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    La stupéfiante technologie des ovnis

    A l'origine le sigle "ovni" désignait tout simplement quelque chose d'inexplicable par les lois connues de la physique. Avec la multiplication des rencontres de types ordinaire ou de "troisième" type, ce sigle est devenu l'appellation courante des engins spatiaux habités ou non de créatures venues de l'espace.

    Si ces ovnis existent vraiment, ils doivent être capables de couvrir d'énormes distances. Si des formes de vie existent, elles ne viennent probablement pas de notre système solaire, mais de beaucoup plus loin. Même en supposant que ces créatures venues de l'espaces ont une durée de vie supérieure - et de beaucoup - à la nôtre, il est également clair que ces ovnis doivent se déplacer à une vitesse vertigineuse pour éviter de passer des centaines d'années terrestres en voyages interplanétaires.

    Les observations sont d'une rare cohérence : la plupart des témoins les décrivent comme des engins qui survolent le sol lentement, avant de s'élever à une très grande vitesse en exécutant des manœuvres interdites à un avions "normal".

    La stupéfiante technologie des ovnis

    Ces observations suggèrent un mode de propulsion très puissant, capable d'accélérations aussi spectaculaires qu’efficaces, puisque certains ovnis "disparaissent" quasi instantanément.
    Aucun des combustibles utilisés sur la Terre ne peut produire une telle vitesse, ni une telle accélération. Si ce combustible existait, il occuperait une telle place qu'il interdirait tout vol interplanétaire.
    Et même à vitesse élevée, la plupart des planète situées hors de notre système solaire resteraient hors de portée des humains, dont la vie serait trop courte pour y parvenir.

    Dès 1958, après le premier vol de Gagarine, Freeman Dyson se lançait dans la conception d'un engin spatial à propulsion nucléaire. C'était le projet Orion, la première tentative sérieuse de construire un modèle de fusée qui rompe avec les modèles à étages multiples imaginé par Werner Von Braun pour la N.A.S.A.

    La stupéfiante technologie des ovnis

    L'idée finale de Freeman Dyson était de construire un engin spatial grand comme une petite ville qui emporterait une colonie humaine vers les confins de la galaxie... L'idée un peu folle, mais qui a connu un début de mise en oeuvre.
    Pour propulser sa colonie ambulante, Dyson pensait faire exploser une série de bombes à hydrogène, qui propulserait en avant le vaisseau spatial. Seules les réactions du public, inquiet des retombées d'un tel "départ", ont fait échouer le projet.

    Autre phénomène impossible à expliquer à propos des ovnis : les témoins sont formels, ils disparaissent et apparaissent à volonté. Certaines hypothèses ont été jusqu'à avancer que, en fait, les ovnis pourraient être dotés de dispositifs "anti-optique". On a également expliqué que les ovnis, pour disparaître, se contentaient d'éteindre ... les lumières du bord. Enfin, certains observateurs ont fait remarquer que les ovnis donnaient l'impression de disparaître quand ils se mettaient de profil face au témoin, n'offrant plus que la tranche de leur disque.

    La stupéfiante technologie des ovnis

    Ces suggestions sont cependant incapables de rendre compte d'un phénomène essentiel : la disparition brutale des ovnis des écrans radar qui les "suivent".Il nous faut bien admettre alors qu'ils utilisent une technologie beaucoup plus sophistiquée que la nôtre.

    La stupéfiante technologie des ovnis

    Reste à savoir laquelle. Les techniques utilisées fascinent les chercheurs. Des prototypes d'engins en forme de "soucoupe volante"ont effectivement été construits. Destinés à voler en atmosphère terrestre, ils sont pour l'instant propulsés par des carburants chimiques traditionnels.

    Pour un autre mode de propulsion, toutes les propositions, y compris les plus folles existent : l'antigravité, les distorsions temporelles, la propulsion "gravitationnelle" (l'engin, en produisant sa propre gravité "glisserait" sur les autres champs et pourrait ainsi aller n'importe où) ...

    La stupéfiante technologie des ovnis

    La "navigation solaire" est l'une de ces idées un peu folles, mais que les savants prennent au sérieux. Le principe en est simple : la lumière solaire exerce une pression qu'il s'agit d'utiliser pour ce propulser dans l'espace. Une fois dans l'espace, l'engin utiliserait, au moyen de gigantesques ailes réfléchissantes, l'énergie des étoiles ou du Soleil.

    En Angleterre, la British Rail a déposé un curieux brevet de soucoupe volante. L'engin a une forme classique, avec des hublots tout autour de la coque, mais il est propulsé par une réaction thermonucléaire contrôlée. C'est une sorte de bombe atomique "lente", qui produit son énergie de manière continue au lieu d'exploser en une seule fois.

    Pour l'instant, nous ne possédons pas encore les techniques nécessaires à la construction d'un tel engin. Nous ne pouvons qu'imaginer et... attendre qu'un de ces ovnis nous livre un jour le secret de son énergie et de sa propulsion, qui ne sera peut-être qu'une de ces idées folles délaissées par les scientifiques.

      

    LA FORME IDÉALE

    Dans la plupart des observations d'ovnis, les engins aperçus ont une forme de disque ou de cigare. Il se pourrait d'ailleurs que les cigares observés ne soient que des disques, vus sous un autre angle. Pour expliquer cette majorité écrasante de disques, plusieurs hypothèses ont été avancées, des plus étranges aux plus sceptiques. Il existe pourtant une explication plus simple !

    Au cours des long voyages interstellaires, un vaisseau spatial aura à traverser d'immenses régions de "vide", ou il n'y aura aucune résistance d'aucun côté. La forme la plus logique est alors, pour un vaisseau, le cercle, qui est symétrique par rapport à un nombre d'axe infini.

    La stupéfiante technologie des ovnis

    Le fait que la plupart des ovnis observés aient la forme d'un disque plutôt que d'une sphère peut s'expliquer par le souci de leurs constructeurs de se déplacer à très haute vitesse dans l'atmosphère des planètes, où l'air résiste. La forme de disque réduit pratiquement à zéro l'effet de cette résistance.

                                                                                                               Extrait de " Inexpliqué " 1981


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    Le mystérieux trésors de Rennes-le-Château

    En 1885, un homme de trente ans découvre les quelques petites maisons qui bordent l'unique rue du village. François Béranger Saunière vient d'être nommé curé de la minuscule église de Sainte-Madeleine. Il jette un œil distrait sur le bâtiment. D'origine pauvre et premier de sept enfant, l'abbé Saunière n'a pas le goût du luxe. C'est un homme solide, rustique même, pour qui l'église constitue une sorte de promotion sociale.

    Le mystérieux trésors de Rennes-le-Château

    L'église Sainte-Madeleine se dresse sur l'emplacement de l'ancien palais fortifié des Wisigoths; Elle n'est pas en très bon état. En 1892, l'abbé Saunière, veut restaurer le bâtiment : il vient d'apprendre qu'un de ses prédécesseurs a fait un leg pour assurer l'entretien des lieux.

    Premier travail d'urgence : réparer l'autel. C'est une épaisse dalle de pierre, dont une extrémité est scellée dans le mur de l'église, tandis que l'autre est soutenue par une colonne sculptée par les Wisigoths. En faisant soulever la dalle, l'abbé Saunière a la surprise de découvrir que la colonne est creuse : trois tubes de bois, scellés à la cire, sont dans la cavité.

    Le mystérieux trésors de Rennes-le-Château

    Le premier de ces manuscrit (Jean XII) décrit la visite du Christ à la maison de Lazare, à Béthanie. Le deuxième raconte l'histoire des disciples qui égrènent les épis de blé, le jour du sabbat.
    Cependant, si on les examine plus attentivement, ces manuscrits font apparaître un certain nombre de détails inattendus : les monogrammes respectent des compositions différentes. Des lettres ont été ajoutées au texte. Certaines sont remplacées par des points. D'autres ont été déplacée... L'ensemble compose une énigme dont la clé est accessible aux seuls cryptographes.

    En 1893, l'abbé Saunière soumet les manuscrits à Monseigneur Billard, évêque de Carcassonne qui l'autorise à partir pour Paris et lui accorde une bourse pour les faire déchiffrer. Il va rencontrer Emile Hoffet, qui allait devenir une autorité en matière de vieux manuscrits et d'ésotérisme.

    En trois semaine, le curé de Renne-le-Château passe le plus clair de son temps au Louvre. Il y achète trois reproduction de tableau, apparemment sans liens : les Bergers d'Arcadie, de Nicolas Poussin, le portrait de saint Antoine, de David Tenier, et le Portrait du pape Célestin V, d'un artiste inconnu.


    Le mystérieux trésors de Rennes-le-Château

    De retour à Rennes, le jeune curé reprend son travail de restauration. Avec quelques jeunes gens du village, il entreprend de soulever une autre dalle, face à l'autel. La face cachée se révèle sculptée, dans un style archaïque daté du VIe ou VII siècle.
    On peut y voir deux scènes, qui se déroulent toutes deux dans un lieux voûté ou dans une crypte. A gauche un chevalier sur sa monture sonne du cor de chasse, tandis que son cheval abaisse le col pour s'abreuver dans une fontaine. A droite, un autre chevalier brandi un bâton de pèlerin et porte un enfant sur son arçon. Usée et cassée, la pierre laisse difficilement deviner les sujets mais la facture est incontestablement ancienne.

    Une fois la pierre levée, l'abbé Saunière demande aux jeunes gens de creuser sur plusieurs mètres. Au bout d'un moment, la pioche fait sonner un objet dur. C'est alors qu'il s'enferme seul dans son église.

    D'après la rumeur publique, deux squelettes auraient été exhumés, ainsi qu'un pot de médailles sans valeur. Ce qui est tout à fait plausible : au cours de fouilles récentes autour de l'église, on a retrouvé un crâne fendu rituellement.

    Après cette découverte, l'abbé Saunière arrête de travailler dans son église. On le voit courir la campagne un sac sur le dos, en compagnie de sa gouvernante. Il revient tout les soirs, le sac plein de cailloux choisis avec soin. Quand on l'interroge sur son étrange comportement, il répond qu'il a décidé d'orner d'une grotte de pierres le minuscule jardin qui se trouve en face de l'église.


    Le mystérieux trésors de Rennes-le-Château

    Autre passe-temps étrange de l'abbé : au fond du cimetière, prêt de l'église, il y avait deux pierres tombales, dont celle de Marie de Négri d'Albes, morte en 1781, épouse de Françis d'Hautpoul, seigneur de Renne-le-Château. Une nuit, il les déplace à l'autre bout du cimetière et efface soigneusement les inscriptions. En vain : certains archéologues les avaient déjà relevées et nous savons aujourd'hui que l'une de ces pierres portait la même composition de monogrammes que l'un de ses manuscrits.

     Au cours des deux années suivantes, le curé de Rennes-le-Château ne cesse de voyager. Il ouvre un compte en banque à Perpignan. Un autre à Toulouse. Un autre encore à Paris et un quatrième à Budapest. Des mandats arrivent de toute l'Europe, libellés au nom de Marie Denarnaud, apparemment expédiés par différentes communautés religieuses.

    A partir de 1896, l'abbé Saunière entame un vaste programme de remise à neuf de l'église. Presque tout a subsisté de nos jours, et l'effet est saisissant : carrelage de 64 carreau noirs et blanc alternés ordonnée en diagonal à la jonction de la nef et du transept. A côté du portail d'entrée, il dresse un monument étrange, aux couleurs criardes : un bénitier posé sur la tête d'Asmodée, de dimension humaines et le regard mauvais.


    Le mystérieux trésors de Rennes-le-Château

    Au-dessus : quatre anges ailés, qui portent la devise " Par ce signe tu vaincras ", une citation qui passe pour avoir entraîné la conversion de l'empereur Constantin.
    Les murs de l'église sont recouvert de peintures en relief de style populaire : quelques stations d'un chemin de croix et des représentations du Christ. Le curé entreprend lui-même de peindre le portrait de Marie-Madeleine qui orne le devant de l'autel.


    Le mystérieux trésors de Rennes-le-Château

    Encore plus étrange : Le porche de l'église ou l'on peut lire, au dessus de l'arche, les parole de Jacob à Bethléem, " Ceci est un endroit terrible ".

    Une fois les travaux terminés dans l'église, l'abbé Saunière ne renonce pas à sa soif de reconstruction. Il achète un terrain situé entre l'église et la partie ouest de la colline et il y fait construire une promenade semi-circulaire, terminée au sud par une tour de deux étages, la tour Madeleine.


    Le mystérieux trésors de Rennes-le-Château


    A l'intérieur de la promenade, il crée un jardin et, à l'est, il fait construire une pension, baptisée Béthanie. Il y entasse des meubles rare et y reçoit royalement ses invités, toujours traités avec vins fins et bonne chère : académicien, ministres, écrivains, notables et même l'archiduc Jean de Habsbourg.

    En 1917, quand l'abbé Saunière disparaît, on calcule rapidement le montant de ses dépenses : plus d' 1 million de franc-or ( 20x les francs d'avant l'euro).
    Jusqu'à sa mort, Marie Denarnaud, sa gouvernante n'a manqué de rien. Elle a elle même estimé sa propre fortune à 100 000 francs-or.

    Mais comment ce petit abbé, pauvre curé d'une paroisse encore plus pauvre, a t-il pu devenir un homme aussi riche ? Quel trésors a t-il pu retrouver pour pouvoir se permettre de telles dépenses ?

                                                                      Adaptation de " Inexpliqué " 1981

     

      

      

      


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    Les Anges de Mons

    La légende des Anges de Mons prend son envol en août 1914.
    A l'époque, la région Belge du Hainaut en Belgique est un immense champ de bataille où l'armée où l'armée britannique tente de résister aux assauts répétés de l'infanterie allemande.

    La légende :

    La légende raconte que ce soir du 23 août 1914, alors que la première guerre mondiale battait son plein, serait apparu un bataillon d'anges, dans le ciel de Mons. Cet insolite bataillon, tout armé d'arcs à flèches, serait venu défendre la ville, contre ses occupants allemands.

    Les Allemands, étant entrés en possession de la ville, mettaient leurs adversaires britanniques en position de faiblesse. Les Britanniques étaient piégés entre les occupants de la ville de Mons, derrière eux, et un autre régiment qui leur faisait face. Encerclés, ils voyaient venir leur défaite, incapables qu'ils étaient de battre en retraite.

    Mais lorsque tout espoir se fut évanoui, apparurent dans le ciel, au-dessus de Mons, un bataillon d'archers célestes, mené par Saint George sur son puissant cheval. En attaquant les Allemands postés dans la ville, l'opportun bataillon permit aux Britanniques de se replier et de venir en aide au front français protégeant la ville de Paris des mêmes Allemands.

    Autant dire que cette apparition divine fut une aubaine pour les alliés et que les Anges protecteurs de la ville de Mons marquèrent les esprits. Ils permirent aux Britanniques de quitter le front, en glissant entre les mains des Allemands, avant de rejoindre la Marne où allaient se dérouler d'autres batailles.

    Les Anges de Mons


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