• Ovni - Deux créatures très inhabituelles à Quarouble*

     

    Le petit village de Quarouble, non loin de Valencienne, près de la frontière franco-belge, fut secoué par les événements de la nuit du 10 septembre 1954.

    Vers 10h30, Marius Dewilde, 34 ans, était en train de lire dans la cuisine de sa petite maison. Sa femme et son fils se trouvaient déjà au lit. La maison était située au milieu des bois et des champs. Sur un des côtés du jardin de la maison se trouvait une voie de chemin de fer.

    Soudain, le chien des Delwilde prit sa lampe électrique et sortit. Il fut tout de suite conscient d'une présence sur sa gauche, près de la ligne de chemin de fer. Il pensa qu'il s'agissait d'un camion appartenant à un fermier. Puis, comme le chien se rapprochait de lui en rampant sur le ventre, il entendit un bruit sur sa droite. il fit un tour sur lui-même et aperçut deux étranges créatures habillées d'une sorte de combinaison de plongée. Il remarqua qu'elles avaient des épaules très larges, mais pas de bras, et qu'elles portaient un très gros casque.

    Se remettant de sa surprisse, il se plaça à la barrière de son jardin, avec l'intention de barrer le passage aux intrus. Soudain, une lumière aveuglante, identique à celle d'un flash au magnésium, sortit de l'ouverture d'un des côtés de la " forme " noire qu'il avait aperçue sur sa gauche. La lueur le frappa et il fut stoppé net dans son mouvement, comme si, tout d'un coup il se trouvait paralysé. Il vit alors les deux créatures passer à 1 m de lui et se diriger vers la " forme "

    Soudain, la lumière s'éteignit. Retrouvant l'usage de ses muscles, M. Dewilde suivit les créatures : l'objet s'éleva alors lentement du sol, comme l'aurait fait un hélicoptère. Il y avait un bruit de sifflement et M. Dewilde aperçut une sorte de vapeur s'échapper de l'engin. Après s'être élevé de 30 m environ, l'engin se dirigea vers l'est.

    Fortement ébranlé, M. Dewilde réveilla sa femme. Ils se rendirent au commissariat de police le plus proche : le fonctionnaire de service, pensant que M. Dewilde n'avait pas tous ses esprits, avertit tout de même le commissaire qui, après avoir écouté ce récit d'apparence incohérent, estima que cet homme n'était rien de plus qu'un joyeux plaisantin plus ou moins éméché...

    Une enquête détaillée fut pourtant effectuée par la police, la gendarmerie de l'air et la D.S.T., qui étaient convaincue que le témoin ne mentait pas. Les enquêteurs étaient aussi convaincus que l'objet ne pouvait être un hélicoptère : les fils du téléphone, regroupés près de la voie, auraient empêché un atterrissage !

    On découvrit également des marques sur les traverses du chemin de fer, là où s'était tenu l'engin. Un ingénieur des mines calcula qu'il aurait fallu un poids de 30 t pour imprimer de telles marques. Il aurait aussi fallu une chaleur considérable pour produire les traces de brûlé et calciner les pierres du ballast entre les traverses.

    Et, pour achever le tout, il aurait fallu une incroyable hallucination...


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