• Découverte impossible

    Elle est datée d'avant 87 av. J.-C. et c'est le plus vieux mécanisme à engrenages connu. Les fragments retrouvés sont conservés au Musée national archéologique d'Athènes. On considère que la découverte de la machine d'Anticythère à proprement parler date du 17 mai 1902 quand l'archéologue Valerios Stais  s'aperçut qu'un morceau de pierre rapporté du site recelait des inscriptions et des engrenages incrustés. Un examen révéla qu'en fait de pierre, il s'agissait d'un mécanisme rouillé, dont il restait trois morceaux importants et 82 fragments plus petits.

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    Pour la pile électrique, on peut supposer que s'ils connaissaient l'électricité, pourquoi n'auraient-ils pas connu la lumière électrique ? René Noorbergen explique dans son livre "Les secrets des races disparues" que les tombeaux des pharaons égyptiens, dans la Vallée des Rois et sous les pyramides, ne présentent aucune trace de fumée et de suie, qui normalement, auraient dû être produites en grandes quantités par les lampes à huile ou les bougies des artistes et des ouvriers qui les ont décorés. Il n'hésite pas à avancer l'hypothèse qu'ils disposaient d'une sorte d'éclairage primitif. D'autres découvertes stupéfiantes nous font revoir nos idées reçues sur le développement de la civilisation à travers l'histoire.........

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     ‎1880, un chercheur du Texas s'en alla chercher du charbon dans une mine. Le chargement était extrait à environ 45 m de l’entrée de la mine et 90 m sous la surface. Trop gros pour entrer dans son fourneau, il en cassa quelques-uns et de l'un de ses blocs tomba un....dé à coudre en fer. La ressemblance était étonnante et devint célèbre sous le nom de "dé à coudre d’Ève". Il présentait des dentelures comme les dés à coudre modernes, et un léger renflement a la base. D’où venait ce dé à coudre ? Même si les indiens d'Amérique se servaient de dé en fer identique dans les siècles passés, le mystère reste entier car le charbon d’où provenait l'objet s'était formé entre le crétacé et le tertiaire, il y a environ 70 millions d'années ou l'humanité n'existait pas encore. 1844, dans une carrière en Écosse, alors qu'on la nettoyait pour la débarrasser d'une couche d'argile qui y adhérait, un clou en fer rouillé apparut. La pointe du clou était fichée dans l'argile sur 1,2 cm. On estima que le rocher contenant le clou s'était formé 60 millions d'années plus tôt. 1852 dans le Massachusetts, on trouva 2 fragments d'un objet en métal qui formèrent une sorte de cloche haute de 11 cm et 16 cm à la base et décorée. Elle semblait faite d'un alliage contenant de l'argent. Elle provenait d'un bloc de pierre massif, situé à 4,50m de profondeur.... L'écrivain René Noorbergen signale des cas d'objets en or retrouvé dans des endroits....impossible tel une chaîne en or trouvée dans une carrière anglaise en 1891 dans un granit formé plusieurs millions d'années auparavant ! Mais il y a plus étonnant encore.....

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    En 1967, des ossements humains et une tête de flèche en cuivre longue de 10 cm ont été trouvés dans une mine du Colorado, dans un filon d'argent vieux de plusieurs millions d'années et beaucoup plus ancien que l'humanité..... En 1976, la "Société de recherche sur la création", fondée aux USA, publie dans son journal une découverte étonnante d'une cuillère trouvée dans un bloc de charbon en 1937. Lors de la combustion d'un gros morceau de charbon, les cendre une fois remué, révélèrent la cuillère. Le plus étonnant est ce crane qui met en évidence une blessure infligée a un être humain a un autre il y a des milliers d'années. Il se trouve au musée d'histoire et appartient au type de "l'homme de Neanderthal" et trouvé en 1921. Sur le côté gauche du crane il y a un trou rond et lisse . La propreté de la blessure suggère un projectile lancé a une très grande vitesse (comme une balle) et exactement à l'opposé de cette blessure, le crane est fracassé, comme si le projectile était ressorti du crane par ce côté. Plusieurs cas semblables ont pu être observés........

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    Le crâne d'un aurochs, une espèce éteinte de bœuf sauvage a été retrouvé en URSS et présentait un trou lisse, de forme arrondie, ressemblant à une blessure par balle. L'animal avait vécu plusieurs années après avoir reçu cette blessure. Ces cranes suggèrent que les hommes disposaient, il y a des millénaires, d'armes plus sophistiquées que des haches en silex. Plusieurs personnes présentant ce genre de blessure ont survécu pendant de nombreuses années. Des opérations chirurgicales du cerveau et même des opérations a cœur ouvert ont-elles été réalisées il y a plus de 4 000 ans ?


    En Arménie, des squelettes datant de 2 000 ans avant J-C ont été découvert. Dans l'un des crânes de femme, un trou d'environ 6 cm a été produit par quelque blessure. Les chirurgiens d'alors, ont inséré dans ce trou une petite cheville en os d'animale, qui est restée en place, et la femme a survécu, car son os crânien a grandi partiellement autour de la cheville.


    Sur un autre crâne, une blessure plus importante a été provoquée par un coup. Les chirurgiens ont retiré une partie du crâne autour de la blessure, afin d'extraire les esquilles du cerveau. L'opéré a lui aussi survécu de nombreuses années encore.


    Le professeur Andronik Jagharian, qui a étudié les crânes fit ce commentaire : "En tenant compte des instruments anciens dont disposaient ces médecins pour opérer leurs malades, je dirai qu'ils étaient "techniquement supérieur" aux chirurgiens d'aujourd'hui."

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    Pour terminer temporairement avec ce sujet, on peut citer en exemple des crânes très anciens, venant d'Asie centrale et présentant des traces d'opération crânienne et opération chirurgicale des côtes. René Noorbergen, est convaincu que ces civilisations étaient en contact avec des cultures beaucoup plus développées techniquement. Il estime a juste titre que les cultures d'ou provenaient les squelettes n'ont pas pu développer ces techniques elles-mêmes. Il poursuit en décrivant des statuettes de pierre ou des sculptures découvertes dans les Andes ou certaines semblent montrer des opérations chirurgicales réalisées sur le coeur et le cerveau, des accouchements par césarienne et des "malades opérés, reliés par un ensemble de tubes compliqués à des systèmes de réanimation.


    Un chirurgien américain décrit : " Sur les photographies de sculptures représentant une opération du cœur, les détails sont parfaitement clairs....Les sept vaisseaux sanguins venant du cœur sont fidèlement représentés. L'ensemble évoque une opération cardiaque... "
    Les preuves indiscutables de l'existence de "super-race", qui auraient été autrefois à l'origine de ces techniques chirurgicales préhistoriques manquent.

    Et pourtant il existe des objets de fabrication humaine déconcertante comme ces outils en silex que l'on appelle "silex pygméens" : il s'agit de minuscules silex faisant moins de 6mm, une loupe est nécessaire pour découvrir le travail réalisé : "Quelles mains, quels yeux ces faiseurs de silex préhistorique devaient avoir pour façonner des outils si délicats... Des artisans de premier ordre."


    A quoi pouvaient donc servir des outils minuscules pour quelqu'un qui aurait une taille normale ? Si l'on admet que le Déluge ou une autre grande catastrophe géologique à bouleversé les "archives" géologiques, alors il y a peut-être une place pour ces peuples technologiquement supérieurs qui utilisaient des armes à feu, il y a des millénaires...et pour cette Ève qui perdit son dé à coudre, voici 70 millions d'années.

                                                              Extrait de " Inexpliqué " 1981
     


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    Les boules de feu

    ‎16 juin 1960 dans le ciel du Nevada, un avion-tanker effectue une mission de routine et traverse une couche de nuages : altitude 5 550 m. Le pilote se concentre sur ses instruments de vol. Soudain, une " boule de feu " jaune blanc grosse d'une cinquantaine de centimètres, entre silencieusement dans l'appareil en traversant le pare-brise Elle passe ensuite entre le siège du pilote et celui du copilote, dépasse le navigateur et le mécanicien et s'engouffre dans la carlingue.
      
    Immédiatement le pilote pense à un éclair. Il a déjà été touché deux fois par ceux-ci et il sait qu'une explosion est imminente.  Stupéfaction générale interrompue par la voix excitée du mécanicien de soute qui dit avoir vu une boule de feu a traversé  en roulant la soute à carburant et est sortie sur l'aile droite avant de disparaître dans la nuit. 
     

    Les boules de feu

     
    Ce compte rendu d'une apparition de boule de feu est remarquable par sa précision autant que par la qualité des témoins. Face à un tel phénomène, la science reste muette. Quand elle ne met pas tout simplement en doute la réalité des boules de feu : pour de nombreux scientifiques, " ce qui ne pas s'expliquer n'existe pas... "
     
    Et pourtant, c'est par de tels raisonnements que, pendant des années, la chute de météorites sur la Terre a été considérée comme le fruit de vieilles superstitions paysannes. On allait même jusqu'à faire disparaître les " pierres tombées du ciel " que les témoins pouvaient ramasser. Il faudra des siècles pour faire admettre leur existence.
     

    Les boules de feu

     
     
    En 1880, un grand nombre de ces boules apparaissent en France, après une série de tornades. La discussion éclate à l'académie des sciences. Les témoignages abondent : les boules de feu sont entrées dans les maisons par la cheminée et elles ont fait des trous ronds dans les fenêtres en repartant. Pour les académiciens, il ne peut s'agir que d'illusions d'optique.
     
    Les boules de feu sont pourtant dignes de quitter le secret des témoignages de sorcellerie pour être livrées à l'investigation scientifique.
    Elles posent aux chercheurs une énigme redoutable dont la solution devrait déboucher sur une meilleure compréhension des phénomènes électromagnétiques terrestres 
     

    Les boules de feu

     
    En 1967, le chimiste russe M.T. Dimitriev campe sur les rives du fleuve Onega, en Sibérie. Il voit soudain un éclair de lumière. Au-dessus de l'eau, une boule apparaît. Ce jour-là un peu de vent souffle. La boule de feu n'y est pas sensible : elle plane doucement au-dessus de la surface du fleuve. Le chimiste l'entend craquer et siffler. Puis elle passe au-dessus de sa tête et revient vers la rive, où elle paraît se fixer pendant une trentaine de secondes. Elle disparaît enfin en rebondissant comme une boule de billard, crachant d'arbre en arbre des étincelles et laissant derrière elle une traînée de fumée bleuâtre.
     
     Généralement, elles surviennent après un orage ou après des éclairs. Leur forme est plutôt sphérique, mais, parfois, en forme de poire. Leurs grosseurs est variable : de  10 cm à 1 m selon les témoignages. Leur éclat est toujours très intense. Leur couleur passe du rouge au jaune-blanc très pâle.
     
    Elles apparaissent aux témoins pendant un laps de temps qui varie de une seconde à une minute et disparaissent soit silencieusement soit avec une petite explosion qui impressionne toujours les témoins.

    Les boules de feu
     
    Un des plus célèbres témoignages sur l'apparition d'une boule de feu a été fait en 1936, par un correspondant du Daily Mail britannique. Pendant un orage, il a vu une boule rouge incandescente, de la taille d'une orange, descendre du ciel pour venir toucher sa maison, couper les fils du téléphone, brûler le montant des fenêtres et finir par disparaître dans un baquet d'eau...  L'eau du baquet est d'ailleurs immédiatement entrée en ébullition : une fois refroidie, l'eau ne cachait plus rien !
     
    Sur la fréquence du phénomène, une enquête de la N.A.S.A auprès de quatre mille de ses employés a donné des résultats stupéfiants : un très grand nombre d'entre eux en avaient vu. On s'accorde aujourd'hui à penser que les boules de feu sont à peu près aussi fréquentes que les grands éclats d'orage.
     
    D'après un témoignage, on a noté qu'une boule de feu grosse d'une soixantaine de centimètres a creusé une tranchée longue de 90 m et profonde de 1 m dans un terrain meuble situé près d'une rivière.
    La même boule a ensuite entamé le lit d'une rivière sur près de 20 m...
    Normalement, pour accomplir un tel travail, il faudrait développer une puissance colossale.
     
    De tel exemple ont incité certains chercheurs à parler de " réaction atomique " à propos des boules de feu. Aucune radioactivité ne s'est pourtant manifestée après de tel phénomènes.
     

    Les boules de feu

     
    Une autre apparition toujours aussi caractéristique, le 8 août 1975, en Angleterre, après un violent orage, une ménagère voit une boule de feu s'engouffrer dans sa cuisine, planer au-dessus de sa tête en émettant un bruit bizarre, et fondre sur elle sans qu'elle puisse l'éviter. Elle a expliqué
    " La boule a semblé me toucher au-dessus de la ceinture et je l'ai écartée d'un geste automatique. Là où j'ai été en contact avec elle, ma peau a rougi et enflé. J'avais l'impression que mon alliance brûlait mon doigt. "
    La boule a finalement disparu en explosant, brûlant d'éclats minuscules la jupe de la ménagère.

     A phénomène étrange, hypothèse encore plus étrange : pour plusieurs chercheurs, les boules de feu seraient dues à de minuscules particules d'antimatière , qui proviendraient de météorites dissoutes dans la haute atmosphère. Les orages feraient en quelque sorte, fonction d'aspirateurs géants qui "avaleraient" les particules et les poussières d'antimatière. Au contact de la matière ordinaire, l'antimatière se détruirait en libérant une énergie inconnue : les boules de feu.....

     Une des théories récentes du modèle chimique explique que, puisque les boules de feu apparaissent en général pendant un violent orage, un impact de foudre a lieu. En frappant le sol, il vaporise des particules de silicium en train de brûler, d’oxygène et de carbone qui s’associe entre elles pour former de longues chaines. Ces filaments qui brûlent lentement ont tendance à se replier sur eux-mêmes pour former des boules. Celles-ci peuvent alors former une sphère qui va lentement s’oxyder à l’air.


    Les boules de feu

    Au VIè siècle, le jour de la consécration d'une nouvelle chapelle par Grégoire de Tours, une boule de feu a semé la panique parmi les fidèles en procession autour du monument. Prudent, Grégoire de Tours a décidé qu'il s'agissait d'un " miracle " envoyé par Dieu pour mieux bénir l'église...

    Aujourd'hui, de nombreux miracles ont été expliqué par la science. Pas tous cependant : les boules de feu attendent encore la théorie qui rendra rationnellement compte des raisons de leur mystérieuse existence.

    Témoignages :

    Dédée Di Cioccio-Geoffray Quand j'étais enfant, un soir d'août, il faisait très chaud et l'orage grondait, la fenêtre de la pièce où nous dînions était grande ouverte. Une boule de feu de la grosseur d'une orange est entrée, a fait le tour de la pièce et, heureusement, est ressortie. Nous avons tous crié en la voyant et ça nous a marqués à vie. On en parle d'ailleurs très souvent...

    Marie Fontaine J'ai été témoin, avec tous les membres de ma petite famille, d'un tel phénomène, il y a quelques années. La boule n'est pas entrée dans la maison, elle est tombée dans la rue à quelques mètres à peine de nous. Nous étions en train de regarder par les fenêtres un orage qui approchait... Le bruit et la violente luminosité nous ont tétanisés pendant quelques secondes, on s'en souviendra toujours. Quasiment tous nos appareils électriques (télé, ordinateur, radio, système hi-fi...) ont lâché à la suite de ce phénomène.

                                                                                Extrait de " Inexpliqué " 1981

     

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    La fin du dirigeable Hindenburg

    Beauvais, le Nord de la France, Eugène Rabouille, un braconnier de 57 ans est en train de poser ses collets. Il entend soudain de curieux bruit dans le ciel. En levant la tête, il aperçoit un grand objet, brillamment éclairé qui tombe du ciel vers la Terre. L'objet se rapproche de lui tandis que les vacarmes des moteurs lui déchirent les oreilles. Paralysé de peur, il voit le géant du ciel piquer du nez. En un instant la colline s'embrase et est rejetée au sol par une terrible explosion. Quand il relève la tête il entend de sinistre hurlement à travers les flammes. Il voit même des silhouettes se débattre et tenter de s'échapper des flammes. C'était le 5 octobre 1930 vers 2 h du matin. Le dirigeable britannique R 101, avec ses 48 passagers et hommes d'équipage venait de disparaître. Cet accident sera l'occasion de très curieuses manifestations paranormales.

    La fin du dirigeable R 101

    Le public apprendra la nouvelle par les journaux du matin : " Le R 101 a explosé. Il y a 6 survivants " titrent-ils. On fait tout de suite le rapprochement avec le Titanic. Des 2 côtés de la Manche le public sera véritablement traumatisé par cet accident. Comment cela a-t-il pu arriver ? Qui est responsable ? Une commission d'enquête est organisée mais les témoignages font défaut car les 6 survivants étaient à l'arrière et n’ont rien vu. On conclut à une soudaine perte de gaz. Un témoignage va cependant perturber cette affaire classée et dont la commission d'enquête a négligé et qui aurait changé le regard des enquêteurs sur cette affaire, un témoignage d'une nature peu ordinaire : celui du capitaine du R 101, lui-même décédé à son poste au cours de la catastrophe. Témoignage recueilli lors d'une séance de spiritisme organisée par Harry Price avec le médium Eileen Garrett. Mais le capitaine ne sera pas le seul à parler. D'autres victimes voudront aussi la justice.

    La fin du dirigeable R 101

    Le témoignage du capitaine est troublant : " La masse total du dirigeable était bien trop grande pour la capacité des moteurs. Les moteurs étaient bien trop lourds". On tente de comprendre le flot de vocabulaire technique qui sort de la bouche du médium :

     " Force ascensionnelle totale mal calculé...il faut en informer le jury...Gouvernails enrayés....Conduites d'huiles bouchées...Système extravagant de carbone et d'hydrogène complètement stupide..." Il continue son témoignage de capitaine : " Essais bien trop court...Équipage insuffisant...Mauvaise injection du carburant. La pompe n'a pas tenu....Mauvais temps pour un long vol. L'eau stagne dessus. On penche vers l'avant. Impossible de se redresser. Impossible de s'élever...On a failli toucher les toits à Achy....Beaucoup trop lourd....Cinq faux départ...Tout était beaucoup trop lourd pour les moteurs...."

    Le témoignage du capitaine est troublant et accusateur. D'autres personnes décédées lors de la catastrophe viendront aussi raconter les manquements des spécialistes. Ces témoignages auront naturellement des partisans et des contradicteurs. Sont-ils réels ? Le médium n'a-t-il pas été influencé par une source extérieure ? Les détails donnés sont troublants et vérifiables. Les esprits se sont-ils mobilisés afin de faire éclater la vérité ? Encore un témoignage et ensuite une petite analyse de ceux-ci.....

    La fin du dirigeable R 101

     Bien entendu il faut prendre tout cela avec une extrême précaution. la grande majorité des médiums sont des escrocs et des manipulateurs. Eileen J. Garrett a une bonne réputation et a toujours été considérée comme un médium des plus intègre. Elle a créé la fondation parapsychologie à New York et s'occupe de l'étude scientifique des phénomènes paranormaux. Plusieurs de ces informations ne semblent avoir été connue que du capitaine tels " les toits d'Achy " dont on ne trouve l'emplacement de ce village sur aucune carte hormis celle très détaillée du capitaine. Aucune des personnes présente lors de ces séances n'avait de connaissance dans la mécanique aéronautique. Tout cela viendrait-il du subconscient d' Eileen J. Garrett ? Au cours des mois qui avaient précédé le lancement du dirigeable la presse avait abondamment commenté tous les détails de l'opération en donnant un nombre considérable d'informations, qui auraient pu s'imprimer dans l'inconscient du médium. Les victimes réclamèrent-elles justice par l'intermédiaire d' Eileen J. Garrett ? Aujourd'hui le mystère plane toujours autour de la chute et de l'incendie du
    R 101. Les images de la vidéo sont terribles.

    La fin du dirigeable R 101

     

      Extrait de " Inexpliqué " 1981 


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