont antérieures d'un ou deux millénaires à l'arrivée des Gaulois. Ceux-ci, pourtant, ont docilement reprit une partie des cultes qui s'y étaient attachés.

    Il est probable que les églises chrétiennes qui ont précédés la cathédrale sur le site de Chartres ont été bâtie sur un dolmen dédié à Belisama.
    Ce ne serait d'ailleurs pas la première fois qu'une cathédrale chrétienne se superposerait à une pierre sacrée païenne. En France et en Europe, de nombreux autels ont été taillés dans des dolmens.

    La Cathédrale de Chartres

    Non loin de Chartres, on peut encore voir, enchâssé dans le mur même de la cathédrale du Mans, un menhir qui a gardé jusqu’à nos jours sa réputation miraculeuse.

    A Chartres, au XVIè siècle, un témoin rapporte avoir vu "un vestige des anciens autels des idoles". Il doit toujours y être. Autre indice, en général les grottes druidiques ( sous les dolmens) abritaient des objets sacrés. L'image de la Vierge noire adorée à Chartres devait se trouver dans une telle grotte. Comme à Lourdes, le culte d'une Vierge païenne se faisait dans une grotte.

    La Cathédrale de Chartres

    Que pouvait bien être cette vierge noire ? La statue de la Vierge noire qui est vénérée aujourd'hui a été exécutée en 1857. Elle reproduit fidèlement la Madone de Notre-Dame-de-sous-Terre, brûlée en 1793.

    Si cette statue haute de "vingt huit pouces et neuf lignes", était noire, c'était, selon les uns, que les druides "voulaient montrer qu'elle était d'un pays plus ensoleillé que le nôtre". Selon les autres, le bois de poirier avait tout simplement vieilli et noirci sous l'action de la fumée des cierges et de l'encens.

    Il est probable que la statue du XIIè siècle n'avait fait que remplacer une autre statue plus ancienne de déesse mère, connue depuis l'aube des temps historiques par les habitants de la région.

    La statue actuelle conserve pourtant certaines, étrangetés. Toujours habillée de robes somptueuses, la Vierge porte un Jésus représenté comme un petit négrillon et tient dans sa main une poire, symbole traditionnel de la ....crédulité !
    En fait, elle n'est plus adorée sous le nom de Notre-Dame -de sous Terre, comme au XVIIIè siècle, mais sous le nom de Vierge au pilier.

    La Cathédrale de Chartres

    Il faut dire que ce pilier est assez exceptionnel : pendant longtemps, les fidèles sont venus lui donner de vigoureux coups de langues ou de dents, à tel point que les autorités religieuses ont dû, pour prévenir son usure, l'entourer d'une boiserie... Le coffrage s'imposait également pour des raisons d'hygiène. Cette coutume est à mettre en relation avec l'habitude de toucher les statues des dieux. On a remarqué l'usure anormale du genou d'Hercule en Sicile. On peut aujourd'hui constater qu'il en est de même sur le pied de saint Pierre à Rome.

    La Cathédrale de Chartres

    Enfin, dernier indice de l'origine druidique du culte chatrain, un puits celtique rectangulaire a été retrouvé et déblayé en 1903. Longtemps après la mort des derniers druides, ce puits était encore réputé pour ces miracles. Non content d'avoir fait de la grotte païenne un caveau, les chrétiens devaient tenter de récupérer le puits à leur profit.

    Depuis les fouille de 1903, une plaque précise : "Puits creusé avant l'ère chrétienne à l'intérieur de l'oppidum des Carnutes, associé dès longtemps au culte de la "Vierge devant enfanter", enclos à l'époque gallo-romaine dans un monument dont les vestiges subsistent sous les fondations de la cathédrale, tombeau d'un grand nombre de Chartrains massacrés par les pirates normands en 858, célèbre au XIè et XIIè siècles sous le nom de Lieu-Fort par sa réputation miraculeuse, détruit et muré vers l'an 1950"

    On notera, une fois de plus, l'analogie avec Lourdes : le culte marial antique, la grotte et l'eau miraculeuse...

    Après le dolmen, la cathédrale.
    Bien avant sa construction, elle s'enveloppe de mystères qui en font un monument unique, chargé de signification secrètes et de symboles d'un savoir depuis longtemps oublié. Chaque détail de la construction de cette cathédrale est une énigme. A moins d'admettre l'existence de fabuleuses coïncidences, il est certain que Chartres nous délivre un message.
    Lequel ? C'est tout le problème : nous avons perdu la clé du code...

    La Cathédrale de Chartres

    Un fait intrique tout d'abord : l'orientation de la cathédrale. Alors que presque toutes les églises occidentales sont dirigées vers l'est, celle-ci est orientée au Nord-est... Erreur de construction ? Ce n'est guère envisageable. Alors, volonté délibérée ? Sans doute. Reste à savoir pourquoi ?

    La Cathédrale de Chartres

    Les XIIè et XIIIè siècle ont vu l'explosion du style gothique. Chartres en est une des premières et des plus belles illustrations. Jusqu'à présent, les historiens ont négligé cette question, mais elle est troublante :pourquoi une telle explosion ?

    Cette flambée architecturale, aussi soudaine que généralisée, a pourtant de quoi intriguer. Tout s'est passé comme si une école d'architectes religieux, mais aussi de maître d'oeuvre, d'ouvriers, de sculpteur et de maître verrier s'était dispersé aux quatre coins de l'Europe. Cette dispersion ne correspond à aucun événement historique connu. Sinon aux croisades. Faut-il admettre alors, que les chrétiens ont rapporté un certain nombre de secrets de Jérusalem ?

                                                                                                                                     Extrait de " Inexpliqué 1981"


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    Les ovnis dans l'histoire

    Peintures rupestres datant de 10000 avant JC décrivant de bien curieux personnages en combinaison et scaphandre dans une grotte italienne non loin de Val Camonica en Italie du sud.

     

    Les ovnis dans l'histoire

    Les ovnis dans l'histoire

     

    Les ovnis dans l'histoire

    Peintures rupestres d'Aborigène trouvées dans des grottes à Kimberley en Australie, probablement réalisées il y a plus 5000 ans.  

    Les ovnis dans l'histoire

    Hieroglyphe du temple d'Abydos en Egypte.

    Les ovnis dans l'histoire

     

    Fresque intitulée "la crucifixion" datant de 1350. Elles sont au Kosovo dans le monastère Visoki Decani.

     

    Les ovnis dans l'histoire

     

    Peinture de Carlo Crivelli (1430 - 1495) "l'Annonce de Saint Emidius" visible à National Gallery, Londre. Un disque brillant en haut du tableau, en grossissant on peut voir des anges tourbillonnant à l'intérieur de ce nuage en forme de cercle.

     


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    Rencontre du troisième type

    Non content de survoler notre planète, les extra-terrestres y auraient même débarqué. Les témoignages de "rencontres du troisième type" abondent.
    La plupart sont des faux grossiers. Ou des hallucinations.
    Les vraies rencontres, elle, donnent froid dans le dos.

    Rencontres du troisième type

    Il faut tout d'abord préciser que l'observation de tels humanoïdes n'est pas nouvelle. On trouve, dans de nombreuses grottes préhistoriques, des gravures malhabiles mais très nettes d'ovnis en train de décoller ou d'humanoïdes présentés près de ce qui pourrait être des fusées.

    Pour les préhistoriens, ces graffiti ne pouvaient être que des représentations de sexes féminins ou des figures magiques. C'est possible, mais il faudra bien avouer un jour qu'on a souvent abusé de la sexualité comme explication des gravures rupestres préhistoriques.

    De plus, la présence physique des extra-terrestres continue à être attestées bien après l'âge des cavernes. Sans parler des étranges "vaisseaux aériens" décrits dans la Bible, on peut rappeler que de nombreux textes sacrés de l'Inde ancienne font allusion à de tels ovnis. Dans le Samarângana-Soustradhâra, on décrit même très précisément un "grand oiseau" qui fonctionne avec un "moteur au mercure".

    Dans la Chine antique, au Proche-Orient, en Grèce, à Rome, on a signalé des phénomènes de type ovni, accompagnés ou non de la présence d'humanoïdes. Plus tard au moyen-âge, d'étranges événements sont relatés par les chroniqueurs.
    La croyance la plus répandue est alors que le ciel est une sorte de mer où croiseraient des vaisseaux inconnus.

    Rencontres du troisième type

    Dans Otia Imperiala, une oeuvre dédiée à l'empereur Othon IV de Brunswich, Gervais de Tilbury rapporte l'histoire suivante :

    "Il est arrivé dans nos temps une démonstration de l'existence des mers supérieures grâce à une apparition tout à fait merveilleuse. Cela est arrivé durant un jour de fête en Grande-Bretagne, après que le peuple eut suivi la messe dans l'église et que la foule eut commencé à se disperser çà et là.


    "Le temps à ce moment-là était brumeux et de nombreux nuages obscurcissaient la journée. Soudain apparu l'ancre d'un navire qui, après avoir tourné autour d'un muret de pierres sept fois, vint s'y fixer, le filin se tendant à l'extrême et se perdant dans les airs. Les gens s'exclamèrent et quelques-uns d'entre eux en discutaient quand ils virent que le cordage était agité comme si on voulait libérer l'ancre.


    "Cependant, malgré les efforts qu'on faisait en haut, rien ne bougea et on entendit une voix venir des airs, pareille au cri des marins pour rappeler l'ancre, puis on vit un homme qui descendait le long du filin à la manière de nos marins, en changeant de main.

    "Alors qu'il était presque arrivé à dégager l'ancre, il fut saisi par les témoins au sol et passa de main en main comme on fait avec un naufragé. Suffoqué par les vapeurs de notre atmosphère humide, il expira. Mais alors, les marins d'en haut se réunirent pour parler du sort de leur camarade naufragé. Une heure après, ils coupèrent le filin et laissèrent l'encre en partant.

    "En souvenir de cet événement, on décida de fondre l'ancre et d'en faire des grilles pour la basilique, afin que chacun puisse les regarder et se souvenir"

    Ce récit est loin d'être unique dans les annales de l'Europe médiévale. On rapporte même que le roi de France en personne aurait été contacté par un "être d'une lueur éclatante, muni d'une arme jetant une lumière extraordinaire, comme celle d'une comète"

    On pourrait ainsi accumuler des milliers de récits d'apparitions d'humanoïdes. Un cas particulièrement troublant, relaté par l'inspecteur de police Liabeuf, en 1790, près d'Alençon :

    " A cinq heures du matin, quelques paysans observèrent un énorme globe qui semblait entouré de flammes. D'abord, ils pensèrent qu'il s'agissait d'une montgolfière en feu, mais sa grande vitesse et le sifflement qu'elle émettait les intriguèrent fortement.


    "Le globe descendit doucement, tourna et finit par s'écraser au sommet d'une colline en déracinant la végétation qui croissait sur ses flancs. Le soir, le globe était encore chaud et il se passa alors un événement à peine croyable. Les témoins de cet événement sont deux maires, un médecins et trois autres personnalités locales qui confirment mon rapport, sans mentionner les douzaines de paysans qui étaient présent.

    "La sphère, qui était assez grande pour contenir tout un équipage, était intacte après le vol qu'elle venait d’effectuer. Elle éveilla tellement la curiosité des gens qu'une foule vint de toutes les directions pour la voir. Alors brusquement, une porte s'ouvrit et il en sortit une personne, juste comme nous, mais habillée d'une étrange façon. Voyant cette foule, cette personne murmura quelques paroles incompréhensibles et s'enfuit dans le bois.

    "Les paysans reculèrent instinctivement et se sauvèrent, effrayés. Peu après, la sphère explosa silencieusement en envoyant des débris dans toutes les directions. Ces débris se consumèrent jusqu'à ce qu'ils soient réduits en poudre. Des recherches furent entreprises pour retrouver le mystérieux homme, mais il semblait s'être volatilisé dans l'air et, jusqu'à présent, on n'a pas découvert la moindre trace de lui."

    Communiqué à l'Académie des sciences, ce rapport a été, comme souvent, traité par le mépris et taxé de légende issue de l'imagination trop fertile des paysans. Pourtant, pendant de long mois, la marque de l'impact de l'ovni est restée bien visible au sommet de la colline : les académiciens de la fin du XVIII siècle ont tout simplement fait avorter ce qui aurait pu être la première enquête scientifique sur un atterrissage d'ovni...

    Ce type d'enquête ne commença vraiment qu'après la fameuse "vague", en 1947. On signale alors le débarquement d'humanoïdes inconnus aux quatre coins de la planète.

    Le 23 juillet de cette année, l'arpenteur José Higgins et ses compagnons de travail aperçoivent, près de San Paulo, un grand disque métallique en train d'atterrir.

    Rencontres du troisième type
    Higgins reste seul face à l'engin, d'où débarquent plusieurs créatures hautes de 2 m et vêtues de combinaisons transparentes munies de boites métalliques dans le dos. Une de ces créatures pointe un tube vers l'arpenteur, qui cherche à fuir pour éviter tout contact. Il y parvient en constatant que l'être craint le soleil.
    Ces créatures avaient de gros crânes chauves et de gros yeux ronds, ainsi que de longues jambes, mais aucun poil ni aucun sourcil sur le visage. Higgins affirme qu'ils bondissaient et qu'ils ramassaient en même temps de gros morceaux de rocher.

    Trois semaines plus tard, en Italie, le professeur Johanis aperçoit, près d'un disque métallique rouge, deux êtres qui ressemblent à des nains. Ceux-ci s'approchèrent de lui en faisant de minuscules enjambées, les mains parfaitement immobiles sur les côtes du corps, la tête comme soudée aux épaules. Plus ils avancent et plus le professeur à l'impression d'être "paralysé".
    Selon son témoignage, ces "nains" portaient une combinaison bleue transparente, avec une ceinture et un col rouge. La couleur de leur peau était d'un vert "terreux". Ils avaient en guise de bouches, des fentes qui s'ouvraient et se refermaient comme des mâchoires de poissons !

      Quelques années plus tard, deux prospecteurs américains assistent à une sorte d’atterrissage en catastrophe d'un ovni, au cœur de la Vallée de la mort, en Californie. Ils voient deux petits êtres  sortir du disque et se lancent à leur poursuite, mais ceux-ci leur échappent.

    Rencontres du troisième type

    En 1950, Wilfredo Arevalo, un fermier argentin, aperçoit dans un de ses champs un "disque d'aluminium". A l'intérieur, "quatre homme de haute stature bien bâtis, habillés de vêtements qui semblaient taillés dans de la cellophane"...

    Dès le début des années cinquante, les "petits hommes vert" sont en passe de détrôner le serpent de mer. Malgré l'ironie ou les moqueries, quelques chercheurs officiels et de nombreux enquêteurs bénévoles poursuivent pourtant leurs investigations.

    Rencontres du troisième type

    Le scandale éclate en 1953, quand George Adamski, un astronome publie un livre retentissant, les soucoupes volantes ont atterri. L'ouvrage connait un succès immédiat.
    Il prétend en avoir vu des escadres dans son télescope.
    Mieux : il finit par affirmer avoir été contacté par des extra-terrestres.
    Bien entendu, tout cela n'était qu'une excellente farce.

    Rencontres du troisième type

    En France, le champion des "messies" délégués jusqu'à nous par les extra-terrestres est incontestablement Claude Vorilhon, "Raël" pour les initiés. En 1973, il affirme avoir eu un contact prolongé avec un extra-terrestre, suivi en 1975, d'une invitation à dîner, quelque part dans l'espace. On ne connait pas le menu, mais on sait cependant que Raël avait Mahomet à sa droite, Jésus-Christ à sa gauche et Moïse en face de lui...

    Bien évidemment, après un tel repas, Raël ne pouvait que "prêcher" la soumission aux extra-terrestres et organiser une collecte de fond destinés à leur assurer un centre d’accueil décent. Bien entendu, il se chargeait de veiller sur le centre d’accueil, une belle maison construite avec l'argent de ses disciples.

    Comment trier le vrai du faux dans le fatras des témoignages plus ou moins arrangés et des tentatives pour abuser de la crédulité du public ? C'est très difficile.

    En fait, les autorités ne prennent plus en considération que les cas "certifiés authentiques" par un rapport de police ou de gendarmerie.
    Contrairement à ce que pouvaient espérer les sceptiques, ces cas sont nombreux. Et d'autant plus troublants qu'ils sont relatés par des hommes réputés pour leur calme et leur honnêteté intellectuelle.

    Même en France, on a relevé des traces de passage d'un ovni habité. Ailleurs, à travers le monde, on a signalé l'enlèvement d'êtres humains par de mystérieux extra-terrestres. Plus les années passent, plus ceux qui sont chargés de recherches officielles sur les rencontres du troisième type cherchent à rompre le mur du secret.
    Car secret il y a...

                                                                                                                  Extrait de " Inexpliqué 1981"

      


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  • Apparitions et disparitions

    1125, en Allemagne, on voit un personnage qui parle une langue totalement inconnue. Par-dessus le marché, il crache du feu, et suffisamment pour le communiquer à des bouleaux dans une forêt. Des milliers de témoins le voient.

    Les cas de de disparitions se compte par dizaine de milliers, rien qu'au XIXème et au XXème siècle.
    Non seulement des hommes, des femmes et des enfants, mais encore des navires, des sous-marins et des avions disparaissent.

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    Le 22 août 1967, un jeune américain de 19 ans disparaît dans le New Jersey. Il était parti sur la plage en maillot de bain pour mettre des pièces de monnaie dans un paramètre. On le retrouve à Newark le 24 octobre 1967, assis à un arrêt d'autobus. Il ne se souvient de rien. Il a des vêtements qui ne lui vont pas, et sept cents dans sa poche. Il ne comprend pas ce qui lui est arrivé.
    Son amie E., avec qui il était sur la plage et qui était folle d'anxiété lorsqu'elle retrouva sa voiture fermée à clé, avait alerté sa famille. Celle-ci l'a fait rechercher. C'est un rouquin flamboyant très reconnaissable. Personne ne l'a reconnu dans tous les lieux où on l'a recherché. Où était-il ? On ne le sait pas.

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    Un habitant de Londres se retrouve soudainement en Afrique du Sud.
    Une jeune fille de Cleveland, se retrouve soudain en Australie.
    Un laitier suédois en chômage se retrouve soudain sur un terrain de golf dans une île de la Méditerranée, réservée aux gens très riches.
    En août 1966, un policeman de Philadelphie appelé Chester Archey disparaît. Il se retrouve au volant de sa voiture dans un petit pays appelé Pennsauken, New Jersey. Il ne se souvient de rien et, affolé, il cause un accident de voiture.

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    En mai 1968, le docteur Gérardo Vidal et sa femme se trouvent pris dans un épais brouillard, extrêmement rare dans la banlieue de la ville. Ils perdent connaissance. Lorsqu'ils la reprennent, leurs montres sont arrêtées, la surface de leur voiture a été fortement écorchée et ils sont sur une route inconnue. Lorsqu'ils arrivent au village le plus proche, ils constatent à leur grand ahurissement que 48 h se sont écoulées et, chose la plus extraordinaire, ils sont au Mexique !
    Comment ont-ils franchi des milliers de kilomètres comprenant des frontières ? Ils n'y comprennent rien, ni d'ailleurs personne.

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                                  Extraits de " Visa pour une autre Terre " de Jacques Bergier

     


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  • Chesterton

      

    La vérité doit forcément être plus étrange que la fiction car la fiction n'est qu'une création de l'esprit humain, et par conséquent, est à sa mesure.

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    Chesterton disait très justement qu'il voulait bien admettre des violations des lois inconnues, puisque par définition il les ignorait, mais qu'il était très sceptique sur la violation des lois qu'il connaissait.
    Il disait :

    " Si on me dit que Gladstone à son lit de mort était hanté par le fantôme de Disraeli, je l'admettrai bien volontiers : ce sont là des lois inconnues. Mais si vous me dites que Gladstone reçu dans sa chambre par la reine Victoria, avait le cigare à la bouche et a craché par terre, je ne le crois pas un instant. Parce que cela viole les lois que je connais bien. "

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