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Par giova35 le 27 Décembre 2011 à 09:3016 juin 1960 dans le ciel du Nevada, un avion-tanker effectue une mission de routine et traverse une couche de nuages : altitude 5 550 m. Le pilote se concentre sur ses instruments de vol. Soudain, une " boule de feu " jaune blanc grosse d'une cinquantaine de centimètres, entre silencieusement dans l'appareil en traversant le pare-brise Elle passe ensuite entre le siège du pilote et celui du copilote, dépasse le navigateur et le mécanicien et s'engouffre dans la carlingue.Immédiatement le pilote pense à un éclair. Il a déjà été touché deux fois par ceux-ci et il sait qu'une explosion est imminente. Stupéfaction générale interrompue par la voix excitée du mécanicien de soute qui dit avoir vu une boule de feu a traversé en roulant la soute à carburant et est sortie sur l'aile droite avant de disparaître dans la nuit.Ce compte rendu d'une apparition de boule de feu est remarquable par sa précision autant que par la qualité des témoins. Face à un tel phénomène, la science reste muette. Quand elle ne met pas tout simplement en doute la réalité des boules de feu : pour de nombreux scientifiques, " ce qui ne pas s'expliquer n'existe pas... "Et pourtant, c'est par de tels raisonnements que, pendant des années, la chute de météorites sur la Terre a été considérée comme le fruit de vieilles superstitions paysannes. On allait même jusqu'à faire disparaître les " pierres tombées du ciel " que les témoins pouvaient ramasser. Il faudra des siècles pour faire admettre leur existence.En 1880, un grand nombre de ces boules apparaissent en France, après une série de tornades. La discussion éclate à l'académie des sciences. Les témoignages abondent : les boules de feu sont entrées dans les maisons par la cheminée et elles ont fait des trous ronds dans les fenêtres en repartant. Pour les académiciens, il ne peut s'agir que d'illusions d'optique.Les boules de feu sont pourtant dignes de quitter le secret des témoignages de sorcellerie pour être livrées à l'investigation scientifique.Elles posent aux chercheurs une énigme redoutable dont la solution devrait déboucher sur une meilleure compréhension des phénomènes électromagnétiques terrestresEn 1967, le chimiste russe M.T. Dimitriev campe sur les rives du fleuve Onega, en Sibérie. Il voit soudain un éclair de lumière. Au-dessus de l'eau, une boule apparaît. Ce jour-là un peu de vent souffle. La boule de feu n'y est pas sensible : elle plane doucement au-dessus de la surface du fleuve. Le chimiste l'entend craquer et siffler. Puis elle passe au-dessus de sa tête et revient vers la rive, où elle paraît se fixer pendant une trentaine de secondes. Elle disparaît enfin en rebondissant comme une boule de billard, crachant d'arbre en arbre des étincelles et laissant derrière elle une traînée de fumée bleuâtre.Généralement, elles surviennent après un orage ou après des éclairs. Leur forme est plutôt sphérique, mais, parfois, en forme de poire. Leurs grosseurs est variable : de 10 cm à 1 m selon les témoignages. Leur éclat est toujours très intense. Leur couleur passe du rouge au jaune-blanc très pâle.Elles apparaissent aux témoins pendant un laps de temps qui varie de une seconde à une minute et disparaissent soit silencieusement soit avec une petite explosion qui impressionne toujours les témoins.Un des plus célèbres témoignages sur l'apparition d'une boule de feu a été fait en 1936, par un correspondant du Daily Mail britannique. Pendant un orage, il a vu une boule rouge incandescente, de la taille d'une orange, descendre du ciel pour venir toucher sa maison, couper les fils du téléphone, brûler le montant des fenêtres et finir par disparaître dans un baquet d'eau... L'eau du baquet est d'ailleurs immédiatement entrée en ébullition : une fois refroidie, l'eau ne cachait plus rien !Sur la fréquence du phénomène, une enquête de la N.A.S.A auprès de quatre mille de ses employés a donné des résultats stupéfiants : un très grand nombre d'entre eux en avaient vu. On s'accorde aujourd'hui à penser que les boules de feu sont à peu près aussi fréquentes que les grands éclats d'orage.D'après un témoignage, on a noté qu'une boule de feu grosse d'une soixantaine de centimètres a creusé une tranchée longue de 90 m et profonde de 1 m dans un terrain meuble situé près d'une rivière.
La même boule a ensuite entamé le lit d'une rivière sur près de 20 m...
Normalement, pour accomplir un tel travail, il faudrait développer une puissance colossale.De tel exemple ont incité certains chercheurs à parler de " réaction atomique " à propos des boules de feu. Aucune radioactivité ne s'est pourtant manifestée après de tel phénomènes.Une autre apparition toujours aussi caractéristique, le 8 août 1975, en Angleterre, après un violent orage, une ménagère voit une boule de feu s'engouffrer dans sa cuisine, planer au-dessus de sa tête en émettant un bruit bizarre, et fondre sur elle sans qu'elle puisse l'éviter. Elle a expliqué
" La boule a semblé me toucher au-dessus de la ceinture et je l'ai écartée d'un geste automatique. Là où j'ai été en contact avec elle, ma peau a rougi et enflé. J'avais l'impression que mon alliance brûlait mon doigt. "
La boule a finalement disparu en explosant, brûlant d'éclats minuscules la jupe de la ménagère.A phénomène étrange, hypothèse encore plus étrange : pour plusieurs chercheurs, les boules de feu seraient dues à de minuscules particules d'antimatière , qui proviendraient de météorites dissoutes dans la haute atmosphère. Les orages feraient en quelque sorte, fonction d'aspirateurs géants qui "avaleraient" les particules et les poussières d'antimatière. Au contact de la matière ordinaire, l'antimatière se détruirait en libérant une énergie inconnue : les boules de feu.....
Une des théories récentes du modèle chimique explique que, puisque les boules de feu apparaissent en général pendant un violent orage, un impact de foudre a lieu. En frappant le sol, il vaporise des particules de silicium en train de brûler, d’oxygène et de carbone qui s’associe entre elles pour former de longues chaines. Ces filaments qui brûlent lentement ont tendance à se replier sur eux-mêmes pour former des boules. Celles-ci peuvent alors former une sphère qui va lentement s’oxyder à l’air.
Au VIè siècle, le jour de la consécration d'une nouvelle chapelle par Grégoire de Tours, une boule de feu a semé la panique parmi les fidèles en procession autour du monument. Prudent, Grégoire de Tours a décidé qu'il s'agissait d'un " miracle " envoyé par Dieu pour mieux bénir l'église...
Aujourd'hui, de nombreux miracles ont été expliqué par la science. Pas tous cependant : les boules de feu attendent encore la théorie qui rendra rationnellement compte des raisons de leur mystérieuse existence.
Témoignages :
Dédée Di Cioccio-Geoffray Quand j'étais enfant, un soir d'août, il faisait très chaud et l'orage grondait, la fenêtre de la pièce où nous dînions était grande ouverte. Une boule de feu de la grosseur d'une orange est entrée, a fait le tour de la pièce et, heureusement, est ressortie. Nous avons tous crié en la voyant et ça nous a marqués à vie. On en parle d'ailleurs très souvent...
Marie Fontaine J'ai été témoin, avec tous les membres de ma petite famille, d'un tel phénomène, il y a quelques années. La boule n'est pas entrée dans la maison, elle est tombée dans la rue à quelques mètres à peine de nous. Nous étions en train de regarder par les fenêtres un orage qui approchait... Le bruit et la violente luminosité nous ont tétanisés pendant quelques secondes, on s'en souviendra toujours. Quasiment tous nos appareils électriques (télé, ordinateur, radio, système hi-fi...) ont lâché à la suite de ce phénomène.
Extrait de " Inexpliqué " 1981
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Par giova35 le 27 Décembre 2011 à 09:23
Beauvais, le Nord de la France, Eugène Rabouille, un braconnier de 57 ans est en train de poser ses collets. Il entend soudain de curieux bruit dans le ciel. En levant la tête, il aperçoit un grand objet, brillamment éclairé qui tombe du ciel vers la Terre. L'objet se rapproche de lui tandis que les vacarmes des moteurs lui déchirent les oreilles. Paralysé de peur, il voit le géant du ciel piquer du nez. En un instant la colline s'embrase et est rejetée au sol par une terrible explosion. Quand il relève la tête il entend de sinistre hurlement à travers les flammes. Il voit même des silhouettes se débattre et tenter de s'échapper des flammes. C'était le 5 octobre 1930 vers 2 h du matin. Le dirigeable britannique R 101, avec ses 48 passagers et hommes d'équipage venait de disparaître. Cet accident sera l'occasion de très curieuses manifestations paranormales.
Le public apprendra la nouvelle par les journaux du matin : " Le R 101 a explosé. Il y a 6 survivants " titrent-ils. On fait tout de suite le rapprochement avec le Titanic. Des 2 côtés de la Manche le public sera véritablement traumatisé par cet accident. Comment cela a-t-il pu arriver ? Qui est responsable ? Une commission d'enquête est organisée mais les témoignages font défaut car les 6 survivants étaient à l'arrière et n’ont rien vu. On conclut à une soudaine perte de gaz. Un témoignage va cependant perturber cette affaire classée et dont la commission d'enquête a négligé et qui aurait changé le regard des enquêteurs sur cette affaire, un témoignage d'une nature peu ordinaire : celui du capitaine du R 101, lui-même décédé à son poste au cours de la catastrophe. Témoignage recueilli lors d'une séance de spiritisme organisée par Harry Price avec le médium Eileen Garrett. Mais le capitaine ne sera pas le seul à parler. D'autres victimes voudront aussi la justice.
Le témoignage du capitaine est troublant : " La masse total du dirigeable était bien trop grande pour la capacité des moteurs. Les moteurs étaient bien trop lourds". On tente de comprendre le flot de vocabulaire technique qui sort de la bouche du médium :
" Force ascensionnelle totale mal calculé...il faut en informer le jury...Gouvernails enrayés....Conduites d'huiles bouchées...Système extravagant de carbone et d'hydrogène complètement stupide..." Il continue son témoignage de capitaine : " Essais bien trop court...Équipage insuffisant...Mauvaise injection du carburant. La pompe n'a pas tenu....Mauvais temps pour un long vol. L'eau stagne dessus. On penche vers l'avant. Impossible de se redresser. Impossible de s'élever...On a failli toucher les toits à Achy....Beaucoup trop lourd....Cinq faux départ...Tout était beaucoup trop lourd pour les moteurs...."
Le témoignage du capitaine est troublant et accusateur. D'autres personnes décédées lors de la catastrophe viendront aussi raconter les manquements des spécialistes. Ces témoignages auront naturellement des partisans et des contradicteurs. Sont-ils réels ? Le médium n'a-t-il pas été influencé par une source extérieure ? Les détails donnés sont troublants et vérifiables. Les esprits se sont-ils mobilisés afin de faire éclater la vérité ? Encore un témoignage et ensuite une petite analyse de ceux-ci.....
Bien entendu il faut prendre tout cela avec une extrême précaution. la grande majorité des médiums sont des escrocs et des manipulateurs. Eileen J. Garrett a une bonne réputation et a toujours été considérée comme un médium des plus intègre. Elle a créé la fondation parapsychologie à New York et s'occupe de l'étude scientifique des phénomènes paranormaux. Plusieurs de ces informations ne semblent avoir été connue que du capitaine tels " les toits d'Achy " dont on ne trouve l'emplacement de ce village sur aucune carte hormis celle très détaillée du capitaine. Aucune des personnes présente lors de ces séances n'avait de connaissance dans la mécanique aéronautique. Tout cela viendrait-il du subconscient d' Eileen J. Garrett ? Au cours des mois qui avaient précédé le lancement du dirigeable la presse avait abondamment commenté tous les détails de l'opération en donnant un nombre considérable d'informations, qui auraient pu s'imprimer dans l'inconscient du médium. Les victimes réclamèrent-elles justice par l'intermédiaire d' Eileen J. Garrett ? Aujourd'hui le mystère plane toujours autour de la chute et de l'incendie du
R 101. Les images de la vidéo sont terribles.Extrait de " Inexpliqué " 1981
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